Chapitre : 05

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En rentrant à la maison, j'ai constaté que ma très chère Catherine n'arrêtait pas de me regarder entant que gentleman, je jouais une très belle musique qui bougeait toute la voiture.

___ Je te mets mal à l'aise avec ma musique ? demandai-je

___ Non toi aussi c'est le contraire. Continue de jouer ta musique.

Je continuai avec ma musique.

___ Dis-moi, es-tu occupée demain ?

___ Oui, demain j'irai au service.

___ À quelle heure ?

___ Je quitterai la maison aux environs de 10h, je travaille juste dans le centre ville. Veux tu passer me chercher ?

___ Euuh non. As-tu une voiture ou un moyen de déplacement ?

___ Oui, j'ai une Mercedes, mais c'est ma mère qui me dépose quand je vais au boulot. Ma petite sœur sait conduire mais tu connais la raison pour laquelle je n'aime pas qu'il me dépose.

___ Oui évidemment.

Arrivé dans la von, je m'arrêtai, mais elle me demanda de continuer.

___ Tu peux continuer, ma maison est juste devant.

Je remis le moteur de la voiture et je continuai.

___ Voici ma maison.

___ Ici ?

___ Oui.

C'était un étage, une maison bien construite entout cas. Je garai ma voiture.

___ Je t'inviterai un autre jour de rentrer dans notre maison.

___ J'attendrai jusqu'à ce que ce jour vienne.

Elle me sourit, ouvrit la portière et partit. De loin, je vis une jeune femme ouvrit le portail et l'acceuillit. Je mis ma voiture en marche et rentrai chez moi après avoir passé chez ma mère pour la saluer.

La nuit a été vraiment longue, je ne vous mentirai pas, nous avions passé toute la nuit à discuter de tout et de rien. Elle était vraiment drôle, je n'arrivais même pas à le croire.

Très tôt le matin, j'appelai Catherine et la saluai avant de me rendre au bureau. À neuf heures et trente, je pris rapidement la clé de ma voiture et je sortis de mon bureau.

___ Monsieur vous sortez ? demanda ma secrétaire

___ Oui je reviendrai dans une heure exactement. Si j'ai un rendez-vous, tâche toi de bien me l'a réorganiser.

___ Vous pouvez compter sur moi.

Sur ces mots, je sortis, pris ma voiture et me rendis directement devant la maison où j'avais déposé ma très chère Catherine aujourd'hui.

J'étais là dans ma voiture, lorsque je vis la silhouette de ma très chère Catherine, je sortis rapidement de la voiture et l'appelai.

___ Bonjour, regarde juste de l'autre côté.

Elle jetta un coup d'œil vers l'autre côté de la route et je la fais un signe de main. À côté d'elle, je vis deux jeunes femmes qui la compagnait, je ne pouvais pas bien les voir de loin.

___ Maman, je pense que je partirai, ne te dérange pas.

___ Non chérie laisse-moi te faire grâce.

___ Pourquoi ce monsieur nous observe comme ça ?

Vous vous demandez comment j'avais fait pour écouter leurs conversations, ma très chère Catherine avait oublié de raccrocher ce que je n'avais pas fait non plus.

___ Il est venu à cause de moi, repondit Catherine, on en parlera dès que je serai de retour maman.

De loin, je la vis se diriger vers moi. Je raccrochai rapidement l'appel dans le but de ne pas la laisser comprendre mon affaire.

___ Bonjour Catherine, j'espère que je ne te dérange pas ? Je ne faisais rien du coup j'ai pensé te déposer.

___ Non cela ne me dérange pas et merci beaucoup pour l'attention que tu apportes à mon égard.

___ Laisse-moi t'ouvrir la porte de la voiture.

___ Non, je le ferai.

Elle ouvrit la porte de la voiture et rentra à l'intérieur. Je m'installai et quittai la von.

___ Tu sais, les deux femmes avec qui tu étais entryde discuter tout à l'heure c'était qui et qui ?

___ Ma mère et ma petite sœur, je te les présenterai au fil du temps. Je suis sincèrement surprise.

___ Quoi de me voir ici ?

___ Oui tu ne peux pas me dire que tu n'as rien à faire aujourd'hui entant que PDG de ta boîte.

___ Tu as raison mais je ne pouvais pas te laisser seule comme ça, je voulais te faire la surprise. Tu n'as pas à t'inquiéter pour ma boîte tout va pour de mieux.

___ Si tu le dis, tu sais quoi ?

___ Euh non quoi ?

___ Merci beaucoup pour l'attention et pour l'importance que tu apportes à ma vie depuis hier soir jusqu'à maintenant.

___ Tu n'as pas besoin de me remercier mais plutôt moi qui devrait te remercier d'avoir fait battre mon coeur de nouveau, tu es juste un ange et cet homme qui t'a blessé, regrettera tôt ou tard.

