Chapitre 4
Elena Grant
Quelques jours plus tard...
Je sors d'une épicerie toute désespérée,déjà quelques jours que je suis en Italie et pour dire vrai la vie n'est pas du tout facile ici surtout que je ne suis pas d'origine italienne,a mon arrivée ici je me suis prise une petite entrée couché pas trop cher.
Et depuis je suis à la recherche d'un travail mais toujours rien,je peux tout faire que ça soit vendre dans une épicerie ou faire le ménage ou être une servante de maison,je suis disposée à faire n'importe quoi ,du moment que le travail est décent et me permets de mettre de l'argent de côté ,je suis partante.
Habillée d'une jupe ovale accompagnée d'un haut je marche depuis un moment dans la ville huppée de l'Italie, chaque jour je me lève à la recherche d'un emploi mais toujours rien,ce n'est pas grave je vais continuer par cherché encore et encore...
Je pose mes fesses sur un banc dans un endroit qui ressemblait à un lieu public mais un calme apaisant y régnait ,je souffle de soulagement quand le vent frais frappa mon visage,je suis tellement fatiguée que je baille , j'étais entrain de m'assoupie quand je je sens que l'on veux m'arracher mon sac,j'ouvres les yeux brutalement et je vois deux hommes devant moi qui me regardait avec un regard de suspicion.
- Ma beauté comment vas tu ?dit un d'entre eux.
Je serre le sac dans mes mains la peur au ventre mais que me veulent t'il enfin?
- Allez donne nous le sac s'exclama le second.
Après cette phrase ils se mirent à m'aggresser et a vouloir me prendre mon sac de force,je me défends comme je le peu car si jamais ils me prennent le sac ma vie sera fichue car toutes mes économies s'y trouvaient.
- À l'aide ,aidez moi svp je m'écrit.
Malgré mes cris ils continuaient toujours leur besogne ,je commençait à rendre l'arme quand une grosse voiture se garait pour mon plus grand bonheur, quand ses malfrats virent la voiture ils s'enfuyaient sans demander leur reste ,étant donné que j'étais tombée au sol lors de la lutte , j'avais du mal à me relevé ,de la voiture sortit un homme de la cinquantaine très élégant ,quand mon regard se posait sur lui il m'impressionait automatiquement.
Il me gratifiait d'un sourire bienveillant avant de se diriger vers moi,une fois à mon niveau il lança.
- Jeune fille est ce que çva?me demande t'il en m'aidant à me lever .
Je bénis le ciel de l'avoir envoyé car si il n'était pas venu je serais déjà dépouillé,Dieu seul sait ce qu'ils m'auraient fait.
- Merci beaucoup monsieur , avec votre arrivée vous m'aviez sauvé la vie ,je lui répondis.
Il hochait la tête m'incita à m'asseoir sur le banc,je ne sais pas pourquoi mais j'eu immédiatement confiance en lui ,sans même le connaître je devinait aisément qu'il était une personne passive et très compréhensible.
- C'est rien ma fille ,je m'en veux de ne pas les avoir botter le cul dit t'il sur un ton doux .
Je lui souris avant de dire .
- Moi c'est Elena Grant .
- Enchanté demoiselle Grant repondit t'il en me tendant la main.
Je lui serre la main qu'il m'a tendu avec joie,plus je l'observe plus je remarque et je me dis qu'il devrait être un homme très important de part son costume et sa voiture.
- Alors que fait une américaine si jolie dans notre.pays s'enquit t'il.
Je me tut instantanément ,je n'ai pas l'habitude de parler de mes problèmes a un inconnu mais bizarrement j'avais envie de me confier à cet homme devant moi.
- Tu peux tout me dire tu sais ?certes nous venons tout juste de nous rencontrer mais je pourrais t'aider on ne sait jamais rétorquait t'il.
Sans hésiter je me mis à tout lui raconter de A à Z .
Quelques minutes après je mets fin à mon récit les larmes aux yeux ma vie est vraiment pathétique .
- Ne pleure pas ma fille,je vais t'aider dit t'il en essuyant mes larmes.
J'ouvre grand les yeux le sourire aux lèvres ,je n'arrive pas à y croire ce que je viens d'entendre ,oh que Dieu est merveilleux.
- Oh vous êtes sérieux monsieur ?je lui demande.
Il souriait tout en remuant la tête.
- Ne m'appelle plus monsieur mon nom c'est Alex Costa ,et nous pouvions nous tutoyer si cela ne vous dérange pas tonna t'il.
- Oui Alex ça ne me dérange pas, vraiment merci beaucoup, quelque soit le travail je le ferai,je suis très travailleuse, respectueuse, discrète et très sociable,je rétorque.
