Chapitre 8 : Une cliente chanceuse

Tôt le lendemain matin, Melissa se lève, se maquille légèrement, met des vêtements propres et se regarde dans le miroir.

Regardant son visage sérieux, Yann dit en riant :

— Ne t’inquiète pas, j’ai dit que j’ai un ami dans l’Entreprise Foncière Céleste, et je l’ai déjà informé.

— Même si tu y connais un employé, il ne nous vend pas le bâtiment pour cinq millions. Je peux seulement parler de mon mieux avec eux, et j’espère qu’ils ne me chassent pas à la fin, elle lui faisant confiance, mais cette affaire est très difficile, ce n’est pas une chose qu’il peut faire.

Il est insoucieux, et il marche dehors en prenant le manteau de Melissa avec un sourire.

Il la conduit à l’Entreprise Foncière Céleste en son vélo électrique.

Dans un café, en face de bâtiment de l’Entreprise Foncière Céleste.

Sonia et Jeremy s’assoient près de la fenêtre, avec un regard fixe à l’entrée de l’Entreprise Foncière Céleste.

— Jeremy, à quel point tu crois qu’ils peuvent parler ? Est-ce que l’Entreprise Foncière Céleste ne vend pas le bâtiment à Melissa pour cinq millions ?

Sonia demande.

— Bien sûr, ne dis pas à quel point, c’est dur pour eux d’entrer l’Entreprise Foncière Céleste aujourd’hui. Il y a quelque temps, grand-père m’envoyait ici pour parler cette affaire, dès qu’ils savaient que je peux donner huit millions, ils me chassaient tout de suite, sans parler du fait qu’elle donne seulement cinq millions, Jeremy a juré de dire.

— En cas où l’Entreprise Foncière Céleste se ravise soudainement, et elle l’achète pour cinq millions, que faire alors ?

Sonia demande encore.

— Cette possibilité est très petite que celle que Yann est le boss de l’Entreprise Foncière Céleste. Ne t’inquiète pas, c’est impossible pour eux de réussir, dit Jeremy en riant tout de suite.

— T’as raison, s’il est le boss de l’Entreprise Foncière Céleste, le cochon peut voler, Sonia dit en riant.

Bien tôt, Yann conduit Melissa à l’entrée de l’Entreprise Foncière Céleste en vélo électrique.

— Quel drôle ! Ils ont l’air si minables par vélo électrique, quand Sonia regarde leur apparition, elle se tord de rire tout de suite.

Jeremy ricane, prêt à les ridiculiser.

Yann s’arrête le vélo et dit à Melissa avec sourire :

— Entre, ils t’attendent.

Elle est un peu nerveuse et dit :

— J’entre comme ça, vont-ils me chasser ?

— Ne t’inquiète pas, ils ne le feront certainement pas. Les employés d’ici sont polis, ils ne vont pas te chasser, Yann dit.

— Bah, tu dis comme l’Entreprise Foncière Céleste est la tienne, comment tu connais les employés ? Elle lève les yeux au ciel vers lui.

— En fait... l’Entreprise Foncière Céleste est vraiment la mienne, il rit.

— Bon, ne me taquine plus. Si l’Entreprise Foncière Céleste est la tienne, ce serait formidable. Ne rêve plus. Alors, j’y vais.

Elle n’a rien à dire, et puis elle marche à l’intérieur de l’Entreprise Foncière Céleste.

En regardant sa silhouette, il se demande qu’il puisse jurer qu’il ne rêvait pas tout à l’heure.

A son arrivée à la salle de l’Entreprise Foncière Céleste, une femme vient tout de suite et demande avec sourire :

— Bonjour, qu’est-ce que je peux vous aider ?

— Euh, je viens des Lemaire. Je veux discuter l’achat du bâtiment avec votre directeur général, Melissa dit nerveusement.

— Oh, Mme Lambert, notre directeur général vous attendre dans le bureau, suivez-moi s’il vous plaît. la femme dit très poliment.

Un peu surprise, Melissa n’attendait pas que l’employée d’ici est si polie comme Yann l’a dit.

Elle suit l’employée vers l’intérieur, bientôt, elles arrivent à la porte du bureau de directeur général.

— Le directeur général vous attend à l’intérieur, la femme dit puis elle part.

Melissa frappe à la porte :

— Entrez ! vient la réponse de l’intérieur.

Elle pousse la porte et entre ; Marcel, qui a déjà reçu l’ordre d’Yann, avance tout de suite pour l’accueillir et la laisse s’assoir sur le canapé.

Elle ne s’attendait pas à l’achat de bâtiment avec succès, et le directeur général a l’air sympa. Elle ne sait pas quoi faire.

— Bonjour, je suis... Melissa dit.

— Je vous connais, Mme Lemaire. Vous venez ici pour acheter le bâtiment officiel, non ? Les Lemaire ont déjà y envoyé quelqu’un, mais pour certaines raisons, il n’a pas réussi.

— Vous soyez ici à temps, car maintenant il y a une activité de jeu de chance, c’est que ce qui est le premier à arriver pour acheter une propriété, n’importe quoi qu’il achète, nous l’offrons 50% de réduction, je dois dire que vous avez de la chance.

Marcel explique avec sourire, ce qu’il a dit est l’ordre d’Yann, c’est pour ne pas la rendre méfiante.

En entendant ce qu’il a dit, elle écarquille ses yeux et dit de surprise :

— L’activité de jeu de chance ? Vous plaisantez ?

— Non. Voulez-vous signer le contrat d’achat maintenant ? Après la signature, le bâtiment que vous voulez est appartenu aux Lemaire, il dit avec sourire.

Elle est un peu dépassée. Elle pensait qu’elle devait déployer bien des efforts pour parler avec lui. Mais à sa surprise, elle rencontre une activité de jeu de chance dès qu’elle arrive.

— Mais je n’ai jamais entendu parler qu’il y a l’activité de jeu de chance, elle demande.

— Puisque c’est l’activité de jeu de chance, on ne peut pas le faire connaître au grand public, sinon il y a une grande foule vient pour le gagner, puis le chaos sera entraîné, il explique.

Elle n’a rien à dire pour un moment.

Cette activité de jeu de chance semble peu fiable, mais il n’y a rien de mal avec son explication.

Et puis, sous la guide de Marcel, elle a bien signé le contrat et transféré l’argent sur le compte de l’Entreprise Foncière Céleste.

Avant de partir, il emmène un groupe d’employés pour faire ses adieux à cette cliente « chanceuse ».

Du début à la fin, elle a un sentiment de rêver.

Elle sort avec le contrat, mais elle erre encore sur la lune.

Elle marche tout droit, yeux fixes, en face d’Yann, elle se murmure :

— Yann, je suis sélectionnée comme leur client chanceux. Ils disent que ce qui est le premier arrive, n’importe quoi qu’il achète, il peut profiter de 50% de réduction. Tu le sais à l’avance, donc tu amènes moi ici si tôt, c’est ça ?

Yann lui donne un sourire discret, puis il met un doigt sur ses lèvres :

— C’est une information interne, et n’oublie pas de la garder secret.