★ Chapitre : 06 ★
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★ Deux jours plus tard ★
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*********Catherine********
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Moi : Le bonheur d'une famille , c'est d'être toujours présent et de s'aider au quotidien. J'ai perdu mon père. Oh ! Oh ! Oh ! Ma vie !
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Diane : Ça va allez votre papa veillera sur vous.
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La seule et unique chose qui se répétait dans ma tête c'est le suicide. Oui rien que le suicide. Mais si je me suicide qui vengera la mort de mon père ? Personne. Je me suis levée du divan et je suis allée m'allonger dans le jardin.
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Moi : Si je savais , j'allais faire au moins une vidéo de 10 minutes avec mon père mais hélas. Mais père je te vengerai. Je te vengerai quoi quand soit le prix à payer pour te venger je le ferai.
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J'étais perdue dans mes pensées lorsque tout à coup mon téléphone portable s'est mis à sonner. J'ai jeté un coup. Oh c'était le commissaire.
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★ Début de la conversation téléphonique ★
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Moi : Allô monsieur le commissaire !
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Le commissaire : Oui Catherine comment vas-tu ?
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Moi : Comme vous le constatez je vais bien simplement que je suis toujours frappée par la mort tragédique de mon père. Et les enquêtes ?
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Le commissaire : C'est à cause de ça que je t'appelle hein. Les enquêtes n'ont rien donnés. Nous avons tout fait pour trouver les traces de ces assassins mais rien. Dis-moi ton père avait un enemi ?
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Moi : Non monsieur vous même vous le connaissez , mon père est sans façon.
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Le commissaire : Bon on peut l'enterer maintenant.
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Moi : Et les élections législatives le gouvernement pense quoi ? Vu que mon père a été assassiné
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Le commissaire : C'est la raison pour laquelle l'état a décidé de mener une enquête mais vu que les enquêtes n'ont rien donnés les votes sont maintenus c'est pour demain.
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Moi : D'accord compris. Nous allons enterrer mon père après les votes.
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Le commissaire : D'accord et maman ?
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Moi : Maman va bien simplement que c'est dernier temps elle est toujours en deuil.
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Le commissaire : Ça va allez. La tâche te revient maintenant. Tu es en même temps le mari de maman et le papa de la maison c'est à toi de soutenir maman pour qu'elle trouve la force et s'il te plaît ne la décourage jamais
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Moi : Non jamais.
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Le commissaire : Bien je te laisse.
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Moi : D'accord merci beaucoup mon commissaire
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Le commissaire : Je t'en prie et n'hésitez pas à m'appeler si vous avez un problème.
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Moi : D'accord
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★ Fin de la conversation téléphonique★
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C'est exactement la triste réalité qui s'observe au sein de la société. Même si tu luttes pour quelque chose , après ta mort ils vont même pas pensés à toi. Oh quel dommage pour nous au Bénin. Les votes sont pour demain et l'enterrement de mon père après les votes.
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Moi : Oh père !
Oh père !
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**********Jacques********
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Moi : Mon âme est rempli de joie , mon corps est heureux. Fière d'être ce que je suis. Il est dit dans la Bible sainte que > c'est exactement ce que j'aie fait à mon opposent. Hahaha.
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J'ai passé toute la journée à fêter dans ma chambre et à jaccasser comme de droit. Après avoir finir de fêter , j'ai pris un bon bain et je suis sorti pour aller voir ce qui se passe exactement dans la ville.
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Moi : Bon il faut que je passe d'abord voir ces gars là.
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J'ai pris ma voiture et je suis allé directement voir mes bosses qui m'ont aidés à assassiner ce putain d'opposant.
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Moi : Bonjour les gars.
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Firmin : Oui Boss
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Moi : Vous aviez fait un boulot remarquable.
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Carlos : Tout cela est dans le contrat signé mon futur président.
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Moi : Super. Bon je ne vais pas trop durer les gars. Tenez !
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Je les ai remis une grande somme d'argent.
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Moi : Il y a une somme de 1 millions dans cet enveloppe.
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Romaric : Waooh !
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Moi : C'est rien. Bon que l'affaire reste entre nous.
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Carlos : Ne vous inquiètez pas monsieur , un affaire reste toujours un affaire donc vous pouvez compter sur nous.
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Moi : Ok bien , les votes sont pour demain.
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Firmin : Oui il y a pas d'inquiétude monsieur on ira tous votés pour vous.
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Moi : Ok super !
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Je les ai reserré la main et je suis rentré à la maison. Arrivé à la maison , Sonia m'a femme est venue m'accueillir.
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Sonia : Bonne arrivée chéri
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Moi : Merci chérie comment a été aujourd'hui ?
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Sonia : Je rends grâce à Dieu chéri. Dis-moi c'est vrai que monsieur Mariano n'est plus parmi nous ?
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Moi : Moi même je n'arrive pas à comprendre chérie. La police mène ses enquêtes pour arrêter les meurtriers.
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Sonia : Il a été assassiné ?
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Moi : Oui chérie
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Sonia : Cela te dira quelque chose si..
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Je l'ai coupé.
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Moi : Rendre visite à sa femme ?
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Sonia : Voilà.
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Moi : Impossible Sonia. Demain c'est les votes ne n'oublie pas si jamais je vais là-bas , ils vont me prendre pour un espion surtout que je suis son opposant
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Sonia : Ah ! Mais chéri.
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Je lui ai regardé avec un air étrange et sans rien dire je suis rentré dans la maison avec une vitesse incroyable. Elle a essayée de me retenir mais je lui ai pas regardé. Comment ma femme peut elle s'opposer à ma décision ? Arrivé dans ma chambre , je me suis jeté sur le lit tout en analysant ce que ma femme m'a dit tout à l'heure.
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J'étais sur le lit entrain de calculer ce qu'elle m'a dit quand tout à coup j'ai senti la présence de ma femme à mes côtés
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Moi : Depuis quand tu es là ?
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Sonia : Je viens tout juste de rentrer. Chéri je suis désolé , pardonne-moi pour tout à l'heure en analysant ce que tu as dit , j'ai pensé à la même chose que toi. Pardonne-moi chéri.
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Moi : Chérie ce n'est rien. Merci de m'avoir compris aussitôt. Je te pardonne
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Sonia : Merci chéri.
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Moi : Je t'en prie.
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On s'est mis à se taquiner jusqu'à ce que le sommeil nous a emportés.
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À suivre
✍️✍️✍️ LE DILEMME ✍️✍️✍️
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