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........ Chapitre 02........

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Le maître de la maison prit la main de bien aimée qui la suivit pour aller s'asseoir sur le lit.

- Quand est-ce que tout ceci finira ? L'autre jour, c'était un détournement et cette fois-ci c'est un anarque. Je suis dépassé chérie. Pourquoi ? Pourquoi tout ceci ? Je me chine chaque jour pour élever le nom de cette entreprise mais chaque fois que j'essaie quelque chose , il y a toujours un élément perturbateur qui s'y introduit. Je suis vraiment fatigué. Mieux vaut démissionner que de perdre sa valeur d'homme.

Les deux amoureux assisent sur le lit ne pipaient mot. L'homme de la maison se leva , enleva son pijama et rentra sous la douche pour se doucher pour cette fois-ci. La porte de la chambre vint d'être ouvrir. Une jeune fille entra dans la chambre , embrassa sa mère qui pour cette fois-ci la main était déjà au menton.

- Bonjour Amandine ! Dit sa mère à l'encontre de sa fille.

Amandine est la fille aînée de la famille Abi. Atteint la dix-neuvième , elle est une très belle fille avec la forme de coca-cola. Elle s'approcha de sa mère et prit place à ses côtés.

- Oui maman et chez toi ?

- Ça va et les autres.

- Ils ne sont pas encore réveillés.

La jeune femme laissa un sourire pour ne pas faire remarquer tristesse à sa fille. Elle se leva , donna un baisier à sa fille sur le front et sortit de la chambre.

Amandine se leva aussitôt et la survit. Le maître de la maison qui prenait un bain sorta de la douche avec des crampes au pied. À peine a-t-il bougé les pieds qu'il tomba aussitôt sous la douche. Il s'accrocha au pot pour se relever mais ses muscles le lâcha aussitôt. Il rampa de la douche jusqu'à dans sa chambre. Catherine qui était partie demander à la bonne si le petit déjeuner était déjà prêt vint de rentrer dans la chambre. Cette dernière courit vers son mari qui essayait toujours de se relever mais n'y arrivait pas.

- Chéri ! Mais qu'est ce qui se passe ? Demanda-t-elle à son mari

Le maître de la maison ne pouvait plus , la douleure était énorme. Il regarda timidement sa femme et se mit à pleurer.

- Mais chéri qu'est ce qui se passe ? Demanda-t-elle à nouveau

- J'ai mal au pied. Dit le maître de la maison

Remplir de panique , la jeune femme descendit vite les escaliers pour allerter le chauffeur qui coura comme un animal jusqu'à dans la chambre. L'homme de la maison ne parlait plus , la douleure vint de prendre tout son corps. Moussa le fameux chauffeur du patron le prit dans ses bras et descendit avec tactique. Le bruit réveilla aussitôt les autres enfants qui continuaient de dormir. Amandine qui survait la scène tremblait. Moussa mit le moteur en marche et disparaîtra dans la nature.

Le soleil au zénith pouvait réchauffer tout sur son passage. Moussa conduisait comme un professionnel dans la matière. Il vint de montrer sur le goudron. Ce jour là , c'était un jour de malheur pour toute la famille. La route de Cotonou était inondé de monde. Seul les piétons pouvaient passer. Malgré les klaxons et les clientants que Moussa laissait voir on ne le laissa pas passer.

Coucher derrière Moussa , le maître de la maison hurlait toujours de douleur. Il essayait parfois de prendre son pied avec sa main droite mais ne pouvait pas. Assise à côté du chauffeur Catherine ne passe pas une seconde sans regardé son mari assit derrière. Elle se demandait intérieurement ce qui serait responsable de tout ceci. D'abord l'entreprise appartenant à son mari est entrain de perdre des fonds et maintenant c'est son mari qui n'arrive plus à se tenir debout. Elle fixait toujours la place ou son bien aimé est couché.

Le feu vert vint de s'allumer , Moussa metta vite le moteur en marche et continua son chemin.

* * *

L'hôpital de Zone se situait à 1 km. Moussa qui conduisait comme un fou vint de rentrer dans la cour. L'hôpital était rempli de monde. On pouvait voir des patients comme des patientes assistent sur un banc. Tantôt c'est un accident , tantôt c'est un mal à l'aise. Soudain , Moussa descendit et se faufila dans la maison. Le jeune Moussa qui s'avait lu à peine voir de loin une salle ou il est mentionné " docteur" sans y attendre il frappa à la porte.

