Le frère de ma meilleure amie et son père me chauffent la chatte

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Qui l'aurait cru ? Que moi Adeline je coucherai avec le père de Ruth ma meilleure amie ainsi que son propre frère. Je ne sais pas si cela va vous paraître bizarre mais l'envie sexuelle ne connait rien de cet histoire de confiance surtout amitié.

Avez-vous déjà couché avec le père de votre meilleure amie ou meilleur ami ? Je ne sais pas si votre réponse serait oui ou non.

Adeline c'est mon nom, d'autres m'appellent Adé , un surnom que j'apprécie beaucoup, j'ai une forme incroyable, une forme qui fait perdre le souffle aux hommes principal à mon entourage. Ma poitrine bien gonflée, montre un énorme sein, mes yeux brillent comme la lune. Je ne mesure pas très grande chose, 1m45 est la mesure exacte de ma taille.

Je suis l'aînée de la famille, j'ai deux petits frères. Ma mère est une coiffeuse et mon père un mécanicien automobile, nous ne sommes pas riche mais nous ne manquons de rien en matière de nourriture et de tout ce qui va avec.

Je venais d'avoir 19ans, une âge ou tout le monde est pressé de découvrir les vraies réalités qui s'y trouvent dans la vie ou les mystères cachées du sexe, aller jusqu'à 19ans sans connaître le sexe est vraiment quelque chose d'incroyable, coucher sur le dos, les deux pieds croisés derrière ce jeunhomme, j'hurlai de plaisir, tellement l'effet était fort que je n'arrivais pas à tout encaisser. Étant ma toute première fois, je lui demandai de faire en sorte à ce que cela soit une histoire romantique mais monsieur ne m'y prêtait pas attention.

___ Aïe ! Exclamai je, j'ai mal Donald.

Donald ? Vous vous demandez si c'est mon copain ou c'est juste un ami avec qui je pratique l'activité sexuelle, Donald est le frère de ma meilleure amie, il est l'aîné de la famille comme moi, comment on en est arrivé ? Il est vraiment beau et élégant, doté d'une intelligence, il est étudiant en CBG. Il a le charisme de séduire toute sorte de beauté qui se défile à travers son chemin. Je n'ai pas pu m'en passer, il m'a fait des avances, j'ai fini par céder. Tellement il me parlait du sexe, des positions dont j'ignorais leurs existences, j'ai fini par lui dire de me les montrer.

Aujourd'hui, on devrait travailler à trois mais une fois chez eux, il m'est été rapportée que ma meilleure amie n'était pas à la maison.

___ Profitons-en, m'a-t-il dit.

J'ai accepté et il m'a directement envoyé dans la chambre, son cœur battait tellement fort que je me demandais s'il était asthmatique, il me souleva et me déposa sur le lit qui donna un grand bruit, je souris et le regarda enlever ses vêtements. Oh sa poitrine, qui était beau, je me rappelle de ce jour comme ci c'était hier, sa poitrine était bien musclée et ses abdos sortaient très bien.

___ Laisse-toi aller, me lança t'il tout en montant sur le lit.

Mon cœur s'était mis à chanter comme le leur, il s'approcha de moi, mis la main dans ma chemise et enlèva calmement ma robe, une robe qui fait voyager les hommes à travers un pays lointain, les hommes avec leurs imaginations.

___ Vas-y doucement avec moi, c'est pour ma première fois.

___ T'inquiète pas Adeline, je le ferai selon ton rythme en attendant que mon père rentre à la maison.

J'enlevai mon soutien gorge que je jettai de l'autre côté de la pièce, l'envie était très très forte, Donald attaqua mes deux seins qui étaient bien pointues et commençait par les sucer, les caresser, ce qui ressuscitait une forme de désir incroyable dans ma tête.

Il me regarda bizzarement avec un œil séduisant, je savais qu'il voulait faire quelque chose, quelque chose que je n'aimerais peut-être pas. Soudain, il enfonça sa deuxième main dans mon silip.

___ Donald mais qu'est ce que tu fais ? Demandai-je tout en essayant d'enlever sa main.

___ Calme-toi Adeline, laisse-toi aller, j'aimerais simplement te montrer ce qui sait que le désir.

Je laissai sa main et il continua avec ses caresses dans mon bas ventre, il projeta sa langue au niveau de mes seins, l'enleva, et le parcourit tout au long de ma tête, attaqua chaque membre de ma tête et le suçait comme ci il y avait du chocolat à l'intérieur. Il descendit tout doucement sa langue vers mes cuisses, le suça également.

___ Tu es prête ? Me demanda t'il.

On est jamais prêt (e) pour une activité sexuelle, le sexe ne se programme pas, quand on programme le sexe, on éprouve plus bien le désir, mais un sexe non programmé est vraiment le meilleur. Je souris et il comprit aussitôt qu'il devrait foncer seulement sans y faire attention à ce que moi je ressentais, il enlèva son schott. Mon Dieu, c'est quoi ça ? Il y avait un gros machin entre ses jambes, la chose me touchait depuis, me caressait les cuisses depuis mais je ne savais pas que c'était si énorme, il me toucha les cuisses avec, c'était trop dur, on dirait un marteau ou un objet sur, tout compte fait, ça risque de casser un objet fragile.

Il me caressa la tête, les seins et les cuisses avec ça. Le descendit tout doucement dans mon bas ventre, écarta mes jambes.

___ Ça risque de te faire mal, mais t'inquiète pas j'irai doucement.

___ Tu as intérêt.

Il enfonça tout doucement son machin dans mon sexe, au début c'était tout comme ci c'était la tête seule qu'il essayait d'y mettre, je n'ai jamais pratiqué et le sexe. Pour la première fois, il faut le faire avec technique. Je fermai tout doucement les yeux pour encaisser la doeuleure, c'était très très forte, mes deux jambes tremblaient, mon cœur battait très très fort. Soudain, je sentis tout son machin en moi.

