Chapitre 7

7

~~~Halima

Je quitte le balcon entre dans ma chambre. J’aimerais tellement allez au lycée mais, il verra encore une fois, je suis sûre qu’il en a déjà parler aux autres. Ils sont tous sûrement contre moi.

Je n'en peux plus d’être la fille a qui tout le monde en a pitié, je me sens nul. J’aurai du mourir quand ce suis rentré ce jour la ou j’aurai fait une grave accident. Ma souffrance ne me consumera pas à ce point.

C’était le soir et comme tout les soir depuis presqu'un mois, la porte s'ouvre sur mes parents. Ma mère s’asseoir juste a côté de moi en évitant de me regarder dans les yeux, c’est la première fois qu'elle me face une chose pareil. Peut-être qu'elle s’est rendu compte de quel genre d’enfant j’étais.

Quant a mon père, il se dirige vers le balcon. J’ai l’impression que quelques chose ne vas pas. Je suis tellement confuse. Après quelques minutes de silence, mon père reviens a coté de mon lit. Il me regarde d’un regard presque indéchiffrable.

- Tu vas te marié dans quelques jours dit-il simplement

Me marié ? J’espère qu’il rigole ? Avec tout ce que je vis en ce moment, c’est ce qu’il a trouvé a m’annoncer ? J’aimais bien les blagues mais plus maintenant.

Je les regardes tout les deux en attendant qu’ils rigolent mais non, les reniflement de ma mère me montrent la réalité en pleine face, comment ils ont pu décider sa pour moi, la dernière chose que je veux dans ma vie en ce moment c’est qu'on me donne en mariage gratuitement.

- On a pas d’autre choix ma chérie, pardonne moi dit ma mère en essayant de me toucher mais je l’arrête.

- Non….je ne veux pas me marié ? Quels genre de parents vous êtes a la fin ? Vous ne voyez pas que je souffre ?

- Le genre de parent qui veulent de ton bien, tu aurais dû y penser avant de te rendre chez un garçon sans notre permission dit sévèrement mon père. Soit reconnaissante que quelqu’un veut encore de toi

Puis il ressort de la pièce. Ma mère ferme les yeux et ravale ses larmes avant de ressortir a son tour. Après leur départ, je quitte mon lit et me rendre dans la salle de bain. Je pleure sans me retenir. Je suis devenu un objet, j’aurais dû penser a des conséquence avant d'aller chez lui. Ma vie n'a plus de sens.

*

J’ai pleurer toute la nuit, ce matin, ma mère est passée me convaincre mais, aucun mot n'a pu sortir de ma bouche. Elle avait dit que ma belle famille passera aujourd’hui. Plus personne ne veut de moi alors ils veulent se débarrasser de moi. Ml Même Leïla ne viens plus comme avant, on dirait qu'elle m’évite , d’accord’ailleurs , tout le monde m'évite et je crois que c’est mon destin.

Jamais je ne me mariera mais comme on me l’impose, ils ne me verront pas vivante. Je prends la boite de somnifère sur le commode de la salle de bain et vide l’entièreté dans ma bouche accompagné d'eau. Et j’attends ma mort, je veux juste partir loin de cette vie, loin de mes parents et de tout le monde. Je commence a me sentir bizarre, mon cœur commence a me lâcher et je md laisse tomber au sol

Adieu mon malheur

Adieu ma souffrance

Adieu

J’espère sue mon âme reposera dans la demeure d’Allah, j’espère qu'il me recueillera dans son royaume.

~~~Soulé Mohamed (père d'Halima)

Je suis assis depuis des heures dans la salle de bain. Je fais mes ablutions en repensant au regard de ma fille lorsque je viens de l’annoncer cette nouvelle déchirant. Je n’avais pas le choix, il fallait qu’elle accepte après ce qu'elle a vécu, aucun homme ne va vouloir l’épouser.

La religion est strict, un homme est dans l’obligation d'épouser une femme vierge remplit de dignité mais ce garçon a détruit celle de ma unique fille. Quand mon meilleures amis , le père de Leila m’avait parler du retour de son fils surtout sur le faite qu’il voulait a tout prix qu’il se mari, alors, j’avais profité de la situation. J’avais proposer ma fille comme une marchandise.