Une grosse voix lui répondit c'était lui le jeune docteur. Moussa rentra aussitôt et lui expliqua tout la situation. Sans attendre , le docteur appela sa secrétaire qui aussi alerta les autres.

Deux agents sortirent aussitôt avec un brancard ayant toutes les quatres côtés un puneu. Catherine qui était assise à côté du chauffeur descendit et ouvrit la porte arrière. Moussa prit son patron et le déposa sur le brancard.

Le gardien un homme âgé bien musclé qui s'occupe de la sortie et de l'entrée ouvrit la porte pour permettre aux infirmières de rentrer dans la salle.

L'interieur de l'hôpital était rempli des petites chambres ou s'effectue différents opération.

L'un des infirmiers ouvrit la porte et monsieur Denis fut déposer sur la table où il va être examiné. On pouvait voir le docteur qui commandait ses employés dans tous les sens.

- Donnez-moi la prise de tension. Dit ce dernier à ses employés.

Après avoir reçu cet appareil , le docteur prit la tension de son patient et l'examina pendant quelques heures avant de sortir de la salle.

Catherine qui était devant la salle courit vers le docteur qui vint de sortir.

- Alors docteur comment va mon mari ? Demanda au docteur

Il garda le silence , regarda le ciel tout comme ci quelque chose n'allait pas du tout. Catherine qui ne comprenait rien commença par s'inquiéter vu les manières de faire du docteur.

- Docteur qu'est ce qui se passe ? Et mon mari ? Que lui est arrivé ? Redemanda t-elle au docteur.

Ne pouvant pas répondre à toutes les questions à la fois , le docteur la regarda droitememt dans les yeux avant d'ouvrir là bouche.

- Madame soyez forte. C'est vraiment étrange. Depuis que je travaille dans cet hôpital je n'ai jamais vu le cas de votre mari.

- Mais docteur qu'est ce qui se passe ?

- Votre mari a perdu ses deux chambres. Désormais il ne marchera qu'avec une béquille. J'ai fait tout ce que je peux mais ça n'a pas marché je suis vraiment désolé. Votre mari est dans la salle de surveillance vous pouvez partir le voir.

Après ses mots , le docteur prit congé. Catherine se faufila dans la foule jusqu'au niveau de la salle de surveillance. Elle ouvrit la porte et vit son mari coucher sur le lit , les yeux inondés de larmes. Elle s'approcha de lui , prit sa main et le regarda dans les yeux.

- Le docteur a dit que je ne marcherai plus chérie.

Elle était abasourdie , elle ne pouvait pas ouvrir la bouche. Elle regarda son mari pendant un bon moment avant d'ouvrir la bouche.

- Je suis désolée chéri, je suis vraiment désolée. Qu'as-tu fait pour mériter tout ceci ? Pourquoi tant de souffrance ? T'inquiète pas chéri , je suis là et je serai toujours là s'il le faut dans la joie comme dans la tristesse.

- Merci chérie.

Les deux amoureux se serrent contre eux. En ce moment là , le docteur était allé dans son bureau pour faire la facture et ensuite monsieur Denis fut libéré de l'hôpital.

En ville chez les Abi la cour était déjà remplie de mon monde. On pouvait voir tantôt des cris de lamentation , tantôt des paroles de pitié. Soudain Moussa fit son entré dans la cour. Monsieur Dénis descendit de la voiture à l'aide de ses béquilles. Il était surpris de voir tant de monde dans sa cour. Il ne comprenait rien. Amandine qui recevait du courage au près de ses amis venant de nulle part se leva et se dirigea vers ses parents.

- Amandine pourquoi tu pleures ? Et pourquoi tant de monde dans la maison ? Demanda Catherine à sa fille

La jeune fille recommença à nouveau avec les pleurs , elle n'en croyait pas à ses yeux. Son jeune frère Rodrigue qu'il a tant aimé vint de devenir fou.

- Maman , Papa. Lorsque vous êtiez partis à l'hôpital. Moi et Rodrigue on était dans le jardin entrain de discuter lorsque mon frère me gifla , je lui ai demandé pourquoi et il se jeta sur moi et il a commencé par me bastonner. Il parlait seulement dans le vide , j'hurlais , je criais , jusqu'à ce que mes cries ont alertés les voisins qui sont venus à mon secour. J'ai essayé de discuter avec Rodrigue mais mon frère déchira l'habit qu'il portait , enleva son pantalon et se faufila dans la ville.

- Et Maia ?

- Il est parti saluer l'un de ses camarades. Maman , papa Rodrigue est devenu fou.

- Quoi ? Demanda Denis l'air étonné

............ À suivre...........

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