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Une fois de plus, ma mère m'a surprise

LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE.

#Épisode_1

Yopougon, Côte d'Ivoire.

Moi : Oh oui bébé, anh, anh, anh.......

Je gémissais de plaisir pendant que Cédric mon camarade de classe me baise le cul. Je suis courbée et lui offre mon joli minou bien rasé. Il me laboure sauvagement la chatte par derrière. D'une main, je prend appui contre la penderie de ma chambre et me sers de l'autre main pour frotter mon cli-to-ris.

Moi : Annnnhh.....humm....anh....anhhh......

Cédric accélère, mes seins vont et viennent, je gémis plus fort. Il soulève mon pied qu'il tient avec sa main. Il accélère davantage, je crie. Je crache dans ma main et frotte mon clitoris avec la salive. Oh c'est si bon.

Moi : Oh oui Cédric.....ouiiiiiiiiii.......

Cédric : Oui? Oui? Tu me sens là ? Oui? Demande t-il en me pilonnant de toutes ses forces, il me presse les seins. Répond, tu me sens ?

Moi : Oui, oui je te sens, je te sens....oh.....oui.....

Je pleure de plaisir et éclate de rire par la même occasion. J'aime tellement ça. Je me fais baiser encore et encore par Cédric quand tout à coup j'entends le grincement de la porte d'entrée. Cette porte émet un bruit particulier quand on l'ouvre et on peut entendre ce bruit même à l'autre bout de la rue.

Oh non, ne me dites pas que c'est ma mère qui est rentrée. Pourquoi est-ce qu'elle est rentrée si tôt ? Il est à peine 18heures. J'entends des bruits de pas qui se rapprochent. C'est vraiment elle !

J'ai envie de dire à Cédric de s'arrêter mais c'est tellement bon. Je n'y arrive pas. Je gémis silencieusement pendant que les bruits de pas se rapprochent de ma chambre.

Cédric : C'est qui ? Demande t-il en me baisant toujours.

Moi : C'est ma mère, répondis-je d'une voix gémissante.

Cédric : Je croyais qu'elle rentrait après 20heures.

Moi : C'est ce que je croyais aussi.

Cédric : On fait quoi maintenant, on va se faire prendre, je ne veux pas de problème avec ta mère moi, dit-il en voulant retirer son pénis de mon vagin mais je le stoppe.

Moi : Non, continue bébé s'il te plaît.

Cédric : Mais tu es folle ? On va se faire prendre !

Moi : Elle ne pourra pas entrer, j'ai verouillé la porte.

Il semble un peu convaincu et continue à me baiser. Je fais un effort surhumain pour ne pas crier de plaisir. Mes yeux sont rivés vers la porte. Je vois le poignet qui monte et descend, ma mère essaie d'ouvrir. Elle commence à toquer.

Ma mère : Victoria ? Dit-elle en toquant, Vicky ? Tu es là ?

Je veux lui répondre mais je crains gémir à la place. Je fixe la porte d'entrée sans mot dire. Cédric continue de me baiser comme un malade, cette peur que ma mère puisse nous découvrir m'excite davantage.

Je n'en peux plus, je dois gémir, j'ouvre la bouche pour me libérer quand Cédric met la main sur ma bouche pour étouffer mes cris.

Cédric : Tu es folle ? On va se faire prendre direct, alors contrôle-toi ok?

Je hoche la tête pour dire oui. Il a toujours sa main sur ma bouche. Après un moment, les bruits de pas s'éloignent. Ma mère est partie.

Cédric : Elle est partie ? Demande t-il en ôtant sa main de ma bouche.

Moi : Je crois.

Cédric : Où est-ce qu'elle est allée ?

Moi : Dans sa chambre ou à la cuisine, vas-y bébé, plus vite.

Je prends mon pied avec Cédric lorsque la porte s'ouvre brusquement dévoilant ma mère. Comment est-ce possible ? Je reste figée. Elle reste immobile et me regarde me faire baiser par Cédric. Ses yeux sont fixés sur mon vagin qui se fait labourer par le pénis de Cédric.

