Bibliothèque
Français
Chapitres
Paramètres

Chapitre 06

La vie et ses périples

Chapitre 6

Gaétan

La conversation que j’ai surprise entre ces deux jeunes est sans doute la meilleure chose qui me soit arrivé depuis ce matin. Je crois qu’il est la solution à tous mes problèmes.

Je cherchais depuis longtemps une personne qui pourrait me déléguer dans cette entreprise pour pouvoir passer plus de temps avec ma famille et éloigner par conséquent tout doute de la tête de mon épouse.

Et après ce que je viens d’entendre, je sais que ce jeune est vraiment prêt a tout pour sortir de ce quartier et je crois être bien placé pour le comprendre.

Il m’arrivait aussi quand je vivais ici de faire des choses pas très catholiques afin de pouvoir subvenir à mes besoins, ce dont je ne suis pas forcément fier mais tous les moyens étaient bons à cette époque pour sortir de ce taudis.

Il commençait déjà à se faire tard mais je voulais coûte que coûte lui parler parce que je ne savais pas si j’aurai encore la chance de le croiser quelque part.

J’ai donc attendu qu’il soit seul avant de lui faire des codes phares pour qu’il me rejoigne dans la voiture.

Lui : bonsoir grand

Moi : bonsoir jeune homme, montes je voudrais te parler stp.

Lui (méfiant) : on se connait ?

Moi : non mais c’est l’occasion. Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un pédé loin de là ! J’aime les femmes bien dodues.

Lui : c’est censé me rassurer ? Peut être que vous êtes un coupeur de tête qui a besoin de sacrifice.

Moi : et tu penses que je t’aurai demandé ton avis ? J’allais juste demander à mes hommes de t’embarquer. Mais comme tu le constates, je suis seul dans la voiture dis je en baissant tous les vitres. Et je ne crois pas être aussi fort que ça pour te tuer ou faire quoi que ce soit contre ta volonté.

Il a esquissé un sourire avant de monter.

Lui : d’accord ! Mais grand vous n’avez pas peur de vous faire agresser ? Ces rues ne sont pas très fréquentables et votre voiture ne passe pas inaperçue

Moi (riant) : non ne t’inquiète pas pour moi je sais me défendre et je m’en fais pas trop vu que j’ai grandi dans ce quartier.

Lui (surpris) : vous ? Non je ne peux pas le croire, donnez moi votre secret svp ?

Moi : je crois que tu le sauras bien vite. Je ne sais pas pourquoi, mais tu me plais bien parce que tu me rappelles « moi ». Je me suis permis tout à l’heure d’écouter la conversation que tu as eue avec ton ami, et j’ai cru comprendre que tu étais à la recherche d’un job mais surtout d’un moyen pour devenir riche.

Lui : oui c’est le cas. Les temps sont vraiment durs et je suis prêt à tout pour me sortir de cette misère.

Moi : Je pense avoir un petit un job qui pourrait t’intéresser mais comme il commence à se faire tard, je propose qu’on en parle une autre fois. Si tu n’as rien à faire demain, on se donnera rendez vous en fin de journée à la francophonie dans une de mes villa pour qu’on puisse bien discuter et apprendre par la même occasion à mieux se connaitre..

Lui : je serais là sans faute. Quel est le numéro de la villa ?

Moi : Villa numéro 50. Donc ça marche pour demain. Tiens, dis-je en lui tendant 3billets de 10mil. C’est pour ton transport de demain, c’est quoi ton prénom encore?

Lui : je m’appelle Rodrigue, et merci beaucoup pour les billets patron vous pouvez comptez sur moi.

Moi (souriant) : ce n’est rien Rodrigue, on se dit à demain.

J’ai démarré après qu’il soit descendu. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je peux faire confiance à ce jeune garçon.

Je ne compte pas lui révélé certains détails concernant mes activités mais le peu qu’il saura lui permettra de mener à bien mes opérations. Il faut que je le vois à l’œuvre et que je le test pour être sûr qu’il est digne de confiance. Ce n’est pas un job que je peux donner à tout le monde car il en va de ma vie et de ma réputation.

