Chapitre : 05

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Je suis allée chercher les choses et j'ai dressé la table. Je devrais le faire pour elle parce-que après tout c'est ma grande sœur. Après avoir fini, je suis allée me coucher tranquillement, je ne sais plus qu'est ce qui s'est passé ou quoi que ce soit durant la nuit.

Très tôt le matin, ma sœur a apprêté son enfant, je me suis occupée du biberon. Elle a pris ses affaires et elle est sortie. Son mari a également fait la même chose.

La maison n'était qu'à moi et à ma nièce. Allongée sur le canapé du salon, je regardais la rediffusion d'une de mes feuilletons que je n'avais pas regardé hier soir vu que j'étais un peu occupée. J'étais là, lorsque la porte du salon s'ouvrit, je me ressaisis rapidement parce-que j'étais complètement à moitié nu. J'avais mis une petite jupe et une petite chemise qui laissait voir ma forme.

___ Bonsoir, je suis l'ami de Patrick. Est-ce qu'il est la ?

___ Non il n'est pas la, vous pouvez repasser un peu plutard si cela ne vous dérange pas. Comme vous pourriez encore attendre.

___ Je vais repasser cela ne me dérange pas. Tu es la sœur de sa femme ?

___ Pourquoi cette question ?

___ Vous vous ressemblez c'est la raison pour laquelle je suis entrain de te demander. En attendant, est-ce que je peux avoir ton numéro ?

___ Non je suis désolée.

___ Je ne veux rien faire avec ton numéro, juste des amis.

Je ne voulais pas lui donner mon numéro, vu la façon dont il était entrain de me regarder, j'ai deviné qu'il voulait à tout prix me courtiser ou complètement autre chose. Sans faire trop de palabre, j'ai pris son téléphone portable et j'ai inséré mon numéro.

___ Merci beaucoup, je vais repasser.

Il se retourna tout doucement. Après son départ, il m'appela pour confirmer que je suis réellement l'auteur de ce numéro. J'ai enregistré son numéro et on s'est mis à discuter. Il a passé toute la journée à me dire combien de fois j'étais belle et combien de fois j'ai fait battre son cœur. Tout ce qu'il disait ou tout ce qu'il était entrain de raconter était sous forme de répétition pour moi, je ne voyais aucune utilité ni quelque chose d'important dans tout ce qu'il me racontait.

À la fin de notre discussion, je suis allée faire la cuisine parcequ'il se faisait tard. J'ai préparé la nourriture de la soirée et Dieu merci ma nièce a passé tout ce temps à dormir. J'ai profité en même temps pour faire sa bouillie.

J'étais dans ma chambre tranquillement lorsque je sentis la présence de quelqu'un derrière moi, je sentais que la respiration, j'avais peur, j'avais peur pas parce-qu'il avait quelqu'un derrière moi mais parce-que je ne connaissais pas la personne qui était derrière moi ni pourquoi il était la également. J'ai pris une pagne que j'ai mis et je me suis retournée tout doucement. Vous n'allez pas le croire c'était Patrick.

___ Ah tu es déjà rentré ?

___ Oui la porte n'était pas fermée.

___ Je venais juste me changer pour rejoindre ma nièce. Y-a-t-il quelque chose ?

___ Oui, viens t'asseoir.

Mon cœur battait très très fort, nous avons pris place sur le lit et il a commencé par me parler, c'est vraiment dingue. D'abord le mari de ma sœur qui me raconte des salades sous prétexte que je le rendais fou et ensuite son meilleur ami qui me raconte également la même chose. On dirait que les deux sont tombés sur la tête. Je n'ouvris même pas la bouche parce-que ce que, ce que le mari de ma sœur était entrain de me raconter était bizzare devant moi.

J'ai essayé de me lever mais c'était déjà trop tard, il me poussa sur le lit, enlèva mon pagne et le jeta, je voulais ouvrir la bouche lorsqu'il attaqua mes deux seins, je perdis directement ma langue, mes seins, c'était l'une des parties qui rendent la femme faible, totalement faible, à force de toucher cette partie me mettait hors de moi et je me donnais encore plus d'envie et plus de charisme, il n'arreta pas. Il me regarda tout droit dans les yeux et me laissa une petite phrase >. Je viens de faire seulement une journée et je suis déjà sur le point de coucher avec le mari de ma propre sœur, avais-je le choix ? Oui j'avais le choix de le repousser mais la façon dont il était entrain de me caresser ne me donnait pas assez de force pour pouvoir le repousser ou pour pouvoir résister.

___ On ne devrait pas faire ça.

___ Ta sœur ne me donne plus le sexe, s'il te plaît laisse-toi aller, ton corps me rend fou, je n'ai pas pu travailler aujourd'hui à cause de ton corps.

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J'ai cédé à son chantage, après tout j'aurai également une partie de plaisir encore que je n'ai plus pratiqué le sexe depuis deux à trois semaines. Je ne suis pas là pour vous parler de ma vie sentimentale mais plutôt des erreurs que j'ai faite avec Patrick.

Il lâcha tout doucement mes seins et mit une dans sa bouche, il suçait mes seins tout comme ci il avait un jus ou tout comme ci il prenait quelque chose sucré. Plus il me suçait et plus l'envie de passer à l'acte montait en moi, il me regardait, moi je n'avais plus ma tête la, je caressais déjà sa tête ainsi que sa poitrine qui était bien plat, il pratique très bien le sport je l'avoue. On était la, l'un sur l'autre entrain de nous caresser lorsqu'une idée me passa à l'esprit, c'était la porte du salon ainsi que le portail, si jamais les deux la restaient ouvertes, ma grande sœur pourrait venir nous surprendre.

___ Les portes.

___ J'ai déjà tout fermé et j'ai laissé la clé à l'intérieur nul ne peut rentrer et t'inquiète pas ta nièce dort.

___ Compris.

Il se tut, caressa tout mon visage avec sa langue, c'était un très bon moment sans vous mentir, il enleva tout doucement ma petite jupe, et enfonça deux de ces doigts à l'intérieur.

___ Aïe !

___ De laisser ?

___ Continue seulement.

Il me doigtait avec sa main et moi je tirais seulement le drap, l'envie était fort que moi, ceci était à autre niveau. Je n'arrêtais pas de me demander si c'était comme ça ma sœur se sentait et elle refuse à son mari d'aller au sexe avec lui, elle est folle hein.

Il enleva ses doigts et enfonça sa langue, sans plus me retenir, j'ai commencé par mouiller, cet homme était prêt à me faire voyager sur la planète terre ou sur autre planète je dirai. Du fait que je gémissais et que je mouillais le mettait encore plus aggressif. Il m'a d'abord tué aves des caresses et ses mouvements historiques.

___ Pardon pénètre moi s'il te plaît, vas-y fais-le.

Il sourit, enleva rapidement sa petite culotte et sortit son bâton. Oh je m'étais pas trompé, c'était gros et lisse, il me regarda tout droit dans les yeux et me pénétra tout doucement.

___ Oh mon Dieu !

___ Oh bb ! Tu es la meilleure.

Le pénis n'arrivait même pas à bien frotter, ma chatte était bien serrée, ce qui rendait mon monsieur fou de rage, il était heureux d'être sur moi. Il me regardait tout en me bouffant sauvagement la chatte, il me faisait les mouvements de va-et-vient et moi je pleurais de plaisir de l'autre côté.

___ Je suis à toi, vas-y plus fort.

___ Tu es là meilleure, si je savais que tu étais bonne comme ça, j'allais insisté pour que tu viennes depuis.

___ Je suis la, profite bien.

À suivre