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03

J'étais devant la porte de chez moi, je venais juste de sonner. J'aurais dû être en cour mais je n'en avais aucune envie à cet instant. La porte s'ouvrit et Harri me regardât en fronçant les sourcils. Je n'attendis pas qu'il se décale pour rentrer, je le poussas jetant toutes mes affaires sur le sol.

"-Ça va ? me demandât Harri soucieux

-Non pas des tous rien ne va, crier je

-Il se passe quoi ? me demandât-il

-Il se passe qu'un trou du cul finis nommé Harri Stiles à oublier de m'informer qu'il faisait des tournois de boxe avec mon frère et qu'en plus de sa il pourrait savoir où il se trouvait, dis-je en lui tapant avec mon index sur sa poitrine

Il me regardait avec de gros yeux jusqu'à que mes yeux fixent droit dans ses iris verts lui demandant des explications. Il passa sa main dans ses cheveux.

-Je. ..ne sais pas quoi te dire, dit-il

-Dit moi ou il sa cache putain, crié je

-Je ne sais pas où il est"

Tous mes espoirs se brisèrent. Je le fixai avec un regard montrant ma tristesse. Je partis sans dire un mot vers la porte donnant dans la cave. Je pris la clef et m'y enfermas. Mon père avait aménagé une sorte de salle de sport en bas. Dans le coin de celle-ci il y avait un Tapie de courses, une table pour porter des altéré, des altérés, des poids et un rameur.

Au milieu de la salle se trouvait un grand sac de sable. Je m'avançai vers la table où se trouvaient les gants de boxe de mon frère. Je les effleurai de bouts de mes doigts et les enfilais en m'avançant vers le sac de sable. Cette pièce était le sanctuaire de mon frère, il passé ses journée ici a tapé avec ces points dans le sac de sable.

Je respirais longuement et mis un premier cou. C'était délivrant. Je tapais fort, beaucoup trop. J'avais mal aux mains mais ça me fessais du bien. Je n'arrêtais pas de me défouler dans le sac je tapais dans tous les sens utilisant mes jambes à quelques moments.

Je n’arrêtais pas de taper j'aimais ça, ça me faisait du bien. Je me vidais de toute la haine que je renfermais. Je regardai le punshing ball un bon moment et levais haut mon bras serrant fermement le point. J'allais taper mais une main se posât sur mon poignet et une autre sur ma hanche, un corps se colla au mien et un visage pris place au-dessus de mon épaule

"-Arrête de pleurais, me chuchotât-il

C'était Harri

-Je ne pleure pas, dis-je froidement

-Si tu pleur"

Je me rendis compte à cet instant que j'avais pleurais en silence et sans m'en rendre compte. Il se décrocha et se mit en face de moi. Il attrapa mon poing droit avec le quelle je tapais et enlevas le gant je découvris mes jointures rouge sang prévoyant un future belle hématome.

Il passa sa main froide sur ma main bouillante de douleur et me regarda droit dans les yeux.

"-Tu aurais dû être en cour, dit-il

-J'ai une tête à faire passer l'école avant mon frère ? Demandais-je

Il rigola légèrement

-Ce que tu viens de te faire c'est un magnifique bleu, dit-il en alternant son regard entre ma main et mes yeux avec un regard gentil et doux...

Je fis par la suite une grimace lorsqu'il passât ses doigts dessus.

-Ah ! Je pense que tu ne vas pas pouvoir faire grand-chose avec une main dans cet état-là !

-Alors je pense que je n'irais pas en cours ! Riais-je à mon tour."

Il me sourit et étrangement moi aussi. Je ne souris jamais à personne, quoi que des fois à ma mère et a Avris. Ça fait un bon moment que n'avais pas souri à quelqu'un d'autre que ma mère et Avrie. Ça me fait bizarre....

J'étais dans le salon en train de manger comme une goinfre des chips regardant la télé la tête posée sur l’épaule d'Harri à rire comme une dinde à cause du film qui passé à la télé. Depuis hier, j'avais passé une très bonne journée avec Harri et du très bon temps avec lui il était gentil et drôle sans l'être vraiment.

Je n'avais jamais été proche de garçon appart mon frère. J'avais appris que Harri avait des parents divorcés comme moi et que sa sœur était partie vivre avec son père à Los Angeles. Il était 20 heures et je passais toujours un agréable moment avec Harri qui était étrangement drôle et attachant.

"-Ah tu veux que je te dise une blague ? me proposât-il surexcité

-Oh non Harri ! T’es blague son nul à chier ! Riais-je

-Non mais je te jure qu’elle, elle est vraiment drôle ! dit-il

-Bon ! Je te propose quelque chose si elle est nul je te donne un gage ! Ok ?

-Ok ! Bon c'est l'histoire de deux saucisses dans un microonde et y a une saucisse qui dit à l'autre "il fait pas un peu chaud ? " et l'autre lui répond "Ah ! Une saucisse qui parle", et il éclata de rire comme une gogol pendant que moi je le regardais dépité.

