Chapitre : 03

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Quinze heure, c'était l'heure exacte que mon téléphone portable affichait sur l'écran. Je me levai, pris le dossier et gagnai la porte. À peine avais-je ouverte la porte que je vis ma secrétaire qui se dirigeait tout droit vers moi.

___ Monsieur, lança t'elle, je venais tout juste dans votre bureau. La réunion est prête, nous n'attendons que vous.

___ Oui je viens déjà, allons-y.

Je la suivis jusqu'à dans la salle de réunion. À notre arriver, tout le monde s'était levé pour me saluer. Je l'ai fit un signe de main et pris place. Je devrais être rapide parce-que j'avais un rendez-vous avec ma très chère chérie dont jusque là, j'ignorais complètement le nom.

___ J'espère que chacun de vous a eu le temps de lire le dossier ?

___ Oui, répondirent t'ils.

___ Et qu'en pensez-vous ?

___ À mon noble avis, je pense que nous devrions faire le nécessaire pour avoir ce marché, c'est un très bon marché qui profitera à nous tous, je m'en chargerai du devis comme cela se doit, je ferai le nécessaire pour connaître le coût des autres pour ne pas être surpris par leurs devis.

___ Je suis entièrement d'accord, monsieur le comptable j'espère que vous resteriez à ses côtés comme cela se doit ?

___ Oui monsieur, vous pouvez compter sur moi. Je ferai exactement comme d'habitude.

___ Très bien c'est déjà une très bonne initiative. Après l'étude du plan, je peux vous rassurer que ce travail nous demanderait pas mal de travail. Mais je compte amèrement sur vous.

___ Nous sommes heureux de l'entendre.

Nous passâmes encore quelques minutes à discuter sur le dossier avant que chacun d'entre nous puisse rejoindre son bureau pour poursuivre l'étude du dossier.

Je rangeai rapidement le dossier dans mon sac, eteignis mon ordinateur portable et sortis de mon bureau.

___ Monsieur vous rentrez déjà ? me demanda ma secrétaire.

___ Oui, j'ai un rendez-vous très très urgent, je ne reviendrai plus aujourd'hui donc tâchez vous de bien veiller sur tout ce qui bouge à demain.

___ Faites-moi confiance monsieur.

Je la souris et partis. Je me suis d'abord rendu directement à la maison, j'ai pris un bon bain et j'ai changé ma veste. Le parfum que j'avais mis dégageait un très bon odeur. Après avoir fini, j'ai pris ma voiture et je me suis rendu au lieu de rendez-vous, Dieu merci, elle m'attendait déjà dans la von. Une fois à son niveau, je garai ma voiture, sortis et l'ouvris la portière.

___ S'il vous plaît mademoiselle.

Elle était habillée dans une robe qui montrait encore mille fois sa force qui me faisait perdre le souffle

Elle était une femme magnifique, avec des courbes qui attiraient tous les regards. Ses formes étaient généreuses et harmonieuses, mettant en valeur sa silhouette voluptueuse. Ses hanches, légèrement arrondies, lui donnaient une allure sensuelle.

Son sourire éclatant illuminait son visage, faisant ressortir ses lèvres pulpeuses qui semblaient irrésistibles. Ses yeux, d'un bleu profond, scintillaient avec une lueur mystérieuse, captivant quiconque croisait son regard.

Sa chevelure sombre, tombant en cascade sur ses épaules, ajoutait une touche de mystère à son charme envoûtant. Elle se déplaçait avec une démarche gracieuse et assurée, attirant tous les regards sur son passage.

Chaque mouvement qu'elle faisait était empreint d'une allure à la fois séduisante et élégante. Sa présence était tellement remarquable qu'elle laissait une empreinte dans la mémoire de ceux qui la croisaient.

Elle rentra dans la voiture et s'installa. Je me précipitai, pris la voiture et quittai la von tout en me dirigeant directement vers un restaurant e classe.

___ Si vous me le permettez, laissez-moi vous dire que vous êtes vraiment très belle ce soir si. Si on était dans la soirée, votre beauté risque d'éclairer toute la planète terre ce n'est pas des étiquettes mais plutôt la réalité.

___ Merci beaucoup, où est-ce que nous allions ?

___ Dans un restaurant que vous allez vous même adorer. À moins que vous n'aimez pas les lieux publics.

___ Non ce n'est pas un souci, pourquoi ne pas accepter ?

___ On dit très souvent que la femme passe en premier lieu.

___ Je ne savais pas et c'est vous qui le dites aujourd'hui.

___ C'est une réalité.

___ Vous savez, cette phrase, on l'entend toujours de la part des dragueurs, lorsqu'il trouve ce qu'ils veulent c'est fini. C'est vraiment difficile de pouvoir faire confiance à un homme aujourd'hui.

