Chapitre 7
7
~~~Alesia
A mon réveille remplir d’horreur, ce matin, je me suis retrouvée détacher sa a fut un plaisir pour moi. même si c’est difficile pour moi de vivre dans ce taudis, je préfère ne pas être attaché. Et de plus, je remercie énormément mon état actuel car il n’est plus revenu depuis la dernière fois quand il est venu tard dans la nuit. Je dormais mais , sa présence n’a pas été joyeux. Il m’avait juste prévenu de mes souffrances éternel.
Je dois avouer que sa voix était différent de ce que j’avais imaginé. Moi je l’imaginais avec une voix dégradant a cause de ses cigare que je voix dans sa main a chaque fois et son odeur , mais au contraire, sa voix est……virile, rauque. C’est vraiment dégoûtant de ma part de qualifier mon bourreau mais, si s’était n’importe quelle femme, qui entendra chaque prononciation sortir de sa bouche c’est…..sensuel mais sa me dégoute au plus haut de mon être.
*
Il y a quelques jours de cela, Cynthia m’avait informé qu’il avait une fête dans la boite de nuit ou elle travaille. J’aurais bien aimer sortir aussi mais c’est a peine perdu. Pour faire passer le temps, elle m’avait apporté une carnet et un crayon. Je passe maintenant mon temps a dessiner comme une obsédé mais je fais attention pour que personne ne le voir sinon, j’aurai des problèmes vraiment grave.
Je vérifie la position des deux hommes poster devant la porte avec leur armes avant de sortir mon carnet et commence a dessiner avec la joie au cœur. Je me sens tellement bien. Le bruit de la porte principale me sort de mes gons et je lève la tête pour voir les filles qui était sortir ce matin y compris Cynthia.
D’ailleurs, lorsqu’elle entre a l’intérieur, elle me lance un petit sourit avant de se dirige vers moi avec son sac a main qui me penser a mes rêves, j’avais toujours rêvé d’être une belle femme riche mais c’est tomber a l’eau comme une malpropre.
Une fois devant ma cage, elle s’assoir en évitant de tacher sa nouvelle jupe qui doit vraiment coûtée cher.
- Salut dit-elle en souriant.
- Salut dis-je a mon tour en essayant d’afficher quelques choses qui ressemble a la joie.
- Comment tu vas aujourd’hui ?
- Avec ce carnet, je me sent super bien merci beaucoup.
- Oh c’est rien, c’est normal tu es comme une sœur pour moi.
- D’accord dis-je en hochant la tête.
- Tu aime bien dessiner
- Oui sa me fait tellement du bien, je me sentir tellement mieux.
Je relève la tête de mon carnet et la regarde en évitant a tout prix de regarder dans ses yeux.
- Tu viens d’où ? Dit-elle d’un coup
- Je…je suis américain, je vivais a Texas, j’avais 16ans quand j’ai déparquer ici mais maintenant , j’en ai 18
- Moi je suis française, je vivais a paris j’avais 19ans quand j’ai débarquer ici comme tu viens de le dire mais maintenant j’en ai 25
- Sa fait….6 dans sa fait longtemps
- Oui
- Je….je veux dire tu n’as jamais pensé a t'enfuir ? Dis-je en levant la tête mais le regard meurtrie des autres filles me faire une peur.
- Quoi ? Pourquoi ? Non
- Comment sa ? Tu ne veux pas sortie de ce taudis ?
- Mais pourquoi je vais m'enfuir si j’ai tout ce dont je rêvais ici, je mange a Ma faim chaque jour, je prend toujours un bain , je porte des vêtements de luxe et des fois même, je bénéfice des pourboires alors qu’avant, je vivais comme une misérable , avec le racisme de mon père, tout le monde me haïssait, je ne trouvais rien a manger, je ne lavais pas j’était très maigrichonne Comme toi dit-elle en rigolant. Mais, quand les hommes du patron m’avait enlevé, je croyais que sa allait être pire mais non.
Quoi ? Elle n’as jamais pensé s’enfuir ? C’est…..incompréhensible, elle préfère rester ici car sa vie d’avant était un désastre. D’une autres part, elle a raison , je vivais comme une….
