_CHAPITRE 07:

Avec la couverture enlevée, il était impossible de ne pas remarquer l'odeur de l'excitation de Lucia. J'en avais eu un léger échantillon quand j'avais reniflé sa culotte, mais c'était tout autre chose. Je n'avais pas senti une femme de cette façon depuis de nombreuses années. Ça m'a donné envie de faire de très mauvaises choses. Des choses que je regretterais pour le reste de ma vie.

➖MOI: Ça fait vraiment du bien, Luci

Je n'ai jamais été très bavard dans la chambre. Cela avait en quelque sorte un sens avec elle, cependant.

➖MOI: Je ne devrais pas faire ça avec toi.

➖LUCIA: Ça va, papa. Ne vous arrêtez pas. Allez-y. Ouais…

Son corps rebondit contre le mien;

➖Caresse ta grosse bite pendant que je baise ma chatte. Juste comme ça…

Je ne pouvais pas croire les mots qui sortaient de la bouche de ma fille. Aussi surpris que j'étais, cela ne m'a pas empêché de battre encore plus fort ma bite raide quand je l'ai entendu.

➖MOI: Tu as une sale gueule, jeune fille.

➖LUCIA: Je ne peux pas m'en empêcher. Je voulais faire ça avec toi depuis si longtemps.

Elle ne retenait rien.

➖LUCIA: Je pense à ta bite tous les soirs quand je baise mon gode, papa. Tu penses à ma chatte quand tu te branles, papa ? Est-ce que vous... ?

➖MOI: Je le fais. Que Dieu m'aide, je le fais.

J'étais content que les lumières soient éteintes pour qu'elle ne puisse pas voir la honte qui serait évidente sur mon visage pour lui avoir parlé comme ça.

➖MOI: Je pense à toi dans ta chambre, écartant les jambes et jouant avec ton gode. Je t'imagine nue et en train de te masturber. Oh, putain.

Si le gémissement de plaisir qu'elle a laissé échapper pendant que je disais cela était une indication, je venais de réaliser son fantasme le plus cher.

➖LUCIA: Est-ce que ça t'a fait jouir ? As-tu joui en pensant à la façon dont j'ai baisé ma chatte avec le gode que tu m'as offert ?

➖MOI: Oui! Je suis venu tous les soirs en pensant à toi.

Je n'en pouvais plus et j'ai arraché mon bas de pyjama. Ce n'était pas comme si elle pouvait voir quoi que ce soit, alors quelle différence cela faisait-il ?

➖LUCIA: Je le savais. C'est ce que je voulais. C'est ce que je voulais tant. Et maintenant… et maintenant… maintenant je jouis. Oh, merde, papa ! Je suis en train de jouir en ce moment ! Ah-ah-ahhhh!

Son corps se tendit à côté de moi et je pouvais la sentir se soulever du lit. Elle se tordit contre moi et cria alors que l'intensité de son orgasme secouait son petit corps. Le son de son éjaculation m'a envoyé au-dessus. Mes couilles se sont serrées et j'ai commencé à pulvériser du sperme sur ma poitrine et mon ventre. Je laissai échapper quelques grognements tendus entre mes dents serrées, puis me laissai aller.

Lucia siffla;

➖Oh mon Dieu. C'était incroyable. Nous sommes venus en même temps.

Elle pouvait à peine reprendre son souffle.

➖LUCIA: Nous nous sommes vraiment masturbés ensemble. Je suis si heureuse en ce moment, tu n'as aucune idée.

Elle a en quelque sorte trouvé ma main libre et l'a tenue serrée.

Je ne pouvais pas nier que c'était facilement la meilleure expérience sexuelle que j'avais eue depuis des années; peut-être même de toute ma vie. Cela n'a cependant pas changé le fait que c'était aussi la chose la plus honteuse que j'aie jamais faite, sexuelle ou autre. Je venais de me branler à côté de ma propre fille. La seule personne au monde à qui j'étais responsable d'élever, de guider et d'enseigner le bien du mal. La seule personne qui comptait sur moi pour la protéger du monde. D'un monde qui voulait l'exploiter et profiter d'elle. Et là, je tenais ma bite palpitante dans ma main, avec une charge chaude de sperme trempant dans mon t-shirt et un désir affolant d'enfouir mon visage entre ses belles jambes.

Je murmurai;

➖Je suis content que tu sois heureuse, ma chérie.

