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CHAPITRE 3 : Le mari de ma mère me regarde

Sept jours exactement que ma mère m’a installée chez elle, sous le toit de son mari. Tous les jours, ma mère allait au boulot. Elle est enseignante. Il faut que je vous parle un peu de ma mère.

Ma mère est une femme battante. Elle a beaucoup étudiée. Elle était en terminale lorsque mon père l’a enceintée. Depuis qu’elle a avoué à mon père qu’elle avait perdu ses menstrues, mon père, le vaurien, était parti sans laisser aucune trace.

Fait-on ça ? Je remercie même Dieu que ma mère ne m’avait pas avorté sinon, je ne serais pas en vie et être en train de porter ce joli prénom de Milie.

Ma mère avait mis une pause à ses études après son baccalauréat pour s’occuper de moi. Ma grand-mère, je m’en souviens, m’a dit que c’était six jours après les résultats du baccalauréat que ma mère m’avait donné naissance. Elle m’a aussi dit que c’était mon pépé, paix à son âme, qui avait pris toutes les charges pécuniaires au cou. Ma grand-mère m’a aussi dit qu’ils vivaient tous heureux jusqu’au jour où pépé a rejoint ses pères. Ce qui signifiait que c’était après la mort de mon grand-père que la galère et la misère s’étaient installées sous le toit de ma mémé où, manger était devenu chose terrible.

Ma mère, avec le temps, avait continué ses études jusqu’à avoir le doctorat. Je ne savais pas comment mais elle s’était débrouillée à aller de l’avant. Après ses études, rien n’a marché pour elle et elle essayait de vendre de petits trucs. Et c’était avec le revenu de ces produits qu’elle vendait qu’on arrivait à trouver quelque chose pour pouvoir rompre la faim qui brûlait nos estomacs.

Après son mariage avec son nouveau mec, elle a trouvé une place dans une grande école de la ville où elle allait dispenser des cours de français aux élèves. Chaque matin, au plus tard à sept heures trente minutes, ma mère finit déjà sa douche et monte dans son véhicule pour se rendre au boulot. Avant son départ, je suis encore dans ma chambre, en train de dormir car, le mari de ma mère avait engagé une domestique ; une jeune fille de seize ans environ. On l’appelle Flora. Flora est d’un teint noir et d’une corpulence maigre. Je suis légèrement un peu plus élancée qu’elle. C’est une fille qui respecte beaucoup. Elle ne comprend pas bien français. Elle fait l’effort de s’exprimer. Quand on lui parle, elle comprend presque tout mais elle a parfois du mal de bien s’exprimer. Il faut parfois suivre ses gestes pour comprendre ce qu’elle dit.

Et voilà ce matin, ma mère était partie au boulot. Je ne sais dans quel collège elle enseigne. Mais quand elle quitte la maison le matin, c’est à midi elle revient. Et au plus tard à quatorze heures trente minutes, elle quitte encore pour revenir le soir à dix-huit heures.

Ce matin-là, j’avais quitté ma chambre après m’être douchée. J’étais venue au salon pour prendre mon thé. Il n’y avait personne dans le salon, mais la télévision était en marche. C’est d’ailleurs l’habitude de la maison. On ne craint pas la somme exorbitante que pourrait contenir la facture d’électricité. La télévision et les brasseurs restent en marche pendant vingt-quatre heures. Donc voilà pourquoi ça ne m’avait ni étonnée ni surprise de découvrir la télévision et les autres appareils en marche.

Me dirigeant vers la table à manger, je me suis servie et me suis retournée vers les divans où j’ai fini par m’installer dans l’un. Saisissant la télécommande, j’ai changé la chaîne pour mettre une autre sur laquelle on passait le dessin animé. Je suivais la série quand tout à coup, le mari de ma mère a fait son irruption dans le salon. J’avais porté un petit maillot transparent à travers lequel, les mamelons de mes seins étaient bien apparents. Je vous avais déjà dit que je suis d’un teint clair. Imaginez donc un peu la couleur que peuvent avoir mes seins. Si les femmes, aussi noires qu’elles sont le plus souvent, leurs seins réussissent à être clairs, comment seraient les miens ?

J’ai de jolis seins et ça, je le sais. Je n’ai pas besoin qu’on me dise : « Milie, tu as de jolis seins » avant que je ne me rendis compte. Je sais que Dieu m’a donné de jolis seins ; des seins qu’il a pris le soin de bien manier avant de me plaquer sur la poitrine.

Et le mari de ma mère a fait son irruption dans le salon comme je venais de vous l’annoncer. J’ai levé ma tête vers son adresse pour lui dire « bonjour tonton ».

– Oui bonjour mademoiselle Milie, comment ça va ? me répondit-il.

– Je vais très bien, tonton, merci.

Et l’homme s’avança vers moi pour venir s’asseoir dans le même divan que moi. Et moi, mon regard fixé sur l’écran téléviseur, je ne le calculais pas.

– Aimes-tu le dessin animé ? me demanda-t-il.

– Oui, je les adore, tonton !

– Ça, c’est très bien ! Cela veut dire que nous avons le même hobby !

– Que mettez-vous dans hobby, monsieur ?

– Hobby, c’est pour désigner le dada ou le loisir. Tu comprends un peu ?

– Oui, je comprends enfin. Sinon j’aime trop le dessin animé.

– Ça, c’est super ! Si nos loisirs sont alors communs, sûrement que tu dois aussi aimer le porno parce que j’aime aussi le.porno en plus des dessins animés.

– Non, le porno, c’est pour les grands.

– Et toi, tu n’es plus une enfant !