J’aurai du être là contrôler plus, peut être si je jouais bien mon rôle de père, tout sa ne serait pas arrivé.

Je m’asseoir sur mon tapis de prière et commence a crié le nom d’Allah de tout mes forces. Je veux qu’il guérir ma fille et son âme.

Quelques minutes après, je fini et sort de la pièce. J’entre dans la salle des écrans. Depuis ce qui s’est passé, j’ai engager un psychopathe qui m’avait clairement expliqué que c’était trop tôt pour elle alors, elle m’avait conseillé de mettre des caméras un peu partout dans sa chambre car très souvent, les filles victimes du viol on toujours un seul idée en tête : laisser la vie, plus pratiquement, se suicider.

Alors avec ses caméras, je peut contrôler tout les mouvements qu’elle fait. Alors ce soir quand j’avait poser mes yeux sur l’écran, elle était dans la salle de bain en pleure. Quelques minutes après, je décide de me rendre dans la cuisine pour prendre un verre d’eau vue que j’avais donner congé de deux mois a les domestiques a cause de ma fille, je n’aimerais surtout pas que l’une d’entre elle futé les informations sur ma fille, sa aurais détruire le reste de sa vie.

J'ouvre le frigo et sort une bouteille d’eau que j’ouvre. Je bois la moitié et remet le reste. Mon cœur commence a battre anormalement alors, je cours pour ouvrir la porte de notre chambre et ma femme dors paisiblement.

Je quitte la pièce et entre sans la salle des écrans ce que je vois me fait tourner la tête. Ma fille, ma petite princesses est couché sur le sol de la salle de bain une boite de somnifère vide en main. Elle n’a pas pu faire sa ?

Je cours pour entrer dans sa chambre complètement vide, mes pays me mènent dans la salle de bain grandement ouverte. Je me précipite vers le corps toute frêle de ma fille. Je commence a appuyé fortement sur son ventre et dans les minutes qui ont suivi, elle recrache tout les comprimé en toussant.

Quand mes yeux entre en contact avec le sien, je me rappelle de la première fois ou je l’avais pris dans mes bras, ses grands yeux qui me contemplait. Aujourd’hui, ma fille souffre vraiment jusqu’à se donner a la mort. Et si je n’étais pas ? Elle….non je ne veux pas penser a l’idée de perdre mon unique enfant.

Je la porte sur mon épaule puis sort de la salle de bain. Je la dépose sur le lit et remonte la couverture sur elle.

- Pourquoi tu as fait sa ? Tu sais que je ne ferai jamais rien pour te faire souffrir.

- Pardon père je…je ne sais pas ce qui m’avait prie dit-elle difficilement

- Je te pardonnerai toujours tu le sais ? Je ne veux que ce qui est mieux pour toi, Ibrahim vient d’une bonne famille c’est un homme bon, il t’aidera beaucoup je te le promet

Elle hoche juste la tête avant de fermer les yeux , je devine qu'elle dort alors, je retourne dans la cuisine et chauffe un peu d’eau. Je remonte dans sa chambre et m’asseoir a coté d’elle. Elle a de forte fièvre alors je trempe une serviette dans l'eau et commence a la réchauffer. Je suis restée à sa cheville jusqu’au petit matin.

Il ne fallait pas que Alimata apprend ce qui c’était passé . elle sera sûrement déprimé a l’idée que sa fille était prête a partir loin d’elle.

J’entre dans notre chambre et ma femme était toujours en pleure, sa l’affecte tellement que j’ai peur sue son état de santé s’aggrave.

- Bonjour mon amour dis-je en m’essayant a coté d’elle.

- Tu crois qu'elle s’en remettra un jour ? Demanda telle en essuyant ses larmes.

- Avec le temps , quand elle aura quelqu’un avec qui parler, quelqu’un qui la soutiendra.

Elle hoche la tête en essayant de retenir ses larmes. J’entre dans la salle de bain et me lave après avoir brosser les dents. Je fais mes ablutions et faire ma prière matinal. Je finis a peine que madina la gouvernante entre dans la pièce après mon autorisation.

- Bonjour monsieur Dit-elle en baissant la tête

- bonjour Madinat dis-je à mon tour.

- vos invités sont déjà la