Les moments passaient et nous étions chacun allongés tranquillement avec nos pensées. Sa respiration ralentit peu à peu. Elle laissa échapper un soupir satisfait. J'ai essayé de ne pas penser à toutes les ramifications de ce que je venais de faire. J'avais franchi une ligne qui allait changer à jamais ma relation avec ma fille. C'était inexcusable et irresponsable, mais je ne pouvais pas revenir en arrière et changer ce qui s'était passé. Il n'y avait rien que je puisse faire à ce sujet maintenant. S'en inquiéter maintenant n'allait pas me faire du bien. Je m'en occuperais le matin.

Lucia marmonna;

➖Je t'aime tellement, papa.

Elle se blottit contre moi et passa un bras autour de mon corps. Il y avait de fortes chances qu'elle obtienne mon sperme sur elle. Je ne pouvais rien y faire. Je n'avais pas l'énergie de remonter mon bas de pyjama.

➖MOI: Je t'aime.

J'étais à peu près sûr d'avoir dit ça à haute voix, mais j'étais peut-être déjà endormi.

Je me suis réveillé juste avant l'aube sans ouvrir les yeux. J'ai eu la nette impression qu'il y avait une main qui tenait mes couilles. Une petite main douce et chaude. Je me suis de nouveau assoupi sans rien faire.

Quand je me suis enfin réveillé le matin, je me suis retrouvé seul dans mon lit. Je voulais que tout cela soit un rêve. Un fantasme merveilleusement érotique d'un rêve. Je me suis retourné et j'ai senti l'endroit où j'avais rêvé qu'elle était allongée. Les draps étaient froids. Peut-être que ce n'était pas réel. J'ai déplacé ma main plus bas et j'ai su que ce n'était qu'un vœu pieux.

La grande tache humide que Lucia avait laissée était une preuve suffisante que j'avais vraiment fait une mauvaise, mauvaise chose.

Au moment où je me suis réveillé, Lucia était déjà partie. J'ai reçu un texto d'elle alors que je rentrais du travail, me faisant savoir qu'elle traînait chez son amie Becca et qu'elle resterait pour le dîner. Il était tard lorsqu'elle est arrivée, et tout ce que j'ai obtenu, c'est un "je suis à la maison" du couloir avant qu'elle ne se rende directement dans sa chambre. Quelque chose n'allait pas.

Je voulais vérifier avec elle et m'assurer qu'elle allait bien, mais j'ai décidé qu'il valait mieux lui laisser un peu d'espace. Si elle voulait parler, elle viendrait me voir. Le problème était que je ne savais pas si je voulais parler. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser à ce qui s'était passé la veille. Cela semblait irréel à la lumière du jour. Ma fille et moi nous étions masturbés ensemble sur le même lit. Certes, il faisait noir et aucun de nous n'a rien vu de l'autre, mais c'était arrivé.

J'avais profondément honte de m'être laissé faire. Je savais qu'il ne valait mieux pas se laisser emporter par quelque chose comme ça. Elle n'était qu'une adolescente désemparée avec un contrôle limité de ses impulsions. J'étais censé être l'adulte responsable. J'avais profité de la montée des hormones et de la libido hyperactive de ma fille. J'étais le pire type de monstre.

Le lendemain, c'était à peu près la même routine. Je ne pouvais pas la laisser continuer à être en colère contre moi à cause de ça. Je devais lui parler. J'ai tapé à la porte de sa chambre cette nuit-là.

➖MOI: Lucia?

➖LUCIA: Ouais.

➖MOI: Pouvons-nous parler?

Elle n'a pas répondu tout de suite.

➖MOI: Juste une seconde.

Il y eut de légers bruits de brassage, puis;

➖D'accord, vous pouvez entrer.

J'ai reconnu l'odeur de chatte dans l'air dès que je suis entré. Elle était assise en tailleur sur son lit dans un short et un t-shirt. Son gode violet était à portée de main sur sa table de chevet. Je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer qu'il brillait légèrement dans la lumière, comme s'il était mouillé.

Quand elle réalisa ce que je regardais, elle lâcha;

➖Oups.

Elle glissa rapidement son jouet sous son oreiller.

Les joues de Lucia étaient rouges et ses mamelons étaient des pointes raides sous sa chemise. Il n'y avait aucun doute sur ce qu'elle avait fait quand j'ai frappé à sa porte.

Aussi affectueusement que possible, je demandai;

➖Tout va bien ?

