Chapitre : 04

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Je savais que ma question n'était pas une question facile mais j'attendais une réponse calme et sereine de la part de ce chauffeur. Il me regarda à travers le rétroviseur de la voiture.

___ Vous vous souvenez ? demandai-je.

___ Oui très bien.

Pensait-il que j'étais ivre à ce point pour ne pas m'en rendre compte de ce que nous avions fait hier nuit ? Pensait-il que c'était juste pour une nuit ?

___ Je pensais que c'était le fruit de l'alcool, je ne voulais pas le faire mais...

Je n'avais pas entendu qu'il finisse sa phrase avant de passer ma main tout au long de sa poitrine et la descendit au bas de son pantalon.

___ Aïe madame, je suis au volant.

Je ne laissai pas tomber, je continuai avec mes gestes de main. Il fermait les yeux tout comme ci ce que j'étais entrain de faire le mettait hors de lui-même. Dans ses yeux, je pouvais lire un désir profond, un désir qu'il portait à mon égard. Je savais très bien que nous étions sur la voie alors j'ai enlevé ma main de son pantalon.

Nous avions passés toute la journée à se promener comme ci nous étions des amoureux.

Vingt heures ? C'était l'heure exacte qu'il sonnait lorsque nous étions sur le point de rentrer, j'avais envie de ce chauffeur mais je voulais que pour cette fois-ci soit différent, j'aimerais qu'il me pénètre le corps avec sa main douce et ses douces lèvres. Oui c'était tout ce dont j'avais besoin et qu'ensuite, qu'il me pénètre comme un fou et que sa bite attint mon estomac.

___ Madame...

Je lui ai pas laissé terminé sa phrase avant de le caresser le ventre, à le voir, on dirait qu'il avait compris que j'étais entrain de devenir une folle. Une très grande folle de sa bite. Avais-je le choix ? Cette bite me faisait voyager.

Oh ! Oh ! Quelle erreur ? J'avais complétement oublié de vous parler de ce chauffeur, de sa beauté, son élégance et surtout de son charisme incontournable qui me fait vibrer comme une folle.

Fiacre ? C'était son homme, non seulement il est beau, il dégage une très bonne orage qui me fait vibrer, juste son sourire suffisait pour me mettre à terre comme une folle. Sa taille ? Il mesure quelque chose de 1m70, vous imaginez déjà la taille de mon baisseur incontournable. Voulez-vous en savoir plus sur lui ? Non je ne vous dirai plus rien pour le moment, vous allez connaître le reste sur Fiacre au moment opportun pour ne pas dire au bon moment, pour le moment c'est tout ce que je pourrai vous dire le concernant.

___ Madame qu'est-ce que qui se passe ? demanda t'il tout innocent.

Pourquoi me demandait il cette question ? Certainement qu'il avait peur de faire quoi que ce soit, âpres tout je suis là femme de son boss et il avait mille raison pour avoir peur mais moi personnellement, je n'avais pas peur de quoi que ce soit, je n'avais pas peur non impossible d'avoir peur. Cette bite me donnait un courage que moi-même je ne comprenais pas. Un courage qui me dépassait même.

___ Serres le côté et gare toi.

Il obéit à mes ordres et se gara. J'étais assise derrière avant, je suis sortie et je lui ai rejoint devant.

___ Fiacre, je n'arrête pas de penser à hier et j'ai vraiment envie que tu me baisses à chaque fois que nous serons seul. À chaque fois que nous serons seul, j'aimerais que tu chauffes ma chatte avec ta sacrée bite. J'aimerais que tu me rendes folle.

Il ne pipait mot, les deux mains placées sur le volant, il ne faisait que regarder devant lui tout comme ci ce que j'étais entrain de dire lui dire était incohérent et insensé.

___ Dis quelque chose Fiacre, je te donnerai tout ce dont tu as besoin, ce secret rrstera entre nous et tu deviendras mon chauffeur personnel.

___ Je ne sais pas quoi dire, je suis juste aussi fou de votre forme rondelle et de votre chatte qui mouille très bien ainsi que vos façons de gémir. Ça me rend dingue aussi mais...

___ Calme-toi Fiacre.

Je ne voulais pas qu'il termine sa phrase, la tension était aux rendez-vous, ses lèvres ainsi que ses salives qui dansaient dans sa bouche me mettait vraiment hors de moi.

Ma chatte ? C'était effectivement un paradis, j'ai toujours su prendre soin de ça comme cela se devait. Elle était bien entretenue, pourquoi Fiacre ne serait pas amoureux de ça ? Impossible, même mon homme serait aussi folle de ça, mais pour le moment, ma chatte appartient à Fiacre.

___ J'ai peur.

___ Tu n'as pas à avoir peur Fiacre. Tant que je suis là.

Je ne pouvais pas m'attendre alors je lui ai arraché les lèvres, il répondit à mon baiser tout en se laissant faire, que ses lèvres étaient bien dans ma bouche ainsi que ses salives qui étaient douces comme de la patate. J'envoyai ma main sur sa cuisse et le caressai avec soin, tout doucement, je parcourus ma main au milieu de son cuisse, ce n'est pas vrai, Fiacre était déjà bandé comme un bâton. De l'autre côté, je pouvais entendre ma chatte qui dansait de joie, ma chatte qui attendait que cette jolie bite l'enfoncait avec soin. La scène était toujours entrain de battre le record lorsque soudain, mon téléphone portable sonna. Je le pris et verifiai l'appel, c'était Daniel. Je me redressai rapidement et décrochai.

___ Bonjour chéri, dis-je sourire aux lèvres.

___ Oui mon cœur as-tu bien dormi ?

___ Oui j'ai bien dormi comme un bébé et toi ?

En discutant, j'avais mis ma main sur les cuisses de Fiacre, je voulais l'exciter, si jamais il se laissait, je risque de ne pas goûter ce magnifique bâton. Caresser se cuisses, c'était l'unique façon de garder ce machin la en éveil. À chaque fois que je regardais Fiacre, il me sourit et je lui souris aussi.

___ N'oublie pas de faire tes valises, nous rentrons aujourd'hui.

___ D'accord chéri, je le ferai. Peut-on discuter après ?

___ Es-tu occupée ?

___ Je suis entrain de faire quelque chose actuellement en ville, un petit jeu de distraction, on va en discuter dès que j'aurai terminer.

___ Tu es sur que tu n'es pas ennuyée ?

___ Non chéri.

Il raccrocha et je respirai un gros coup. Moi et Fiacre nous continuâmes notre aventure, plus on se touchait et plus l'envie augmentaient. Main dans le pantalon de Fiacre, j'étais sur le point de faire sortir son pénis lorsqu'il me stoppa.

___ Non.

___ Quoi ?

___ Nous sommes au bord de la voie. Même si la vitre est noire, les gens vont pas tarder à se demander ce qui se passe. Je connais un endroit.

Il avait raison, moi avec mes gémissements.

___ Allons-y s'il te plaît.

Ma chatte était déjà toute mouillée, j'avais envie dépassé le degré de l'envie. C'était fort. Il mit la voiture en marche et nous quittâmes les lieux, en allant, je mis ma main sur le pénis de Fiacre qui était debout dans le pantalon, à chaque fois que j'appuyais, il sourit et accélérait.

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À suivre...

Quelques minutes plus tard...

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À suivre.