– Je le suis ? Puisque je n’ai pas encore vingt ans !

– Vingt ans, c’est déjà trop ! Quinze ans, c’est déjà largement suffisant et…

– Voilà, c’est ce que je vous disais ; je n’ai que quatorze ans, lui reprochai-je.

– Je n’en disconviens pas ! Quand on te regarde, tu as l’air d’une grande fille !

– Peut-être !

– Milie, j’aime quand tu parles !

– Ah bon ?

– Sincèrement ! Tes lèvres, j’aime les regarder quand elles bougent.

– Vous êtes sérieux, tonton !

– Oui, je suis sincère. Dieu t’a donné une belle créature. Tu es trop belle !

– Mais pas comme ma mère, votre femme !

– Tu es encore plus belle que ta mère !

– Pourtant vous l’aimez !

– Je ne l’aime pas à cause de son apparence.

– Et pourquoi l’aimez-vous ?

– Je l’aime parce qu’elle sait me gérer au lit.

– Et c’est bien !

– J’imagine combien tu seras plus douce au lit que ta mère.

Je fronçai les sourcils pour dévisager mon interlocuteur.

– Ah oui, j’aime dire de n’importe quoi quand je suis en compagnie des gens que j’aime beaucoup.

– Ces propos que vous tenez avec moi sont au-dessus de ma capacité.

– C’est selon toi ça ! Donc tu n’as jamais fait l’amour ?

– Je suis une gamine et cela ne m’a jamais intéressé.

– Oh, tu es donc encore vierge ?

– Oui, je suis encore vierge.

– Wouah ! Que j’aime les femmes vierges !

– Vraiment ?

– Oui, Milie ! J’ai toujours rêvé faire des expériences d’amour avec les femmes vierges mais je n’ai jamais eu la chance !

– Vous dîtes vrai ?

– Je te le jure, Milie ! Si tu peux m’accorder une seule chance pour voir si c’est vrai, je te jure que je te ferai un gros cadeau.

La proposition de mon interlocuteur me stupéfia et je fronçai une fois encore les sourcils pour lui demander s’il était sérieux.

– Oui ! Je te ferai tout ce que tu voudras.

– Comme quoi ?

– Je peux t’emmener en Amérique, visiter les grands sites touristiques.

– Et nous allons monter dans l’avion ?

– Exact ! Nous allons monter dans un gros avion.

– Que c’est super !

– Et j’ai aussi un ami français qui vient très souvent ici ; il va nous amener chez lui en France.

– Quoi ? En France ? Alors je serai pourrie !

– Ah oui, je te ferai beaucoup de surprises ; des surprises que tu ne regretteras jamais.

– Wouah ! Je suis partante !

– Tu es donc d’accord qu’on fasse l’amour ?

– Si ! Et d’ailleurs, ma mère même m’a dit une chose !

– Que t’a-t-elle dit ?

– Elle m’a dit de vous respecter car, en vous respectant, vous me traiterez comme votre propre fille. Elle m’a aussi dit de vous rendre tous les services que vous me demanderez ! Je considère en effet cette relation sexuelle que vous me demandez comme un service. Mais il y a une chose, je n’ai jamais fait ça ! Et si je ne l’ai jamais fait jusqu’à présent, c’est parce que ma grand-mère me donne la peur au cœur que quand on fait ça, ça fait très mal alors que moi j’ai peur qu’on me fasse mal. Je n’aime pas que quelque chose touche mon corps parce que je l’aime trop.

Le mari de ma mère se mit à rire à gorge déployée avant de poser sa main droite sur mon épaule pour me dire :

– Ta grand-mère n’a pas tort, elle a raison. Mais laisse-moi te dire que moi, j’ai ma technique. Et si je te le fais, aucune goutte de sang ne va couler et tu n’auras aucun mal non plus. D’ailleurs, je n’ai pas un gros pénis. Ou bien que je te le montre ?

– Oh non ! m’exclamai-je, surprise.

– Sinon je n’ai pas un gros pénis. Je te jure que tu vas aimer ça. D’ailleurs, permets qu’on suive un peu le porno.

Et le monsieur, sans mon avis, saisit la télécommande pour mettre une chaîne sur laquelle, deux hommes bouffaient la chatte d’une jeune fille.

Les deux hommes, sur l’écran, étaient nus ; la jeune fille, également. Les deux hommes avaient couché la fille sur un lit. Pendant que quelqu’un lui bouffait la chatte de sa longue queue, l’autre était à son chevet, en train de la pénétrer par la bouche.

– Tu vois ça ? C’est joli n’est-ce pas ? me demanda mon compagnon.

Et puisque c’était la première fois que je voyais ce truc, je ne lui prêtai aucune attention que de continuer à regarder la vidéo.

Le monsieur longea la main et attrapa un de mes seins avant de se rapprocher de plus près de moi. Il commença à me caresser et moi, ses caresses me faisaient aussitôt beaucoup de bien dans tout mon corps.

Regard fixé sur l’écran et mes seins saisit d’assaut, je ne savais plus où j’étais. Le monsieur me caressait et moi, je me perdait petit à petit.

Je commençai à sentir l’érection de quelque chose dans ma culotte ; sûrement mon clitoris. Je voulus aller contrôler mais j’avais de la faiblesse. Je finis par fermer les yeux et c’est là que je sentis quelque chose de frais embrasser mes lèvres.

Eh oui, le monsieur venait d’arracher mes lèvres dans sa bouche.

On se suçait les lèvres et je ne savais pas quand le monsieur m’enleva le maillot et me mit en torse nu.

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