Baise-moi papy
LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_3
Emmanuella : Alors maman ? S'impatiente t-elle, je t'écoute maman.
Moi : Elle a trop d'amis dans ce quartier, ce qui fait qu'elle n'apprend pas. Il faut qu'elle change d'environnement pour s'assagir, tu sais très bien qu'elle doit obligatoirement avoir son bac d'un coup. Il n'y a pas d'essai parce que j'ai énormément du mal à payer sa scolarité qui s'élève à des centaines de mille. Aides-moi s'il te plaît Manu.
Manu : Je sais maman, je comprends tout ce que tu viens de dire mais moi je suis chez mon mari maman et je ne peux pas héberger les gens comme bon me semble tu le sais. En plus, Éric n'aimerais pas trop ça.
Moi : Les gens ? C'est ta sœur de sang que tu appelles les gens ? Dis-je en faisant semblant de pleurer. Je vois maintenant combien de fois tu nous aimes Vicky et moi. Depuis que tu t'es mariée, tu as pris tes distances avec nous, tu ne cherches même plus à savoir comment nous allons. Tu sais combien c'est dure d'être une mère et d'élever ses enfants seuls parce que ton mari aurait décédé ? Non, tu ne sais pas mais ce n'est pas grave. Désolée de t'avoir demandé ce service, fis-je en me victimisant.
Manu : Maman je.....
Je raccroche pour lui faire croire que je suis vraiment fâchée. J'espère que mon petit manège pour la convaincre à héberger sa sœur a marché. J'ai vraiment besoin d'elle.
******Cocody, Côte d'Ivoire.
******Emmanuella Golden Bruner.
Je coupe l'appel de mon côté après que ma mère m'ait raccroché au nez. Moi c'est Emmanuella Golden Bruner, j'ai vingt-six ans et je suis mariée à Éric Golden. Nous avons un enfant ensemble, un petit garçon de six ans. Eh oui, vous avez bien entendu, 06 ans parce que j'ai accouché très tôt tout comme je me suis aussi mariée très tôt.
Je dirai qu'Éric est l'homme de ma vie, je ne vis que le pure bonheur depuis que je suis à ses côtés. Il est avocat juriste et moi, sage femme. Grâce à nos deux boulots, nous vivons aisément dans une magnifique maison dans l'un des quartiers les plus hupés de Côte d'Ivoire : Cocody.
Actuellement, nous sommes couchés dans la chambre. Il est entrain de lire un document avec ses lunettes optiques au nez. Lorsque j'étais au téléphone avec ma mère, j'avais mis la conversation sur haut parleur donc sûrement il a tout entendu.
Je le regarde, il ne dit mot et est toujours concentré par sa lecture. Je lui caresse le bras.
Moi : Bébé, Dis-je d'une petite voix. Qu'est ce que tu penses de ce que ma mère vient de dire ? Tu veux bien laisser ma petite sœur venir vivre chez nous. C'est pour un temps.
Éric : Tu connais déjà la réponse sur ce sujet Manu, dit-il en repoussant ma main. C'est non. C'est toi même qui a imposé la règle > alors assume simplement.
Moi : S'il te plaît mon amour.
Je tourne son visage face au mien par le menton et l'embrasse salement, je guide sa main entre mes jambes. Ses doigts frais se collent contre mon clitoris. Il commence à me le masser. J'émets des gémissements qui sont vite étouffés par les baisers qu'il me donne.
Ses doigts se glissent entre mes lèvres vaginales. Il les masse aussi.
Moi : Anh bébé.....oui....oui.....
Il quitte sa place sur le lit et vient se positionner sur moi. Il écarte mes jambes et s'installe entre elles.
Moi : Alors chéri ? Tu acceptes pour ma petite sœur.
Éric : Oui, dit-il en s'introduisant à moi, elle peut venir si tu veux.
Je souris de satisfaction. Éric devient un peu comme qui dirait zinzin lorsqu'il s'agit du sexe et je ne dirai pas que c'est fréquent dans notre couple. Le sexe est très rare dans notre couple puisque je suis rarement là.
Je suis très souvent prise par le travail alors lorsqu'il trouve l'occasion il perd complètement la tête.
Je sens son pénis qui va et vient dans mon vagin. Ses coups de reins deviennent plus fort et brutaux. Il décale la robe nuisette que j'ai porté sur un côté, ce qui dévoile un de mes seins à l'air libre. Il gifle mon sein et me baise plus fort.
À chaque coup de rein, il me gifle le sein et tout est si rapide. Oh merde, je prend mon pied.
Moi : Annnnnhhhh......ouiiiiiii.....anh anh.....
Il m'embrasse et grogne dans mon cou. Quelle chaude partie de jambe en l'air !
*******Le lendemain matin
*******Victoria Bruner.
Ce matin, je n'ai aucunement envie d'aller à l'école. Tout ce dont j'ai besoin c'est d'une bite. Je me prépare malgré moi et prend mon sac. Je me suis couverte la tête avec un bonnet pour cacher mes cheveux saccagés par ma mère.
J'ai toujours autant mal quand je repense au moment où elle me coupait les cheveux. Je ne l'ai pas trouvé à la cuisine, tant mieux parce que je n'ai pas envie de la voir ce beau matin. Je me cherche à manger, j'ouvre le micro-onde et trouve des parts de pizza. Je me sers dans une assiette accompagné d'une canette de Coca-Cola.