Elle mentit;

➖Ouais, bien sûr

➖MOI: Je ne t'ai pas beaucoup vu ces derniers jours.

➖LUCIA: Je sais. L'entraîneur nous fait faire des doubles entraînements, et Becca et moi avons un projet scientifique que nous faisons ensemble.

➖MOI: Est-ce vraiment tout ce que c'est?

➖LUCIA: Oui.

Elle avait l'air de pleurer si on la poussait;

➖Non.

Je m'assis au bout de son lit;

➖Es-tu contrarié par l'autre nuit ?

➖LUCIA: En quelque sorte, je suppose.

Elle baissa les yeux, incapable de croiser mon regard.

➖MOI: J'avais peur de ça.

La voir ainsi me brisait le cœur.

➖MOI: Tout d'abord, je suis désolé. Je n'aurais jamais dû...

Elle m'interrompit;

➖Attends, non. Tu ne devrais pas être désolé, papa. Je suis celle qui l'a fait. Tout était de ma faute. Je devrais vous dire pardon.

➖MOI: Non, chérie, tu l'as à l'envers. Je suis l'adulte ici, et...

➖LUCIA: Et c'est moi qui ai agi comme une salope stupide.

Elle semblait déterminée à ne pas me laisser finir une phrase.

➖LUCIA: J'avais toutes ces pensées folles dans ma tête, et je savais que tu n'avais pas eu de relations sexuelles depuis très longtemps, et j'ai profité de toi à cause de cela.

➖MOI: Tu as profité de moi ?

Je n'ai pas vu ça venir.

➖LUCIA: J'étais excitée et je ne sais pas à quoi je pensais. Je t'ai presque forcé à faire ce que je voulais, et tu dois penser que je suis une perverse dégoûtante pour avoir voulu ça en premier lieu.

Ses larmes commençaient à couler sur ses joues.

➖LUCIA: C'était mal ce que j'ai fait, et je ne serais pas surpris si tu ne me le pardonnais jamais.

➖MOI: Oh, ma chérie.

J'ai tendu la main vers elle et elle s'est penchée dans mon étreinte.

➖MOI: Je n'ai rien à te pardonner. C'est bon.

Sa tête était enfouie contre ma poitrine et je pouvais la sentir lutter pour ne pas commencer à sangloter. Je la serrai fort.

➖MOI: Nous avons fait quelque chose que nous n'aurions pas dû faire, mais je l'ai laissé faire. Je suis censé être l'adulte ici, donc si c'est la faute de quelqu'un, c'est la mienne.

➖LUCIA: Je ne veux pas que tu me détestes pour être comme ça.

➖MOI: Bien sûr que je ne te déteste pas. Je t'aime.

Je lui ai donné une pression rassurante.

➖MOI: Je t'aime de plus en plus chaque jour. Juste au moment où je pense que je ne peux plus t'aimer, bam ! Je le fais.

➖LUCIA: Arrête ça. Tu essaies juste de me faire me sentir mieux.

➖MOI: C'est mon travail.

Je lui ai frotté le bras;

➖Est-ce que ça va ?

➖LUCIA: Sorte de...

Elle me regarda avec des yeux larmoyants et un nez rougi.

➖LUCIA: Peut-être devriez-vous m'envoyer voir une sorte de psychiatre du sexe.

➖MOI: Ne sois pas si dur avec toi-même. C'est normal d'avoir parfois ce genre de sentiments.

➖LUCIA: Non, tu ne comprends pas, papa.

Elle s'essuya les joues et s'assit un peu;

➖Les choses dans ma tête ne peuvent pas être normales. J'y pense tout le temps.

Lucia a pris ma main et l'a serrée dans les siennes;

➖La vérité est que je ne suis pas vraiment contrarié par l'autre soir. C'était la meilleure chose qui soit jamais arrivée. Et c'est ce qui me dérange.

Je voulais lui dire que c'était la meilleure nuit pour moi aussi, mais je savais que cela ne ferait que l'encourager.

Elle poursuivit;

➖Je ne peux pas m'empêcher d'y penser. Quand tu as frappé à ma porte tout à l'heure, je me masturbais avec mon gode et prétendais que tu étais à côté de moi en train de te branler comme nous l'avons fait l'autre soir.

A SUIVRE ....

*** *** ***

*** *** ***

_PAGE: ÉROTIQUE+ TV

_TITRE: LE GODE DE MA FILLE

_AUTEUR: LOLO