Chapitre 4

4

~~~Soulé Mohamed

Je regarde ma fille coucher sur ce lit et j’ai la rage, juste la rage, elle est sortie des cours depuis 18 heures d’après son proviseur mais elle vient de rentrer 21 heures, j’ai envie de tout détruire.

Laisser de liberté a notre fille était un mauvais idée, je tremble de l’intérieur, je me pose des tonnes de questions depuis son évanouissement. Sa robe est toute déchiré. Et des tonnes de marques sur son corps.

J’appelle notre docteur et j’espère qu’il sera la dans peu de temps car les pleurs de ma femme m’inquiète. Elle ne supporte pas de voir notre fille dans cette état.

Leila entre dans la chambre en courant, je ne sais pas ce qu’elle fait la mais, c’est une bonne ami.

- Salem monsieur Mohamed dit-elle poliment.

- Salem madame Mohamed.

- Comment tu vas Leila dis-je en la regardant. Peut-être qu'elle saura ou ma fille était car ses deux ne se quitte pas.

- Très bien. Quand je l’avais appelé tout a l’heure et je tombe sur sa messagerie vocal alors je suis venu.

Quand ses yeux pose sur Halima couché sur son lit, elle devient tout d’un coup toute blanche.

- Qu’est ce qui s’est passé ?

- Elle est rentrée dans cette état, le docteur sera la dans peu de temps.

Quelques minutes après, le docteur était là et nous sommes obligé de sortir pour qu’il s’occupe d'elle.

Nous sommes dans le couloir toutes inquiète. Le visage de ma femme est totalement viré en rouge, Leila essaye de faire de son mieux pour la consoler mais c’est a peine perdu.

La porte s'ouvre sur le docteur, en voyant sa tête, je savais qu’il n'y a que des mauvaises nouvelles.

- Qu’est-ce qu'elle a ? Elle n'a rien de grave pas vrai ?

- Vous voulez pour qu’on parle en privé ?

- Non….parler ici

- Pour tout vous dire, je….c’est difficile a encaisser mais d’après mes analyse, votre fille a subi une agression sexuelle.

Quoi ???

~~~Leïla

Je regarde la porte de sa chambre sans pourtant arrêté de pleurer. Comment sa a peut arrivé ? Elle était heureuse il y a même pas 3h. Je suis totalement ailleurs.

Mes larmes coulent comme de l'eau, je souffre pour sa douleur, je souffre pour ses séquelles . j’aurais du être la pour elle. Quel genre d'ami je suis ?

Je regarde sa mère éclate en sanglots. J’essaye de la consoler mais c’est a peine perdu, son père ne fait que des allez retour dans le couloir. Il est perdu comme nous tous

- Comment sa a peu arrivé ? Comment ?

- Vous pouviez allez la voir , elle vient de se réveiller.

Je suis tellement confuse, qui peut bien lui faire sa a part…..attendez une seconde, elle avait dit qu’elle était chez Martin quand on chatait dans l’après midi. Il peut faire sa….si il peut, juste sont regard criait la perversité, si c’est vraiment lui qui a détruit la vie de ma meilleure ami, il périra en prison pour le restant de sa vie, il paiera pour avoir réduit en néant une vie .

- Elle était ou cet après midi ? Demande son père avec un regard rempli de rage.

- Je…je ne sais pas

- Leila , tu sais que je t’aime beaucoup mais, me mentir ne t’amènera nulle part.

- Elle…était chez martin

- C’est qui ?

- Un garçon de notre classe, son petit copain.

Il contacte sévèrement sa mâchoire et ses points.

J’avais toujours connu Halima pour sa joie de vivre, elle est pleine d’énergie rebondissant. Elle a le dont transformer la tristesse en joie.

On se dirige tout les trois vers la porte de sa chambre, son père pousse doucement la porte et on entre a l’intérieur. Elle est coucher sur son lit avec une perfusion sur le bras. Elle a les yeux fermer. Je sais qu'elle ne dort pas, elle fait sa pour nous éviter. Elle ne veux pas nous affronter mais je serais la si tu veux savoir, tu peux toujours compter sur moi.

~~~ Martin Lawson

Après le départ de cette pute, je me rhabille et me dirige vers le caméra que j’avais planter dans le salon. Il faut toujours suivre ses arrière, je l’avais draguer car j’avais fait mes recherches sur elle et il savais que ses parents sont bourré de fric. Je voulais juste l’escroquer et partir loin de ce pays mais , quand mes yeux on poser sur son corps de rêve pour la première fois dans la salle de gym, elle ne portait qu'un brassière rose qui mettait en valeur ses gros fesse. J’avais bander comme un malade.

Je voulais faire les choses a la normale mais plus le temps passait plus elle évite a tout prix que je la touche. Sa m'énervait vraiment mais je me contrôlait. Aujourd’hui , je savais que c’était le bon alors j’avais planté des caméras un peu partout.

Elle était tellement délicieux en plus d’être fraîchement vierge, elle a des seins bien rond et des courbes parfait.

Je ne m’inquiète pas car je sais que je ne risque rien. Les putes de se genre n'on jamais le courage d’aller porter plainte. Leur dignité compte avant tout.

Je prend un sachet de chips et me couche sur mon lit qui est carrément dans un salle état. A chaque fois qu’elle venait ici, j'évitait a prix qu'elle voir ma chambre mais maintenant que j’ai eu ce que je veux, j’en ai rien a foudre.

Elle était très curieuse, demander d’après mes parents me foutait en rage car, j’avais assassiné mes parents il y a 2 ans. Je regrette de les avoir seulement étrangler, j’aurai aimer les torturer avant. Il n’étaient rien que des vaux rien.

Je suis née en France , mes parents étaient des employeurs , aide ménager. C’était un humiliation pour moi mais je vivais avec, jusqu’au jour où j'ai cambriolé la maison leur patron. Quand mes parents avaient compris que c’était moi, ils voulaient me dénoncer alors que, j’ai fait ce que j’avais a faire.