Résumé
Salut mes loulous ! Je suis Sarah, j’ai dix-sept ans, bientôt dix-huit, et j’adore le sexe. J’ai connu le sexe la veille de mes quatorze ans alors que j’étais au mariage d’une de mes cousines. Je l’ai fait avec celui qui marchait à mes côtés ; nous étions garçon et demoiselle d’honneur. Mais bon, ça c’est quelque chose que je vous raconterai après. Ayant des parents peu présents – ils sont tout le temps au travail, et un grand frère, heu..., je n’ai aucune idée de ce qu’il fait quand il sort du travail en fait – je me retrouve donc à faire un peu ce que je veux après les heures du lycée ou le week-end. Du coup, il m’arrive très souvent de trainer les rues et je baise avec n’importe qui quand l’occasion se présente à moi. Oui, je suis une fille facile. Dans mon journal intime, je vais vous raconter chacune de mes ébats avec autant de détails possibles, et je peux vous dire qu’il y en a beaucoup. Jouissez bien... Bisous.
La plage
Allongée sur un drap avec le haut de mon bikini lâché, je profite du soleil rayonnant qui s’offre à moi pour bronzer un peu. En même temps, je me saisis de cette occasion pour regarder les beaux mecs qui défilent devant moi avec leur corps moulant. Ce serait moche de venir à la plage et de ne pas en profiter, n’est-ce pas ? Toutefois, il y a un mec très attirant qui est assis tout seul à cent mètres de moi et qui passe son temps à me regarder du coin de l’œil. Il est très beau, style David Beckham dans sa jeunesse, et j’ai vraiment envie de goûter sa bite. Ce serait une bonne occasion, vu qu’il semblerait que je l’intéresse, mais il me donne l’impression d’être un mec tranquille. J’ai peur qu’il refuse en fait. Bon, appelons-le. Qui ne tente rien n’a rien de toute façon.
- Tu as besoin de moi ? me demande-t-il aussitôt qu’il arrive à ma hauteur.
- Est-ce que tu pourrais me passer de la crème sur le corps s’il te plait ? J’ai remarqué que tu me regardes depuis plusieurs minutes et je me suis dit que tu pourrais me rendre ce petit service.
- Avec plaisir poupée ! lance-t-il tout en prenant mon tube de crème solaire.
S’asseyant à mes côtés, il met de la crème dans sa main avant de me le passer sensuellement sur mon dos nu. Il se montre appliqué et c’est très agréable. Comme il arrive au niveau de mes fesses, il passe discrètement le bout de ses doigts sous ma culotte, allant même jusqu’au creux de mes fesses, sans pour autant s’y attarder. Il le fait en plusieurs occasions avant de passer à mes jambes.
- J’ai envie de toi, je lui lance à voix basse.
- Suis-moi, me dit-il aussitôt tout en attachant le haut de mon bikini avant même que je ne le lui demande.
Sentir sa main sur mon corps commence déjà à m’exciter et, s’il ne se passe rien entre nous, je serai vraiment déçue. Je me lève tout en laissant mon drap sur la plage et je le suis. Personne ne le volera de toute façon. Nous longeons la plage quand il glisse sa main dans la mienne. Puis, avec son pousse, il me caresse l’avant-bras, ce qui me donne des frissons dans tout le corps. Du reste, je commence déjà à me sentir mouillée. J’ai vraiment envie qu’il me baise pour tout vous dire et je suis même à deux doigts de lui demander de le faire en public, mais je me retiens. Nous faisons connaissance au fur et à mesure où nous avançons et il s’appelle Martin.
Au bout de quinze minutes, nous arrivons près de gros rochers dans une partie retirée de cette côte. C’est un endroit où je n’ai jamais songé m’y aventurer avant aujourd’hui, mais je peux vous dire c’est magnifique. Je regarde rapidement autour de moi pour mieux cerner le lieu et je vois une petite cascade. Juste à côté, il y a une sorte de petite grotte. Le cadre est magnifique et, vu qu’il fait chaud, nous prenons la décision de nous rapprocher de l’eau. Nos pieds sont recouverts par l’eau alors que les vagues s’écrasent juste devant nous. Ne pouvant plus attendre, je me tourne vers lui et je me mets à l’embrasser avec fougue. Sans perdre de temps, il me plaque sur le sable et il m’arrache le haut de mon bikini qu’il envoie un peu plus loin pour qu’il ne se trempe pas. Vu la force avec laquelle il s’y est pris, j’espère juste qu’il ne me l’a pas déchiré. Vu que j’ai les seins à l’air, il les recouvre avec ses mains avant de me les malaxer. Je suis tellement excitée que mes mamelons sont déjà bien raides.
Cinq minutes sont passées et Martin m’embrasse sur les lèvres et, moi, j’insère ma langue dans sa bouche alors que je suis allongée sur le sable. Il est tout aussi excité que moi. Il rapproche son visage de mes seins, se focalisant sur celui de gauche, et il me mordille le mamelon avant de passer la langue autour de mon aréole à plusieurs reprises. Il est toujours sur la partie haute de mon corps et je sens déjà ma respiration s’accélérer. Au fur et à mesure où sa langue tourne autour de mon aréole, passant de temps à autres sur mon téton, je ne peux m’empêcher de pousser des petits gémissements. Mes bras sont vers l’arrière, avec mes mains enfouis dans le sable. Je suis toute à lui. Alors qu’il continue à me sucer et à me mordiller le mamelon, mon niveau d’excitation augmente de seconde en seconde, à un tel point que je ne peux m’empêcher d’onduler le bas de mon corps. Au bout de dix minutes, Martin remonte sensuellement jusqu’à mon cou et il m’y donne des bisous. Pendant ce temps, ma main se pose sur ma chatte, par-dessus ma culotte, et je me mets à la caresser.
