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05

Dès qu'il ma vue me trainait par terre, il c'est lever c'est dirigé vers mon placard, il cherchait quelque chose, et moi j'essayais de sortir, quand il c'est retourné vers moi, il avait une ceinture dans la main, et là je peux vous dire que j'ai vraiment cru apercevoir la mort.

Il me fouettait de partout, sur tout le corps et le visage, il se defoulait comme si j'étais un bonhomme et que je lui avais fait le pire coup qu'on puisse faire.

J'arrivais plus a supporter tout sa, mes yeux tout seuls se sont fermé, et j'ai prié Rabbi (Dieu), que jamais plus je ne pourrais me reveiller .

Quand j'ai ouvert mes yeux, j'étais allongé sur mon lit . J'arrivais pas à bouger, c'étais trop dur, et sa me demander un trop grand effort, j'ai tourné seulement ma tete ddes cotés et j'ai pu voir un jeune homme assis sur un chaise à coté de mon lit, je ne l'ai pas reconnu tout de suite, par contre quand il ma vue lui :

?: Enfin tu te reveille. Sava ?

Moi : Hamdoullah, mais t'es qui ?

?: C'est Sofien, tu te rappelles pas de moi ou quoi ?

Et là je me suis souvenu, la nuit de mes noces, ou Aymen m'a etranglé, C'est Sofien qui est venu pour me sauver .(Partie 4)

Moi : Si c'est bon je me souviens

Sofien : Tu te souviens aussi pourquoi tu es là, dans ce lit ?

Moi : Oui, c'est Aymen c'est sa ?

Sofien : Ouais, sa fait 3 jours que tu dors wesh !

Moi : Hum, je suis fatigué !

Sofien : Sa ta pas suffit 3 jours ou quoi ??

Moi : j'ai simplement souris.

Sofien : Allez viens, je vais t'aider à allez jusqu'à la douche .

Doucement Sofien ma aidé à me lever et ma accompagné à la douche, je ne savais pas ou était Aymen, et je ne voulais pas savoir.

Sofien : Tu veux je t'aide à te doucher ou bien ?

Moi : Abuse pas Sofien !

Sofien : Mdrrr, je sais pas desfois que ta pas la force !

Moi : SiSi t'inquiete !

Sofien : Bah vasy alors, moi je t'attends .

J'ai pas repondu, Sofien est sorti de la douche, et quant à moi je me suis laver, tout mon corps me brulait, sa devait etre les brulures que m'a fait Aymen quand il ma tappait avec la ceinture .

Une fois habiller, je suis parti dans ma chambre, je marchais tel une handicapé, je m'étais 3min, pour faire seulement un pas, mais j'avais tellement mal . J'arrive enfin dans ma chambre, ou Sofien m'attendait :

Sofien : (me tendant un sachet) : Tiens c'est tes médicaments, ya marqué lesquelles tu doit prendre et à quel moment.

Moi : merci .

Sofien : Tkt .

Un silence c'est installé, je n'osais pas parlait , quand d'un coup :

Sofien : Il t'a bien amoché quand meme !

Moi : Hum .

Sofien : Putin, wallah que sa me fait de la peine qu'il s'acharne sur toi, mais c'est l'autre conne qui lui retourne le cerveau !

Moi : Qui ?

Sofien : C'est Bouchra, meme si moi j'aurais pas cautionné que ma femme ne soit pas vierge jamais j'aurais pu infligé sa à une femme, et encore moins MA femme .

Moi : Sofien je suis vierge, Bouchra elle a mentit.

Sofien : Non Non ecoute, je m'en fous je veux pas savoir tout sa moi. Juste tiens mon numero (me tendant un bout de papier), si ta besoin de quelque chose tu m'appelles c'est bon ?

Moi : (véxé) : Oui .

Puis Sofien est partit, la maison était vide, j'étais vexé que personne ne me croit quand je leur disait etre vierge, je l'était pourtant .

Je suis descendu doucement au salon, je ne voulais pas rester dans ma chambre, le sol avait des taches de sang, et j'avais pas encore assez de force mentalement pour nettoyer.

J'étais rester devant la télé, jusqu'à 3h du matin, quand la porte d'entrée à claqué, et Aymen est apparut sur le pas de la porte du salon.

Il a bloqué quand il ma vu, puis ma dit :

Aymen : Tu fais quoi la ?

Moi : euh, je, je regarde la télé .

Aymen : Il est ou Sofien ?

Moi : Il est rentré .

Aymen : Ta pas interet de faire ta pute avec lui, parce que c'est bizarre qu'il te defende tout le temps .

Moi :…

Aymen : Je t'ai prevenu !

Il c'est dirigé vers la cuisine, j'ai entendu le micro-onde tournait, j'avais très faim mais une flemme monumentale m'empechait de bouger, mes yeux se sont fermé et je me suis endormi au salon.

Le lendemain, et les jours suivants Aymen ne me calculait pas, mais vraiment pas, il passait ses journées dehors et fermait la porte d'entrée…

Comme j'ai dit dans la partie précédente on va avancez le temps puisqu' il ne c'est rien passait, on passait notre temps à s'éviter avec Aymen, et les marques partaient peu à peut .