Je pris le coussin qui était à ma gauche pour lui mettre un coup en plein visage

-T'es pas du tout drôle mon pauvre ! ! !

-Si c'était drôle ! Toi tu fais jamais de blague donc chut !

-Elle n'était pas du tout drôle et si je ne fais pas de blague c’est simplement pour ne pas être aussi ridicule que toi !

-Alors du cou je dois avoir un gage ? me demandât-il en faisant une mou triste

-Bien sur je ne vais pas te lâché ! Riais-je

-Alors...tu que vas me faire subir ? me dit-il appréhendant mon gage

Je me levas un sourire sadique au lèvres

-Vas voler le nain de jardin fétiche de madame Rotingberg

-Ah la voisine folle qui a plu de 50 chats ?

-Oui ! Riais-je

-Mais elle va me tuer et elle va m'envoyais ses chats malade sur moi !

-Justement

Il afficha un grand sourire

-Ow ! La sage fille à papa et maman veux que je comète une infraction ? demandât-il

-Sage ? Demandais-je étonné

-Tu sais, je connais des tonnes et des tonnes de filles qui a ta place aurais déjà profité du fait de rester avec un aussi beau garçon que moi en plus de sa quatre mois, dans une maison, enfermé, tu voix ? Elles, se sont de mauvaise filles toi tu es une gentille fille à papa et maman, la fille avec une vie calme une fille qui n'oserais même pas enlevais son débardeur la maintenant !

Je pris sa comme un défi. J’arquas un sourcil et enlevas mon débardeur, il sourit et enlevât son t-shirt.

-C'est tout ce que tu sais faire ? ! demandât-il en rigolant.

Je fis glisser mon jogging et là une chose asses distrayant pris place dans le regard d'Harri, il était plein de désir et sur tous très excité du fait que je sois en sous-vêtements devant lui.

-J'ai un nouveau gage ! Dis-je fière de moi

-Ah bon ? S’étonnât-il

-Écoute-moi bien, quoi que je fasse, quoi que je dise, pendant ces quatre mois tu n'auras pas le droit de m'embrasser ! Dis-je affichant un grand sourire

-Facile ! s'écrit-il

-Ça c'est ce que tu penses ! Riais-je"

Je sortis du salon le laissant devant le film et filas dans ma chambre me changeais. Je mis un short en jeans beaucoup trop cour et un crop top tous aussi cour et me recoiffas et me regarda dans le miroir... Jamais de ma vie je n'aurais pu m'habiller ainsi, moi Léna Jhonson en mini short rat la moule et t-shirt montrant entièrement mon ventre et laissant une légère partie de son soutien-gorge visible.

Je redescendis voir Harri. Je m'assis à côté de lui. Il me regardait avec un grand sourire joueur plein de désir et d'envie. Je posas ma tête sur son épaule et passas son bras autour de mes épaules pour me blottir dans ses bras.

Son odeur masculine était tellement attirante et lui donné un effet magnifiquement sexy ! ATTENDEZ MOI Léna Jhonson, me blottir dans les bras d'un garçon. ! C’est...amusant de voir à quel point la compétition pouvait me faire changer. Mais inconsciemment j'aimais son touché sur ma peau bouillante.

Je sentis la grande main d'Harri me caressé affectueusement la hanche à l'aide de son pouce.

"-Si c'est toi qui brises le gage, je te donne un gage et mon gage et annulé, ajouta-t-il

Je levas la tête vers lui

-T'inquiète pas je ne suis pas prête de t'embrasser ! Je suis plus forte que toi et je sais me contrôler par contre si tu brises le gage sa serra à moi de t'en redonné un et l'autre ne serras pas annulé pour autant, dis-je."

Il me tendit sa main et je la serras affichant un grand sourire. La proximité de nos visages à ce moment était très brève.4 centimètres maximum séparaient nos deux visages. Il rapprocha son visage du mien jusqu'à que nos lèvres s’effleurent, il s'arrêta gardant la même distance et plongeant son magnifique regard dans le mien. Mon cœur s'affoler et je pouvais sentir le sien tapé aussi rapidement contre sa poitrine.

"-Si seulement tu savais la torture que c'est de me retenir de t'embrasser ou de te prendre la a même le canapé ! Me chuchota-il"

Même si n'était pas forcément très romantique un large sourire prit place sur mon visage et je fis glisser ma main gauche pour quelle se loge sur sa nuque. Il était tellement beau et tellement attachant.

Quand j'y repense ce garçon est formidablement attachant et super attirant. Je le trouvais juste sublime. Ses fossettes adoucissent son visage. MAGNIFIQUE, c'est exactement ça. Il était magnifique et avait de sublimes yeux verts émeraude. Le vert de ses yeux était pour le premier foie rempli de douceur et désire. Sa lèvre inférieure se pinçait entre ses dents parfaitement alignées. Il était trop beau pour être vrais.

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