Il ne me reste plus qu’à rentrer à la maison. Je suis certains que Liz m’attends et avoir noué cette collaboration réveille en moi des pulsions.

Et là Je n’ai qu’une seule envie, profiter de ma femme dans tous les sens du terme et je vous promets que ce soir, elle ne jurera que par mon nom.

****

Je suis arrivé chez moi aux alentours de 20h30. Comme je m’y attendais, elle est au salon avec les enfants. Ils se sont tous jetés dans mes bras quand il m’ont vu.

Moi : bonsoir mes bébés ! Salut mon cœur dis je en lui baisant la bouche.

Liz : comment tu vas ?

Moi : maintenant que je te vois, ça va nettement mieux.

Je lui ai donné une tape sur les fesses à l’insu des enfants. Je crois qu’elle comprend clairement ce que sa signifie.

Après avoir passé un petit temps avec les petits, elle est allé les border et elle m’a rejoins dans la chambre. Je venais à peine de sortir de la douche. J’avais juste une serviette nouée autour des reins.

Liz : hmm ! Tu es très séduisant quand toutes ces gouttes d’eau perlent sur ton corps.

J’ai réduis la distance qu’il y avait entre nous en la prenant dans mes bras.

Moi : et toi tu es encore plus ravissante dans cette courte robe dis je en l’embrassant.

Ce simple baisé à suffit pour mettre aux aguets mon pénis qui est devenu tout tendu.

Liz (souriant) : j’en connais un qui n’a pas des idées catholiques as t elle dis en passant sa main sur la bosse formé sous la serviette.

Moi : et si tu les rendais catholique ?

Elle s’est baissé avant d’envoyer valser la serviette et saisir mon pénis entre ses mains.

J’ai fermé les yeux quand j’ai sentie sa langue chaude tournoyer sur mon pénis. J’ai passé ma main dans ses cheveux en faisant des vas et viens dans sa bouche. Un frisson m’a parcouru quand elle s’est mise à sucer mes couilles.

Moi : tu es trop douée ! vas y mon cœur, suce moi comme tu sais si bien le faire.

Cette torture a duré un petit moment avant que je ne la redresse et la pousse contre le lit.

Moi : maintenant, laisse-moi m’occuper de toi.

J’ai ôté la robe qu’elle portait et à ma plus grande joie, elle n’avait rien en bas.

Moi (souriant) : et c’est moi le pervers ?

Liz : je ne saurai t’égaler sois en sûr.

Ma bouche s’est posé sur son cou avant de mordiller le lobe de son oreille. J’ai laissé glissé ma langue le long de son cou en redescendant jusqu’à son sein que j’ai saisi dans ma bouche.

Liz : hmmm !

J’ai tournoyé ma langue dessus avant de m’attaquer au suivant. Pendant ce temps, une de mes mains caressait son ventre jusqu’à descendre jusqu’à l’entrée de sa forteresse.

Quand j’ai inséré un doigt en elle, elle a lâché un petit gémissement. Mes doigts allaient et venaient en elle de manière lente au tout début mais après j’ai accéléré la cadence tout en suçant ses seins.

Liz : je vais jouir Gaétan.

Moi : vas y ma belle, jouie pour moi.

Ma bouche est descendue jusqu’au niveau de son vagin. J’ai titillé son clitoris gonflé par le désir tout en la baisant avec ma langue. Son corps s’est tendu avant qu’elle n’explose dans ma bouche.

J’ai absorbé tout le contenu de sa cyprine avant de remonter jusqu’à sa bouche et l’embrasser.

Moi : tu es toujours aussi délicieuse ! Mais c’est maintenant que les choses sérieuses vont commencer.

Liz : stp laisse moi me..

Sa phrase s’est perdue dans le vide parce que je venais de la pénétré d’un coup sec.