- Comme tu est drôle ma petite allé viens,suit moi chez moi j'ai un travail pour toi dit t'il.
Avec un petit sourire aux lèvres je me lève et le suit jusqu'à sa voiture ,son chauffeur m'ouvres la voiture et je m'engouffre dedans sans hésiter.
Une fois à l'intérieur j'admire l'opulence et la beauté de la voiture .
- Ne t'inquiètes pas tout ira bien,tu est tombé sur la bonne personne et à partir d'aujourd'hui considère moi comme le père que tu n'a jamais eu dit t'il sur un ton bienveillant .
J'hoche la tête pour dire oui comme il viens de le dire je le considère dejà comme mon père, j'espère du fond du cœur que je serai la bienvenue dans sa maison.
Darius Costa
- Donc comme ça tu voyages pour l'Italie demain.
Installé devant mon oncle je tourne le stylo qui est dans mes mais tout en l'observant ,ce matin il a désiré me voir pour me parler de quelques chose disait t'il.
Pour être franc je ne suis pas du tout à l'aise avec lui ici il a toujours ce petit quelque chose qui me dérange chez lui mais depuis je n'arrive pas à mettre le nom sur ça.
- Oui c'est bien ça mon oncle ,alors dis moi pourquoi je suis là.Je lui demande.
Il avale sa boisson d'un trait avant de s'asseoir devant moi ,il me fixe un moment avant de retorquer.
- Je voudrais te parler d'affaires.
Je le regarde avec incrédulité sans rien , comprendre,depuis quand as t'il nourrir l'envie de faire des affaires avec moi?non c'est vraiment chelou.
- Affaires ?mon oncle depuis quand tu aimes faire des affaires avec moi?
Il se mit à rire avant de se lever le visage neutre.
- Mon neveu ,mon neveu ,je t'observes tu sais ?je sais que je ne t'ai jamais parlé d'affaires ,pas parce que je te sousestimait non loin de là, seulement je voulais voir jusqu'à où tu iras seul sans mon aide ni celui de ton père ni de ta mère et je t'avoue que tu est à felicité puisque tu me dépases maintenant dans les affaires s'enquit t'il.
Je me contente juste de lui sourit ,je n'ai pas du tout confiance en lui et je n'ai aucune envie de faire affaire avec lui non plus.
- Alors de quelle affaire parles t'on?
Il se racle la gorge avant de se lancer.
- J'aimerais que tu me vendes ton entreprise de fabrication de jus locales.
Après cette phrase j'ouvres grand les yeux ,non mais il est sérieux ?cette entreprise est mon bijou, c'est ma route première quand je me suis lancé dans les affaires.
Je me rappelle bien de cette époque où j'ai mis en place cette entreprise, c'était à partir de rien, j'ai tellement galeré avant de réussir, malgré que mes parents soient riche je ne voulais l'aide de personnes.
Et maintenant il se permet de me demander de lui vendre ça ?me suis je demandé choqué.
- Tu dis quoi?te vendre cette entreprise ?ce n'est pas possible mon oncle et tu le sais.
- Je sais que tu tiens beaucoup à cette entreprise mais je suis sur le point d'ouvrir une entreprise de fabrication de boissons non alcoolisés ,du coup je voudrais bien combiné les deux ensemble,et puis ton entreprise fait partie des meilleures entreprises dans le domaine des jus.
Non mais regardé ce qu'il me racontes non mais il se croit plus malin que qui?donc il veux m'acheter mon entreprise de plusieurs années d'acharnement pour avoir plus de succès,ah quel oncle incroyable,on aura tout vu chez lui.
- Mon oncle avec tout le respect que je te dois ,je suis navré de te dire que ça ne sera pas possible ,pour rien au monde je ne vais vendre cette entreprise, elle est ma première fierté.
Il me lance un regard froid avant de retorquer.
- Tu auras une belle récompense répliquais t'il.
Prise de colère je me lève pour lui faire face il faudrait que je lui parle une fois de bon.
- Aucune récompense ne peut remplacer mon entreprise et tu en est conscient.
On se jaugent du regard quelques minutes avant qu'il ne se décide à se rasseoir dans son fauteuil.
- D'accord mon grand,pas de problème,je te comprends parfaitement je suis dans les affaires aussi si j'étais à ta place je réagirais de la même manière ,alors j'ai une autre proposition à te faire dit t'il.
J'étais à deux doigts de lui dire non mais je me retiens pour entendre sa deuxième proposition.
- Vas y je t'écoute.
- J'aimerais qu'on soit des associés lança t'il.
Pour dire vrai si c'était une autre personne que désirait être mon associé je dirai oui mais venant de lui c'est non.
Je le regarde droit dans les yeux et déclare.
- Je suis encore une fois désolé mon oncle mais je ne veux pas d'associé.