___ Je le sais très bien, je suis un homme et c'est de mon devoir de vous comprendre parfaitement. Tout est permis aujourd'hui mais vous devez aussi savoir que c'est pareil pour les femmes.

___ Oui évidemment.

Soudain, je m'arrêtai devant un grand restaurant, juste en haut, il était mentionné "le mirador". J'arrêtai la voiture et descendis. Pour cette fois-ci, elle était vraiment rapide, elle avait ouverte la porte de la voiture elle même. Elle ne voulait pas peut-être.

___ Après vous.

Lorsqu'elle entra dans le restaurant, tous les regards se tournèrent vers elle. Les conversations se figèrent, les murmures s'estompèrent. La belle femme suscita un silence admiratif parmi les convives.

Certains la dévisageaient ouvertement, incapables de détourner le regard. Les yeux écarquillés et les bouches entrouvertes témoignaient de l'effet qu'elle provoquait. Des chuchotements s'élevaient parmi les tables, chacun commentant sa beauté saisissante.

Les serveurs, eux aussi, étaient sous le charme. Leurs gestes se faisaient plus hésitants, leurs pas plus lents, alors qu'ils s'occupaient d'autres clients tout en gardant un œil discret sur elle.

La belle femme, quant à elle, semblait ignorer l'attention qu'elle suscitait. Elle restait naturelle et souriante, discutant avec ses compagnons de table comme si de rien n'était. Son calme et son aisance ajoutaient à son charme captivant.

Les regards se croisaient et se détournaient timidement, chacun essayant de capter une nouvelle fois l'attention de cette femme remarquable. Certains osaient lui envoyer des sourires complices, espérant une réponse qui ne viendrait peut-être jamais.

Je regardai ces personnes qui la regardait tout comme ci ils attendaient son arrivée, je me suis précipité pour la tirer une chaise afin qu'elle puisse s'asseoir.

___ Merci beaucoup.

Je tirai une chaise et pris place également.

___ Pourquoi tout le monde vous regarde comme cela ?

___ C'est comme ça, on me dévisage quoi quand soit le lieu.

J'avais raison de dire qu'elle était vraiment belle et que sa forme me mettait vraiment hors de moi.

___ Vous prenez quoi ? demandai-je.

___ Pas grande chose juste de l'eau fifa.

___ C'est tout ?

___ Oui. Peut-être que vous alliez m'exciter à prendre encore d'autres choses mais pour le moment c'est tout ce que j'aimerais prendre.

___ D'accord.

Je fis la main aux serveurs. Parmi les serveurs, il y en avait un en particulier qui était complètement bouche bée en la voyant. Ses yeux s'agrandirent et sa mâchoire tomba, incapable de prononcer un mot. Il était figé sur place, complètement hypnotisé par sa présence.

Les autres serveurs remarquèrent rapidement son état de stupeur et essayèrent de le sortir de sa torpeur. Ils le secouaient légèrement, lui chuchotaient des encouragements pour qu'il reprenne ses esprits. Mais rien n'y faisait, il était complètement sous le charme de la belle femme.

Les clients commençaient à s'impatienter, attendant leurs commandes qui tardaient à arriver. Certains glissaient des regards agacés en direction du serveur sans voix, ne comprenant pas son comportement étrange.

Finalement, après quelques instants qui semblaient durer une éternité, le serveur retrouva enfin ses mots. S'approcha de nous et s'excusa.

Mais même après avoir récupéré sa voix, le serveur continuait à jeter des regards furtifs vers la belle femme. Il était clairement sous le charme et il espérait secrètement pouvoir lui offrir un service hors pair.

___ Servez-nous deux bidons de fifa.

Il se retourna et quelques minutes plus tard, il revient avec deux bidons de fifa.

___ Quelques choses à manger ?

___ Je vous ferai signe quand je serai prêt à manger quelque chose.

___ Pourquoi veux-tu prendre exactement les mêmes choses que moi ?

___ Si tu ne manges pas, je ne mangerai pas.

Elle sourit.

___ Serveur, nous vous ferions signe.

___ Compris monsieur.

Il se retourna et nous laissa tous les deux. Il n'arrêtait pas de m'étonner, au lieu de nous servir, il était la à comptempler une si belle beauté.

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À suivre.