Moi : vas y mon cœur, fais toi plaisir et lâche toi.

Je l’ai pris en position missionnaire durant un bon bout de temps avant de la retourner de telle sorte qu’elle soit à quatre pattes.

J’ai donné une tape sur ses fesses tout en m’enfonçant à nouveau en elle.

Moi : dis moi que tu aimes ça l’ordonnais je.

Liz : oui vas y j’adore !

Moi : t’as envie que je te baise ?

Liz : oui baise moi stp.

J’ai passé ma main dans ses cheveux que j’ai saisie tout en allant et venant en elle à la fois tout doucement et sauvagement.

Liz : je vais encore jouir Gaétan. Ralenti stp.

J’ai accéléré mes mouvements et quand j’ai senti qu’elle s’apprêtait à jouir, je me suis retiré.

Liz : qu’est ce que tu viens de faire ?

Moi : allonge toi sur le ventre et laisse moi augmenter ton plaisir.

On a passé toute la nuit à s’envoyer en l’air comme les lapins que nous sommes.

……..

C’est le réveil qui m’a tiré des bras de Morphé. J’ai esquissé un sourire en la voyant endormie tout contre moi. Je ne me lasse jamais de la regarder dormir parce que je la trouve magnifique.

Cette nuit a été très mouvementé pour mon plus grand bonheur. J’ai fait l’amour à ma femme dans toutes les positions que je connaissais et rien qu’en y repensant, je suis encore dans tous mes états.

Je me suis rendu dans la salle de bain à pas feutré pour ne pas la réveiller, parce que je sais qu’elle a besoin de repos tout comme moi d’ailleurs mais j’ai beaucoup de rendez vous pour me permettre ce luxe.

Après avoir pris ma douche, Je lui ai écrit un mot avant de partir. Je sais que cela lui donnera le sourire à son réveil car je lui ai encore rappelé une fois de plus à quel point je l’aime et à quel point elle fait chavirer mon cœur.

J’ai pris un café vite fait avant de me rendre au bureau. L’un des avantages à être son propre chef, c’est que je peux me rendre au bureau à n’importe quelle heure vu que c’est moi qui y fait la pluie et le beau temps mais je suis très à cheval sur la ponctualité donc je me dois alors de montrer le bon exemple et par la même occasion, me faire respecter.

(….)

Je n’ai même pas vu le temps passer tellement j’étais absorber par le travail. Je n’ai pas eu une minute à moi depuis que je suis arrivé. J’ai décidé de mettre le reste à demain parce que je devais filer à la maison pour m’apprêter, pour mon rendez vous avec Rodrigue.

*****

Liz : tu es déjà rentré mon amour ? M’as t elle questionné en me voyant.

Moi : oui mon cœur ! J’ai un rendez très important. Mais j’ai laissé des consignes au bureau et je crois qu’ils s’en sortiront bien sans moi. Connais-tu le plus intéressant de tout ça ? C’est que ma femme me manquais terriblement dis je en la prenant dans mes bras.

Elle : eh Gaëtan pardon hein je te vois venir. J’ai des courbatures partout je ne me sens pas d’attaque pour un autre round.

Moi : mais mon amour je ne pensais même pas à ça ! je voulais juste te prendre dans mes bras.

Elle : oui c’est ça, à d’autre s’il te plait. Je te connais ne l’oubli pas ! Maintenant vas te préparer pour ton rendez vous. Il ne faut pas que tu sois en retard.

Moi (riant) : à vos ordres chef mais sache que dès mon retour, tu passeras à l’abattoir !

Si seulement elle savait que ce rendez vous n’a rien avoir avec le boulot, elle m’aurait sans doute décapité.

****

Je viens à peine de garer devant ma villa. Elle m’a été offerte par un client de mon centre d’adoption. Il était tellement content par le service rendu qu’il a tenu à m’offrir cette villa et je n’ai eu aucun choix que de l’accepter.