Les minutes passent et je n’ai plus qu’une envie : qu’il me baise. Martin commence progressivement à descendre, me donnant des bisous sur le ventre tout en continuant à descendre sensuellement. Pendant ce temps, je ne peux cesser d’onduler mon corps alors que je suis toujours allongée sur le sable. Puis, il enlève délicatement ma culotte et, instinctivement, mes jambes s’écartent aussitôt. Il me donne des bisous sur ma jambe gauche en partant de mon genou pour remonter vers ma chatte. Dès qu’il y arrive, il passe sa langue sur mon vagin, ce qui m’excite encore plus. Je ne peux m’empêcher de gémir quand, quelques instants plus tard, il passe la pointe de sa langue continuellement de haut en bas, et à un rythme assez élevé, sur mon clitoris avant d’insérer en même temps son majeur dans ma chatte.
Quinze minutes sont passées depuis que nous avons commencé et je prends toujours autant de plaisir avec ce que me fait Martin. Toutefois, il me manque toujours le principal : la pénétration. Du coup, je me relève et je l’embrasse avec passion. Je suis excitée et je lui mordille même les lèvres. Puis, tout en le regardant dans les yeux, je me mets sensuellement à genoux tout en baissant son maillot de bain. Aussitôt que mes genoux touchent le sable, je baisse mes yeux afin de voir ce qu’il a dans le pantalon quand je vois une grosse bite toute raide se présenter à moi. Avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, Martin s’allonge devant moi tout en écartant les jambes. Vu que je suis déjà à genou, je la saisi et je la mets aussitôt dans ma bouche. Je lui suce délicatement le gland, passant la langue tout autour, avant de faire des mouvements de va-et-vient avec ma tête. Posant sa main sur ma tête, il régule la vitesse à laquelle je lui fais la fellation et, du coup, je n’ai qu’à garder la bouche grande ouverte. Ne se contrôlant plus, il enfonce sa grosse bite dans ma gorge, ce qui m’étrangle, me faisant même tousser, mais j’adore ça.
Les minutes défilent et c’est moi qui ai repris la fellation. Toutefois, je fini par m’en lasser et je m’arrête. Je m’allonge à nouveau sur le sable tout en écartant les jambes. Aussitôt, Martin se mets à genoux devant mon vagin et il y insère sa queue. Elle est tellement grosse que je ne peux m’empêcher de gémir.
- Ah ! Oh oui, c’est trop bon ! Vas-y, baise-moi plus fort ! je lui lance avec une voix toute tremblante quand il se penche vers moi pour m’embrasser tout en continuant avec son mouvement de bassin.
Je ressens chaque mouvement que fait sa grosse bite en moi. A chaque fois qu’il touche mon point G, j’ai des frissons intenses dans tout le corps que je ne peux rien faire d’autre que d’apprécier le moment. Mes gémissements se font de plus en plus forts et, à un moment, une de mes mains se pose sur mon clitoris et elle le frotte vigoureusement alors que l’autre malaxe mon sein droit.
- Continue bébé, c’est trop bon ! Ah ! je gémis alors que je suis toute essoufflée. Oh oui ! J’aime trop !
Ce que je vis actuellement est indescriptible. Les va-et-vient de Martin sont rapides, ce qui fait que mes frissons sont en continue. Je gémis de plaisir et je n’ai absolument rien pour m’agripper. Pendant l’acte, l’eau m’arrive sous le dos, ce qui me rafraîchi de temps en temps. Sentant qu’il est proche de l’éjaculation, Martin enlève sa bite de ma chatte avant de se relever. Ne perdant pas une seconde, je me retourne et je m’agenouille devant sa bite. Ensuite, je la lui suce tout en le masturbant le plus vite possible. Au bout d’une minute, il éjacule et je reçois tout son sperme dans la bouche. Après avoir tout avalé ; oui, j’aime beaucoup ce liquide, je me relève et je l’embrasse en frottant ma langue contre la sienne tout en me collant à lui.
Martin et moi venons de vivre quelque chose de vraiment inoubliable. Il a une grosse bite qui me transporte au septième ciel aussitôt qu’elle pénètre dans ma chatte. Même si nous avons terminé, nous restons tout nus. Cela fait quelques minutes maintenant que nous sommes debout dans la mer avec l’eau qui nous arrive au-dessus des hanches et nous restons collés l’un contre l’autre. Pendant ce temps, Martin me doigte lentement uniquement avec son majeur alors que moi je le masturbe à nouveau, également à un rythme très lent. J’ai comme l’impression que nous ne voulions pas que ce moment magique ne touche à sa fin. Nous nous masturbons pendant une trentaine de minutes avant de finalement prendre le chemin du retour. Nous nous sommes rhabillés d’abord, bien entendu. Aussitôt retournés sur la plage, il va à sa place tandis que moi je regagne mon drap. Vu qu’il n’est que quatre heures de l’après-midi et qu’il me reste encore du temps avant que je ne rentre chez moi, je m’allonge à nouveau sur mon drap tout en profitant de la vue des autres beaux mecs, mais je n’arrive pas à fantasmer sur eux. Le moment que nous avons vécu a été tellement intense mais, une chose est certaine : il est peu probable que nos routes se croisent à nouveau. C’est dommage...