J'ai au plus dix minutes pour prendre mon petit déjeuner. Si je traine ne serait-ce qu'une seconde, je serai en retard et je n'ai pas envie de me faire fouetter par les surveillants. Je me dépêche donc de manger.
Ma mère : Bonjour mon amour, me lance t-elle en débarquant dans la cuisine. Elle ouvre le frigo et prend une bouteille d'eau fraîche.
Je continue de manger sans lui répondre.
Ma mère : Au fait, j'ai une bonne nouvelle pour toi, dit-elle en s'asseyant autour de la table avec moi. Tu vas partir vivre chez ta sœur, ce n'est pas génial ça peut-être.
Je cesse de mâcher la pizza que j'ai en bouche en ce moment. Elle vient de dire quoi là ?
Ma mère : Quoi ? Tu n'es pas contente ? Demande t-elle après avoir remarqué ma mécontente mine.
Moi : Pourquoi ? Crie-je en me levant de table. Pourquoi tu veux m'envoyer vivre chez elle ? Je t'ai dit que j'en ai assez de rester ici?
Ma mère : Si je veux que tu ailles vivre avec Manu, c'est parce que tu l'as cherché Vicky, crie-t-elle en donnant un coup de poing sur la table, elle se lève. Tu es devenue autre chose dans ma maison. Tu es devenue une bordelle. Je n'arrive plus à te gérer, si je n'avais pas ouvert la porte de ta chambre hier avec la clé de secours, je n'allais pas te surprendre avec Cédric, ça fait la énième fois que je te surprend avec des hommes. Qu'est ce qui t'arrive Vicky ? Fit-elle en voulant pleurer et d'une voix murmurante, je ne te fais pas de la peine ? Tu veux me tuer c'est ça ?
Moi : Pense ce que tu veux mais je n'irai pas chez Manu, ça jamais ! Dis-je en prenant la sortie, mon sac au dos.
Ma mère : Tu vas y aller que tu le veuilles ou non, crie t-elle derrière moi. Tu m'entends Victoria ?
GBAM, je referme bruyamment la porte derrière moi.
***********
12h00, c'est la fin des cours de la matinée. Aujourd'hui c'est mercredi, donc pas de cours dans l'après-midi. J'ai l'après-midi de libre et j'en profite au maximum parce que nous sommes en classe d'examen et bientôt débuteront les travaux dirigés. Pufff! Ce que je déteste le plus.
Ma mère m'a pris un répétiteur de maison pour m'aider en biologie et en français et j'adore ça. En temps normal, ça ne m'aurait pas fait plaisir mais je le suis d'autant plus que mon répétiteur me baise comme une chienne, je préfère quand il me pilonne sur la table d'étude. C'est tellement bon, mdr.
J'ai fini de ranger mes affaires, je presse les pas et rentre chez moi. Monsieur Konan est déjà là.
Monsieur Konan est le nom de mon répétiteur. C'est un monsieur assez âgé. Il a 55 ans. Je le rejoins dans la salle d'étude, il me faut une bite, ça urge. Mon minou est en feu.
J'enlève ma tenue d'école et me retrouve slip, un string plus précisément. Je n'ai pas porté de soutien. Mes seins sont bien debouts et bien gros comme monsieur Konan les aime. Il fait face au tableau, il est entrain d'écrire sur ça. J'avance vers lui et le touche à l'épaule.
Moi : Papy, fis-je en suçant mon pouce. C'est l'heure d'étudier.
Il affiche un sourire pervers à la vue de mes seins. Il commence à me masser les seins, mes tétons sont durs et j'ai mal. Il pince mes tétons et les presse, je crie.
Moi : Anhhhh..... j'ai mal papy....annnhhhh......
Il les pince plus fort. J'ai envie de pleurer, son autre main se glisse entre mes jambes. Il décale mon slip sur le côté et touche ma chatte bien mouillée. D'un doigt, il me pénètre.
Une de ses mains est entrain de me doigter et l'autre pince fortement mon téton, je commence à gémir, je couine et écarte bien mes jambes. Je ne tiens plus debout, je me tord dans tous les sens.
Moi : Oh ouiiii....ouii...papy comme ça, vas-y, annnhhhh.....
Il rapproche son visage du mien et enfouie sa langue dans ma bouche. Je suce sa langue et ses lèvres. Je gémis dans sa bouche.
Moi : Hummm...hummm....annnhhhh.....
On se fixe dans les yeux pendant qu'il me doigte plus vite et pince mon téton plus fort. Je gémis jusqu'à jouir sur son doigt.
Moi : Hummmm, gémis-je de soulagement. Encore papy. Baise-moi, baise ta petite fille papy....
Je le tire par la ceinture et nous allons vers la table d'étude. Je m'asseois là dessus et écarte mes jambes. Ce vieux adore bouffer de la chatte, je ne le prive donc pas. Ma grosse chatte bien rasée et mouillée est écarté devant lui. Il s'agenoue entre mes jambes. Il contemple ma chatte comme un bien très précieux.
Moi : Vas-y papy, mange-moi le minou.
Il donne une tape sur ma chatte et nous éclatons de rire. Il commence à m'embrasser sur les cuisses et atterri sur ma foufoune. Je frémis au contact de sa langue. Il commence à me sucer comme un bonbon.
Moi : Annnhhhh....tu vas me tuer papy..... annnhh......
J'appuie sur sa nuque et gémis en ramenant ma tête à l'arrière. Ma tête est suspendu dans le vide, j'ouvre la bouche et gémis plus fort. C'est quoi ça ? Bordel c'est trop bon....anhhhh.....
#À_suivre