Je ne l’utilise que pour des rendez vous très importants et aussi héberger mes plus grands collaborateurs quand ils viennent pour le travail et quand ils veulent passez du bon temps en toute discrétion.

Pour ma part, je suis un homme tout à fait comblé pour me permettre ce genre de bassesse.

Je m’apprêtais à me servir un verre de vin quand le gardien m’a annoncé l’arriver de Rodrigue. Il est pile à l’heure à ce que je vois ! Je suis encore plus convaincu de notre future entente.

Rodrigue : bonsoir patron

Moi : bonsoir Rodrigue, tu n’as pas eu de la peine à retrouver la maison j’espère ?

Lui : non pas du tout !

Moi : Super ! Avant de passer aux choses sérieuses, je te sers quoi à boire ?

Lui : la même chose que vous svp.

Je nous ai servit avant de lui faire signe de me suivre à la terrasse.

Moi : je suis sûr que tu es impatient de savoir en quoi consiste ton boulot, mais avant de te dire quoi que ce soit, il faut savoir que ce n’est pas un boulot comme les autres. Il va donc falloir que tu sois a mon entière disposition, que tu sois prêt a n’importe quelle heure du jour et de la nuit mais surtout que tu sois très discret et j’insiste sur ce dernier mot.

Lui : je vous le promets grand je ferais tout ce que vous voudrez.

Je lui ai alors expliqué en quoi consistait le centre sans pour autant rentrer dans les détails. Je lui ai juste dit ce qu’il avait besoin de savoir pour mener à bien son travail.

Lui : donc si je comprends bien, je serais en quelques sortes votre subalterne ?

Moi : oui exactement. Tu devras prendre des décisions quand un problème surviendra tu seras mes yeux et mes oreilles, tu feras également quelques opérations pas très légal mais ça tu le sauras au moment opportun. Sache que je te protégerai envers et contre tout ! Il en va de ma réputation aussi donc je veillerai personnellement à cela tu n’as pas à t’en faire. Mais c’est moi qui prend les décisions concernant le centre, on est d’accord ?

Lui : je suis partant patron.

Je savais que je pouvais compter sur lui. Il vient de m’ôter une épine du pied. Ce qui est sûr, c’est que je l’aurais forcément à l’œil car je n’ai pas envie qu’il vienne gâcher toute une vie de dure labeur parce que je tiens à ce centre comme à la prunelle de mes yeux.

Je ne dis pas ça pour me justifier mais grâce à ce centre, j’ai permis à des familles de retrouver le bonheur car tout le monde sait qu’une famille n’est rien sans des enfants en son sein.

Moi (content) : super alors. Mon avocat te contactera demain pour la paperasse, tu auras une voiture à ta disposition et une villa dans le quartier de ton choix. Demain quelqu’un viendra te chercher pour te faire visiter nos locaux ça te va ?

Lui : je ne sais vraiment pas comment vous remercier patron.

Moi : fais juste bien ton boulot. Dis moi t’as une famille ?

Lui : non patron je suis seule au monde.

Moi : désolé de l’entendre mais bon tu es encore jeune et tu as toute la vie devant toi. Encore une chose, quand on est que nous deux appelle moi Gaëtan.

Lui : d’accord Gaëtan

Je crois que c’est le début d’une nouvelle ère car je pourrais faire prospérer mon business sans que je ne sois obliger d’intervenir pendants mes opérations sauf en cas de force majeure.

Ashraf

Ça fait trois jour je réfléchis à la manière d’aborder le sujet avec mon père concernant ma décision de prendre nayma comme épouse.

Je suis aux anges rien qu’en y pensant, même si l’idée que mes sentiments ne soient pas réciproques me fasse flipper.

Néanmoins, je compte faire d’elle ma femme qu’il pleuve, qu’il neige. C’est pour cela que je veux vite en parler à papa pour qu’il aille faire la demande. et comme ce dernier est son ami, ça facilitera les choses..