Je ne sais pas……je restait affamé durant des jours alors que ici, je mange une fois par jour et je ne lavait pas durant des semaines dû au coupure d’eau. Même la garce de mon lycée remarquait mon odeur a chaque fois. Mais , moi ce que je sais, c’est que je trouvera un moyen de sortir d'ici
- D’accord je…je comprends. Je peux te poser une question dis-je en déposant le carnet et le crayon sur le sol.
- Vas y, tu peux tout me demander sauf l’impossible dit-elle en rigolant.
- Pourquoi toutes les filles me regarde comme si elles allaient me tuer.
- Oh, c’est parce que tu couche avec le patron chaque jour
- Quoi ? Et qu’est-ce que sa change si il me…..viole a chaque….fois quand sa lui chante.
- Tu as raison de dire sa , tu n’as jamais vue son visage.
- Je ne comprends pas dis-je toute perdu.
- C’est un vrai dieu de la beauté,
- A ce point ?
- Oui, il est vraiment très beau, les filles veulent seulement le toucher et moi aussi j’en rêve depuis ma venue ici.
- Tu es consciente que tu parle d’un monstre la dis-je en fronçant les sourcils.
- Tout le monde sais sa monstruosité dans tout les domaines.
- Euh…..je…..j’ai compris dis-je en regardant le dessin de son visage parfait que je viens de faire en parlant.
Il est beau comme un dieu non mais sérieusement un monstre, un vrai monstre.
- Tu dessine quoi aujourd’hui ?
Je souris de toute mes dent et posse le carnet vers elle. Elle le prend puis commence a ouvrir les pages. Son regard s’illumine quand elle arrive sur le sien.
- C’est trop beau merci , tu dessine comme une professionnelle
- Oui, mon père me disait sa tout le temps.
- Le mien ne me manque pas du tout , dit , c’est qui celui la
Je regarde la page et sourit
- C’est Nathan…..mon….un garçon qui vivait a coté de chez moi d'avant.
- Vous étiez proche ?
- Non…non….non dis-je en priant fort que mes joues ne se vire en rouge.
- Tu l'aimais ? Dit-elle en fermant le carnet.
- Je bavais tellement sur lui
Elle rigole et me regarde un moment avant que l’expression sur son visage change.
- J’ai pensé t’acheter un t-shirt et un jogging
- Non…non….non, je vais bien comme sa, j’en ai pas besoin,
- Je….
- S’il te plait, je ne veux rien vas y je vais dormis un peu.
- D’accord dit-elle simplement en retournant a ses préoccupations. Même si a chaque fois qu’elle essaye de m'aider, sa finir avec ma voix remplie de froideur. Je veux juste éviter quelle soit punir comme moi
Encore une fois , je me retrouve seul dans ma cage sans personne et seul. Ce soir , j’ai tellement froid jusqu’au os, je tremble comme jamais, j’ai même pas droit a une couverture sur mon corps, je me sent si misérable. Je réconcilie sur moi-même en priant que la nuit passe vite. Par curiosité, je relève la tête et vois les filles toute couvrir comme des bébés. Je crois que tout le monde dort sauf moi et les trois gardes debout comme des robot. Je me demande si ils arrive des jour ou ils ont envie de fermer l'œil et ce soir, je fais comme eux.
J’aurais envi que l’un d’entre eux me comprend mais, le diable les tueras tous après m’avoir égorgé avec une minuscule file. Et je ne souhaite pas finir de cette façon. La mort tragédies de l’ancienne miss américain. Oui, je le faisait dans mon salle de bain, j'imitait même des démarche a adapter devant Nathan.
Comme j’ai une droit de chien et que le sommeil refuse de me faire une preuve de sympathie alors, je reprend mon carnet et commence a dessiner ce qui n’existent même pas.
*
J’ouvre lentement les yeux en m’étirant , je ne savais pas quand le sommeil avait prit le dessus de moi. Je frotte légèrement les yeux avant de me lever avec une difficulté inouï. Je m’approche du grille et regarde tout ses filles qui goûte a la liberté comme de limonade.