___ Oh ! Exclama t'il, quelle chatte. Tu le rends fou Adeline.

___ Vas-y seulement Donal, fais-moi vivre ce moment de plaisir.

___ Compte sur moi seulement.

Il commença avec les mouvements de va-et-vient, il flottait mon vagin avec son gros machin, il me caressait les épaules, pinçait mes seins avec ces deux mains.

___ Aïe Donald j'ai mal, criais-je.

J'avais commencé par avoir des crampes au bas ventre, j'ai constaté que quelque chose coulait de mon bas ventre, un liquide dont j'ignorais complètement l'existence et d'où est-ce qu'il venait pour me déranger.

___ Je ferai tout doucement.

Il recommença à nouveau avec ses mouvements de va-et-vient, que c'était bon, moi qui venait pour réviser, me voilà dans le lit de Donald entrain de m'envoyer au septième ciel, un ciel vraiment intense et inqualifiable. Vous savez très bien de quoi je suis entrain de parler, sentir cette chaleur au plus profond de mon être me donnait la rage, une rage sexuelle, je vis à présent pourquoi mes camarades n'arrêtaient pas de m'engueuler avec cette histoire, je vis la raison maintenant. Une chose est de pratiquer le sexe et une autre chose est de bien le faire avec un partenaire qui arrive à vous mettre KO, un partenaire qui arrive à vous faire voyage dans les nuages et au septième ciel également.

Je jettai un coup d'œil à travers mon entrejambe, il y avait du sang, mais pourquoi ? Est-ce que mon vagin était déchiré ou juste parce-que Donald était un peu endurant. Les filles ont l'habitude de me parler de ce sang qui coule au cours du premier rapport, certe mais je me demande si ce n'est pas mes règles qui étaient là, et si c'était le cas. Je paniquai, malgré cela, Donald continuait par me masser la chatte avec son engin. Vu les grimaces et les yeux que je faisais, il s'arrêta, me fixa tout droit dans les yeux et regarda son entrejambe. Il se rabaissa tout doucement sur moi, oh que son corps était chaud, avec cette sueur qui se faisait remarquer sur son abdo, c'était fort que moi.

___ T'inquiète pas, c'est la couche qui s'est brisée vu que tu étais vierge. Comme c'est pour la première fois, tu devrais perdre du sang, me confessa t'il.

___ D'accord.

Eh bien, je vins de perdre ma virginité, Donald est l'homme qui me l'a pris, il est le premier à me voir nu en dehors de ma famille. J'étais heureuse de le faire, j'aimais Donald après tout, même si notre relation était secrète, c'était quand même bien d'être avec lui, il accéléra un peu, soudain il se retira de mon vagin et je vis un liquide sortit de son pénis.

___ Adeline nous venons de terminer avec le premier coup, me lança t'il.

___ C'est quoi ce liquide ? Demandai-je.

___ C'est le sperme Adeline, répondit il, je ne devrais pas faire l'erreur de le laisser en toi au risque de ne pas avoir une surprise innatendue.

___ Ah en croire ce que les gens disent, on peut se référer aux méthodes contraceptives non ? Quand même ?

___ Je le sais, prochainement on le fera. Comme c'est pour ta première fois, on devrait pas prendre une telle risque. Je sais de quoi je parle.

___ Si c'est toi qui le dit, je crois. J'ai beaucoup aimé.

___ Tu es sûre ?

___ Oui très sûre, je me sens différemment à présent, on dirait que tu m'as fait sentir comme une femme.

___ Je suis ravi de l'entendre Adeline. J'aurai aimer qu'on recommence mais elles vont pas tarder à rentrer.

___ Je te comprends chéri, je vais me doucher pour rentrer aussi. Il faut que j'aille m'occuper de la cuisine vu l'heure qu'il fait.

___ D'accord, la douche est là-bas.

Je me levai, ramassa mon silip et mon soutien gorge et je m'en filai sous la douche. Après avoir pris le temps de me débarrasser du sang qui était sur mes deux cuisses et à l'entrer de mon vagin, je mis mon silip et mon soutien et je rejoignis Donald qui était entrain de se débarrasser du drap.

___ Comment veux-tu faire ? Demandai-je.

___ Je l'enverrai au pressing pour qu'il s'en occupe de ça.

___ Non donne le moi, je vais le garder comme un souvenir dans mes affaires.

___ Non ce n'est pas possible Adeline, tu ne peux pas le garder sur toi.

___ S'il te plaît Donald, au nom de notre amour. Si tu m'aimes réellement et tu penses recommencer ceci avec moi, alors donne-moi ce drap. T'inquiète pas ma famille ne verra rien, ma mère devrait être à l'atelier mon père également.

___ Très bien, tient.

J'ai pris le drap que j'aie automatiquement plié dans un sachet, j'ai enfilé ma robe et j'ai quitté la chambre avec Donald tout en discutant de notre ébat sexuel qui était magnifique.

___ J'ai beaucoup aimé Donald, tu m'as fait vibrer.

___ Comme tu le voudras, je te promets de faire mieux très prochainement.

___ D'accord chéri.

Je plaçai un bisou sur son joue et je quittai la maison, en rentrant dans la von qui donne accès au pavé, je vis la voiture de son père, oh que j'avais la chance, si j'avais insisté à ce que Donald aille plus loin, son père viendra nous surprendre facilement. Mais bon, l'essentiel est que je me suis sauvée. Je me suis précipitée les pas et je suis rentrée chez moi.

Une fois à la maison, j'ai pris le soin de cacher ce drap magnifique, ce drap qui prouve que j'ai perdu réellement ma virginité.

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À suivre.