___ Pareil pour cette femme qui avait joué avec toi.

___ C'est déjà le passé.

Soudain, je m'arrêtai devant la plus grande hôpital de la zone.

___ Tu rentres quand ?

___ Dans trois jours.

___ Tu prends pose les soirs ?

___ Oui-Oui.

___ Si je voudrais passer te voir, comment ferais-je ?

___ Tu n'as qu'à dire que tu aimerais voir l'infirmière Catherine. S'il demande ton nom tu leur diras que c'est de la part de krist.

___ J'ai compris passe une très bonne journée et guéris très bien les malades.

___ C'est de mon devoir.

Elle descendit et je partis directement au bureau. Arrivé au bureau, je lui ai appelé pour l'annoncer que j'étais bien rentré au boulot. J'étais la entrain d'étudier des dossiers lorsque ma secrétaire rentra dans mon bureau.

___ Monsieur vous m'avez fait appel ?

___ Oui, j'aimerais que vous me commandiez deux cartons de pizza ainsi que deux bidons d'eau d'energy. Dites au gérant de me les livrer à dix neuf heure.

___ Compris monsieur. C'est tout ?

___ Oui c'est tout, j'espère que je n'ai pas eu de la visite ?

___ Non aucune monsieur. Je peux envoyer quelqu'un au cas ou ?

___ Oui mais appellez-moi pour connaître ma disponibilité et je vous ferai un dépôt pour l'achat de ma commande.

___ Non monsieur, je m'occuperai.

___ C'est vraiment gentil de votre part mais laissez-moi m'en occuper.

___ À vos ordres monsieur.

Ma secrétaire était vraiment calme et docile. Je l'aimais vraiment, elle me respectait et suivait mes règles à la lettre. Je saisis mon téléphone portable et la fis immédiatement le dépôt de ma commande tout en envoyant quelques petits trucs.

À dix neuf heure comme prévu, je reçus ma commande.

___ Monsieur votre monnaie.

___ Non c'est pour vous, déposez moi la commande dans ma voiture. Et vous pouvez garder la monnaie.

___ D'accord merci beaucoup monsieur.

Elle sortit avec ma commande. Ce jour là, j'étais le dernier à quitter l'entreprise. Ils étaient surpris mais je savais que le lendemain, je serai en retard raison pour laquelle j'avais passé des heures supplémentaires.

Il sonnait exactement vingt une heure lorsque je m'arrêtai devant l'hôpital, j'étais habillé en une chemise et un schott. Je saisis le colis et sortis de la voiture.

j'entrai dans cet hôpital, les murs immenses et les couloirs interminables me saisissaient. Les patients erraient, certains visages marqués par la douleur, d'autres emplis d'espoir. Le bruit des pas résonnait sur le sol en marbre, créant une ambiance solennelle.

Les infirmières vaquaient à leurs tâches avec diligence, leur blouse blanche impeccable, leurs mains expertes prodiguant soins et réconfort. Les médecins, vêtus de leur blouse verte, couraient d'un bout à l'autre de l'hôpital, répondant aux urgences et prenant des décisions cruciales pour sauver des vies.

Les chambres étaient remplies de lits, certains vides, d'autres occupés par des patients affaiblis. Les rideaux blancs les séparaient, offrant un semblant d'intimité dans cet environnement de souffrance. Les machines médicales ronronnaient doucement, surveillant les signes vitaux et l'état des malades.

Dans la cafétéria, les odeurs de café chaud et de nourriture réconfortante embaumaient l'air. Les employés, fatigués mais dévoués, se retrouvaient pour une pause bien méritée, échangeant des anecdotes et des sourires pour se remonter le moral.

Cet hôpital était un lieu de vie et de lutte contre la maladie. Chaque jour, des histoires de guérison et de douleur s'y mêlaient, créant une symphonie humaine empreinte d'espoir et de résilience. C'était un endroit où les destins se croisaient, où la compassion et le soin se donnaient sans compter.

De loin, à quelques mètres du couloir, je vis une jeune femme qui habillée en blouse blanche, était sur le point de disparaitre. Je fis rapidement et la rattrapai.

___ Bonsoir madame, fis-je.

___ Oui bonsoir monsieur. Que puis-je faire pour vous oubien vous venez voir un patient ?

___ Non, je suis venu voir Catherine.

___ L'infirmière ?

___ Oui madame.

___ Qui la demande ?

___ Dites-la que c'est krist son ami.

___ D'accord, vous pouvez vous asseoir là-bas en attendant que j'aille l'informer que vous l'attendiez ici.

___ Merci beaucoup madame.

___ Avec plaisir monsieur.

Elle me sourit et disparut dans le couloir. Soudain, je sentis une main sur mes épaules...

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À suivre