L'un des hommes entre a l’intérieur du….prison…oui…prison. Il se dirige vers moi et arriver devant ma cage, il déverrouille puis m’invite a sortir et c’est ce que je fais, il me demande de le suit et je ne prit pas deux fois avant de courir derrière lui.
Il sort de notre cage et je fronce les sourcils, la dernière fois que Diego m’avait fait sorti d’ici, j’ai vécu l’horreur. Mais je le suit quand même et il marche au long du tunnel avant d’ouvrir une porte.
- Entre dit-il en décalant de coté pour que j'entre a l’intérieur.
Waouh, une salle de bain italien vraiment magnifique, je voyait sa que dans les filmes américain mais, la, c’est réel et énorme. , de la ou je suis, je peux senti l'odeur parfumer de la pièce. Je n’avais Jamais penser prend un bain cette semaine de plus dans un endroit si luxueux. En plus, je ne savais pas que ce genre d’endroit pouvais exister dans ce taudis.
- Tu te brosses, arrange tes cheveux et prend un bain, tu as 30 minute dit-il en fermant la porte derrière moi.
C’est tellement beau. Je me dirige vers le miroir et en voyant, l’État de mon visage et mes cheveux , je comprend mieux pourquoi les autres n’on pas le courage de me regarder dans les yeux, je ressemble tellement a un zombie, une vraie zombie.
Je passe mes deux mains sur mon visage en essayant de diminue la tendresse qui le qualifie. Je pose mon regard sur tout ses instruments de maquillage et beaucoup d’autres choses. Je prend la brosse a dent électrique et appuis sur le bouton bleu qui indiques de différents type de dentifrice, mais, je ne tarde pas dessus , j’ai trop besoin de prend se bain en ce moment. Je commence a brosser mes dents qui ne tarde pas a redevenue a la normal et a la fin, je me dirige vers la douche mais, mon regard atterri sur cette minuscule appareil collé tellement haut sur le mur, et la, je comprend vite qu’il regarde tout ce que je fais actuellement.
La honte me tombe dessus comme une énorme pierre remplir de bout, j’ai tellement honte et mal a l’aise qu’il m'espionne alors que je prend un bain. Mais je fini par détourner mon regard et entre sous la douche et l’eau commence a mouille la totalité de mon corps, je me sent si bien et paisible. Le bonheur d’avoir ce merveille sur le corps Je ferme les yeux et profite de cette sensation, peut-être que c’est la dernière fois c’est pourquoi j’ai droit a une douche italien. Je dirige ma main cers les gels de douche bien ranger sur le mur et prend celle a la coco. J'utilisais sa tout le temps chez moi d’avant, maman m’achetait sa. Je met un peux dans mes cheveux bouclé et le masse tendrement. J’aurais préféré que papa le fasse comme avant. On rigolaient tout le temps.
Après quelques minutes a me détendre, je fini par sorti et prendre une serviette qui sent la propriété a tout prix. J’évite de sourit en voyant le gel pour cheveux. Ceux que je rêvais d'utiliser depuis toujours. Je met une bonne quantité dans mes cheveux et commence a les démêlés.
Le coup sur la porte me faire sursauter en faisant tomber au passage une vernis a ongle qui s’est éclaté en mille morceaux.
- Deux minute critiques le garde derrière la porte.
Avec les mains tremblantes, je me courbe et ramasse tout puis le mettre ans la poubelle, je sais déjà ce qui m’attend une fois sortir d’ici.
Une fois mes cheveux bien propre et ranger, je décidé de me maquiller un peu pour voir a quoi je peux ressemblerais alors, je met d’eyeliner et passe un peu de rouge a lèvres au même moment, la porte s’ouvre d’un coup sur le garde et il me lance un t-shirt vraiment trop grand pour moi.
Quoi ? Je….je vais…je…
- Je fais quoi avec dis-je timidement en évitant de le regarder dans les yeux pour ne pas subit une punition plus violent que ceux qui m’attend.
- Met le
Et c’est ce que je fais sans attendre une seule petite seconde. Si…il ma autoriser a s’habiller, c’est qu’il me pardonne pour mon affront dans la pièces blanche.