Cédric n'a pas encore remarqué sa présence, il a la tête levée vers le plafond et les yeux fermés. Le plaisir le submerge au plus haut point. Ma mère est toujours silencieuse à nous observer. J'ai envie de prévenir Cédric qu'elle est là, juste devant nous mais je ne veux pas. Je ne sais pas pourquoi mais le fait que ma mère regarde sa petite fille se faire baiser par une grosse bite me procure un plaisir immense.

Moi : Anh....anh....oui Cédric, baise-moi....anh.... maman mamannnn......

Je gémis en regardant ma mère dans les yeux, ses yeux à elle n'ont toujours pas quitté mon vagin. Elle ne cesse de regarder les mouvements de vas et viens du pénis de Cédric dans mon minou.

Ma mère : Oh mon Dieu, dit-elle en rompant enfin le silence, les larmes coulent de ses yeux. Elle se tient la poitrine.

Cédric s'arrête aussitôt après avoir remarqué la présence de ma mère. Il cache son entrejambe avec ses mains. Il a peur ça se voit.

Cédric : Ma...ma... madame.... vous êtes là depuis longtemps ?

Ma mère : Assez longtemps pour voir ce que tu fais avec ma fille derrière mon dos, et moi qui te considérait comme un fils Cédric.

Cédric : Je suis vraiment désolée madame Jeannette, dit-il pris de remord. Je.....

Ma mère lui donne une sonnante gifle qui l'amène à la fermer.

Ma mère : Je vais veiller à ce que ta mère soit personnellement au courant de tout ça, maintenant sors de ma maison, crie ma mère en montrant la porte du doigt. DEHORS !

Cédric : Oui...oui.... excusez-moi dit-il précipitamment en ramassant ses affaires du sol. Il prend son sac et court pour ressortir en nous laissant ma mère et moi.

Moi : Maman je....

[SPLASH]

Elle m'administre une violente gifle, s'en est suivi une deuxième puis une troisième. Elle tire mes cheveux et me traîne à la salle de bain.

Ma mère : J'ai parlé, j'ai tout fait mais toujours rien. Qu'est ce que je vais faire de toi? Dis-moi Victoria, qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi? Tu es devenue une pute pour ce quartier, tous les hommes de ce quartier t'ont déjà sauté. Tu me fais honte Victoria, tu me fais trop honte. Je n'en peux plus, dit-elle en larme, je suis fatiguée tu comprends ? Fatiguée !

Moi : Maman je suis désolée s'il te.....

Elle me gifle encore une fois. Elle fouille dans le trousseau de maquillage de la salle de bain et en sort une paire de ciseaux.

Moi : Maman qu'est ce que tu veux faire avec ça, Dis-je appeurée.... s'il te plaît maman, pardonne-moi.

Ma mère : Passe-ici!

Elle me tire la tête et donne un coup de ciseaux dans mes cheveux, je hurle mais elle me frappe encore et encore. Elle prend sa chaussure et me bât correctement, elle a découpé mes cheveux. Elle me saute dessus et me tape à mort. J'ai les blessures sur tout mon corps. Elle m'abandonne dans la salle de bain et s'en va. Je pleure de toutes mes forces.

Moi : Non pas mes cheveux, criai-je en larmes. Maman....

Ma mère : Tu ne vas pas me tuer, je te le promets, l'entendis-je crier dans la chambre avant de ressortir.

KPA! elle referme violemment la porte.

Je me recroqueville sur moi même et pleure dans la douche, je me place sous le jet d'eau et l'eau coule sur tout mon corps. À chaque fois c'est pareil, ma mère me frappe à mort mais je n'arrive pas à arrêter. J'adore baiser et je ne peux pas arrêter. C'est plus fort que moi.

Mon nom est Victoria Bruner, j'ai dix-neuf ans et je suis élève en classe de terminale. Mon passe temps favoris c'est baiser, baiser, et baiser. Bienvenue dans mon monde !

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