Sera-t-elle d’accord ? Ne m’en voudra t elle pas ? Ça je ne le saurais qu’au moment venu.

Me poser toutes ces questions n’arrange en rien ma situation. Je ferais mieux de vider mon sac pour qu’il puisse me conseiller sur la démarche à suivre.

Je me rends compte que tout ce qui a attrait à cette petite me rend nerveux.

Moi : as Salam aleykoum papa.

Je l’ai trouvé assis au salon entrain de regarder la télé. Je suis tellement attaché aux liens de sang que je vis toujours chez mes parents malgré le fait que j’ai la possibilité de me trouver un propre logement.

Lui : wa aleykoum Salam mon fils, tu vas bien ?

Moi : je rends grâce à dieu papa, et vous ?

Lui : je vais bien également.

Moi : J’aimerais vous parler de quelque chose qui me touche à cœur.

Lui : je t’écoute mon fils.

J’ai pris une profonde inspiration pour me donner du courage.

Moi : je ne sais pas par où commencer mais bon voilà ! En fait il y a longtemps que je pense à cela, mais comme je n’avais pas encore de travail stable, je ne voulais pas me prononcer.

Lui : vas y parles mon fils.

Moi : en fait je voudrais me marier.

Lui (souriant) : mais quelle bonne nouvelle ! Je n’attendais que ça. Je voulais même te le proposer mais je me suis dit que tu n’étais sans doute pas prêt mais je vois que j’avais tord. Ta mère va être contente quand elle l’apprendra. Et si tu as décidé de m’en parler c’est parce que tu as déjà trouvé celle qui fait battre ton cœur n’est ce pas ?

Moi : oui père et c’est pour cela que je suis ici, je voudrais que vous alliez demander sa main auprès de ses parents.

Lui : c’est mon devoir mon fils et je le ferais avec grand plaisir. Maintenant dis moi le nom de ma future belle fille.

Moi : c’est Nayma papa

Lui (surpris) : nayma ? la fille de Abdoulaye ?

Moi : oui papa

Lui : tu es sûr de toi mon fils ? Je te le demande parce que tu sais que je suis très ami avec son père et je ne voudrais pas que notre amitié soit entachée par quoi que ce soit. est ce que tu me comprends ?

Je n’avais pas du tout réfléchi à ça. Et si cette union causait du tord a leur amitié ?

Moi : non je n’y avais pas pensé mais ce dont je suis sûr, c’est que je ne veux personne comme épouse à part elle et pour cela, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas anéantir votre amitié.

Lui : d’accord si tu le dit. Je parlerai à mes frères pour qu’on puisse se présenter.

Moi : je vous en suis reconnaissant papa mais je voudrais que cela reste entre nous trois jusqu'à ce que nayma passe son baccalauréat c'est-à-dire dans deux mois je ne voudrais pas qu’elle soit perturbée.

Lui : d’accord fiston on fera comme tu voudras. J’irais dans la semaine voir son père pour en discuter avant et avoir son opinion. Maintenant, dis toi qu’elle est déjà tienne s’il plait à Dieu.

Moi : In Sha Allah papa.

J’ai quitté mon père en étant à la fois content mais aussi très anxieux. Je ne sais pas quelle sera la réaction de Nayma quand elle le saura, car cette fille à un tempérament de feu.

Mais je n’arrête pas de me dire aussi qu’il serait possible qu’elle ressente quelque chose pour moi et cette idée m’enchante vraiment.

Je sais que je ne procède peut être pas de la bonne manière, qu’elle va peut être finir par me haïr, que je ne me comporte peut être pas en homme, mais je prends quand même le risque. Je vais passer cette nuit en prière afin que DIEU me vienne en aide car j’en ai vraiment besoin………….

Ps : Liker ! Commenter ! Partager ! On clôture la semaine en beauté. Rendez vous le lundi in sh Allah.

Téléchargez l'application maintenant pour recevoir la récompense
Scannez le code QR pour télécharger l'application Hinovel.