Chapitre 07
Il s'approchait de moi en me parlant :
– Ma reine, comment vas-tu pour moi ?
– Je vais super bien, mon amour ; et toi ?
– Ça va, bébé.
– Mais tu ne m'avais pas dit que tu reviendrais du voyage aujourd'hui.
–Tu as raison, mon amour ; c'est que tu m'as tellement manqué et comme tout est déjà au top concernant ma soutenance, j'ai décidé de vite me séparer de mon oncle. Ma reine, tu m'as vraiment manqué et j'ai vraiment faim de toi.
– Vraiment, mon amour ?
En me parlant, Éric passait sa main dans mes cheveux, je m'étais bien approchée et il avait commencé par approcher ses lèvres des miennes. Je répondais à ses baisers en lui caressant le torse et la tête. Comme j'étais dans une robe, il glissa sa main dans ma robe et commença par passer sa main dans mon entrejambe. J'avais toujours mes lèvres collées aux siennes et tout doucement j'étais montée sur lui. Il me caressait et je l'embrassais en bougeant.
Éric me caressait les seins, me serrait fort contre lui et c'était vraiment super. Il avait glissé ses mains à l'intérieur de ma robe et commençait par faire descendre mon collant et mon slip ensemble. Il les descendit jusqu'à un niveau et comme j'étais sur lui, il était bloqué et j'avais pris le temps de me débarrasser de ces deux sous-vêtements.
J'étais enfin nue sauf que je ne m'étais pas totalement déshabillée. Éric passait sa main dans les poils de ma chatte et tout doucement, il avait commencé par toucher mon clitoris. Il caressait mon clitoris et le frottait d'une manière qui me faisait vibrer. J'avais toujours mes lèvres collées aux siennes, ma main dans son short et je caressais sa bite.
Après avoir pris soin de bien caresser ma chatte de cette manière, il avait décollé ses lèvres des miennes et m'avait soulevée, puis s'était levé pour aller me déposer sur le sofa pour bien me positionner.
Éric s'était mis à genoux, et avait bien écarté mes jambes. Sans plus attendre, il avait plongé sa langue dans ma chatte pour me donner ce goût que j'adore si tant. Il me léchait et je caressais mes seins, caressais sa tête, le poussais à bien me lécher. C'était tout simplement waouh!!!
Éric tournait sa langue dans tous les coins de ma chatte, je n'arrivais plus à me contrôler. La seule chose que je lui disais, c’était : « Bébé, tue-moi, ne t'arrête pas, s'il te plaît, plonge bien ta langue dans ma chatte ; oui, j'aime, tu es bon, mon amour !!!! Oh my god !!!![....] » !
Éric n'arrêtait pas. Il plongeait l'un de ses doigts à l'intérieur de moi en étant toujours en train de me lécher. Je gémissais et parlais toutes les langues qui me venaient à l'esprit, car je n'étais plus présente, c'était plus fort que moi. On dirait qu’Éric était parti prendre un autre cours au cours de son voyage.
J'avais cessé de caresser mes seins et pour garder bien sa tête, je bougeais dans tous les sens et il me gardait pour que je ne puisse le stopper.
Il avait fini de me lécher et je l'avais invité à me pénétrer, mais il préféra d'abord se jeter sur mes seins et commencer par les téter. Je me tordais et gémissais du plaisir. Éric avait bien tété mes seins et une fois qu'il avait fait sortir sa tête de ma robe, il s'était levé pour aller prendre du préservatif.
En ce moment, je m'étais débarrassé de ma robe et, toute nue comme un ver, j'avais bien écarté mes jambes. Éric était revenu vers moi avec le préservatif qu'il avait déjà mis et après avoir salivé une fois ma chatte qui était déjà toute mouillée, il avait plongé sa bite à l'intérieur de moi. J'étais assise dans le sofa et il était à genoux et faisait les va-et-vient.
Je l'embrassais et le serrais très fort contre moi et il ne faisait que changer le rythme de ses mouvements de reins. Je le recevais bien à l'intérieur de moi et il me fixait droit dans les yeux et me chantait des mots doux. J'avais toujours mes jambes bien écartées pour bien le recevoir.
Le plaisir augmentait et j'avais commencé par lui dire aussi des mots doux pour l'encourager à bien me secouer, parce que j'étais prête à bien avaler sa bite.
– Mon chéri, oui, oui, oui, oui, j'aime ça ; ne t'arrête pas. Oui, enfonce bien ta bite, oui, je le sens. Oh my god, mon homme est vraiment sucré ; oh, oui, oui fais-moi voyager dans tous les pays de l'amour.
– Ma reine, tu es tellement douce, tellement sucrée, j'aime vraiment ta chatte, elle me rend dingue, oh mon Dieu, vraiment c'est quoi ce goût, ce goût immense. Je t'aime, Rosy ; je t'aime très fort, ma reine, oh I love you, Te quiero !!!!
Éric augmentait au fur et à mesure les mouvements de ses reins et j'avais juste mes jambes écartées pour les recevoir. Nous avons passé un bon moment et c'était tout simplement cool. Sauf que pour cette fois-là, je ne m'étais pas arrêtée sur un seul tour. Nous avons fait et refait. *
Les temps passaient et tout allait bien, Éric avait déjà soutenu et d'après les informations, ce dernier irait rejoindre son oncle au Ghana pour commencer par travailler avec lui.
Le jour où Éric m'avait annoncé la nouvelle, je ne l'ai pas approuvé parce que je me disais que je n’allais pas arriver à supporter son absence. Mais Éric m'avait fait comprendre qu'il viendrait me voir et, si possible, j'irais le voir des fois au Ghana pendant les vacances ou si le temps me le permet. Car j’allais commencer ma troisième année de droit, donc je commencerais aussi par préparer ma licence.
Les jours passaient et Éric était toujours au pays, il faisait un travail pour son oncle. Ce qui l'avait gardé un peu au pays. Éric et moi passions toujours notre temps à passer à l'acte. Nous étions devenus accros au sexe et chaque fois que je lui rendais visite, je montais toujours dans le lit avec lui avant de retourner chez moi.
J'avais toujours mes pensées sur ce voyage que mon homme fera et je me posais mille et une questions. Ma copine Gloria m'avait conseillé, à cause de ce voyage, de commencer par mettre du temps dans les rapports sexuels avec Éric. Elle m'avait fait comprendre que si je ne commençais pas à résister et tout le reste, ce sera vraiment difficile pour moi lorsque Éric voyagera et si je ne sais pas faire, je risquerais de tromper mon homme avec un autre.
Mais je ne voyais pas d'importance à tout ce qu'elle me disait. Tout juste parce que j'étais folle amoureuse d’Éric et je ne pouvais jamais partager mon corps qui lui appartenait avec un autre homme. J'avais confiance en l'amour que j'avais pour Éric.
Éric et moi étions dans notre vingtième mois de relation. Une année et huit mois de relation.
À suivre...
RICHY PLUME-RAM
GOD’S INSPIRATION