Je vais avancer dans le temps, on étais en Avril, 3mois était passé, 3 long mois ou ma vie se résumé a rester enfermé dans la maison, ma famille ne me rendait pas visites , la famille d'Aymen ne venait jamais à la maison c'étais toujours lui qui y allait et tout seul parce que sa mère ne voulait pas m'avoir chez elle.

Jusqu'à ce jour, ou mon téléphone a sonnait :

PARTIE 10 :

Mon dos collé son torse, il a pris le couteau de mes mains et me la passait sous le coup, à ce moment j'ai cru mourir .

J'ai commencer à pleurer doucement, les larmes coulaient, et le mec me menacait toujours avec ce couteau sous ma gorge.

Aymen : (faiblement) : Touche là, et je te retrouverais !

Le mec qui me tennait : C'est des menaces ? Fais pas le chaud, on ta dit qu'on viendrait jusqu'ici si on aurait pas eu ce qu'on voulait, ta pris sa à la lègere tu va le payer mais tu sera pas seul. T'inquiète elle va y passer aussi .

Quand il a dit sa, j'ai trembait, mais le vrai tremblement, doucement je disais :

Moi : Non, s'il vous plait, s'il vous plait.

Le mec qui me tenait : Pleure pas poupée, sa servira à rien, ta qu'a remercié la merde qui te sert de mari.

Le second mec qui était avec lui nous regardait, mais je voyais qu'il semblait pas etre daccord avec la pratique qu'utiliser le mec au couteau (Le mec au couteau on va l'appelé le mec 1 et le second mec, le mec 2).

Le mec 2 : C'est bon Frère, elle a rien à voir dans tout sa. Enferme la dans une pièce et on s'occupe d'Aymen.

Le mec 1 : Non j'ai bien envie de m'amuser aujourd'hui ! Occupe toi de lui (en desigant Aymen), Moi je vais faire montrer a madame ** (nom de famille d'Aymen), ce qu'est un vrai homme.

Il ma tirer par mes cheveux, et ma fait monter les escaliers, on aurait dit qu'il connaissait la maison. En bas on entendait Aymen criait en demandant de me lacher, mais rien à faire.

On est arriver dans ma chambre (la seul amménagé), il ma jeter sur mon lit, à posé le couteau sur ma commode et c'est mit sur moi…

C'étais horrible, il a commencait par m'embrassé le coup, il me carressait le ventre sous mon pull, je criais, je criais tellement fort que j'avais peur que je finisse la gorge en sang à force de crier.

Mec 1 : Tu peux crier autant que tu veux… (il m'embrasse le coup), y' a personne qui t'aidera .

Je le tapais avec mes poings, j'essayeais de bouger mes jambes mais il a mis tout son poids sur moi, c'étais trop dur, j'y arrivais plus. Je perdais petit à petit de la force et je diminuais la force de mes mouvements, il en a profité pour m'embrasseé sur la bouche, mon premier baiser avec l'ennemi de mon mari…

Je me sentais tellement sale, quand il ma embrassé, j'ai eu la force de le pousser, il était trop à fond dans son délire que j'ai pas eu de mal à le pousser puique je n'avais plus tout son poids sur moi .

Apres l'avoir poussé je suis parti en courant en direction de la porte, quand d'un coup il ma retourné et j'ai senti une affreuse douleur dans mon bas ventre, c'étais horrible il me regardait dans les yeux, et j'ai vu de la haine, l'envie de me faire vivre la misère.

Il ma la rentré dans le ventre sur le coté, et non droit ce qui fait que ma blessure était assez longue .

J'ai hurlé de douleur, c'étais physique mais mental aussi.

Je suis tombé à terre, j'arrivais plus a soutenir mes jambes, quand l'homme 2 est rentré dans la chambre.

Mec2 : Oh frère, Aymen je m'en suis chargé, c'est bon ta fini avec elle ?

Quand il ma vu par terre, avec su sang sur mon ventre, et l'homme 1 avec le couteau rempli de sang, il a fait les gros yeux :

Mec 2 : OH PUTAIN GROS QU'EST TA FOUTU ?? ON AVAIT DIT UNE LECON PAS UN MEURTRE !

Mec 1 : TA GUEULE JE L'AI PAS TUEE CETTE P*TE !

Mec 2 : Allez on bouge, on bouge.

Mec 1 : (en s'approchant de moi) : Ta de la chance pour aujourd'hui, mais la prochaine fois je serai moins pressé, et je peux te dire que tu va y passé.

J'ai fermé mes yeux, j'étais trop fatigué, j'en pouvais plus.

Mes larmes elles coulaient impossible de les retenir, j'y arrivais plus .

J'ai entendu le bruit d'un moteur, je me suis dit qu'ils étaient peut etre parti , j'ai tenté de me relever mais c'étais trop dur, mon bas ventre me tirait trop, j'étais en sang, et sa se voyait très bien.

Je me suis doucement accroché au mur, et j'ai reussi apres plusieurs minutes de me tenir debout à l'aide du mur, doucement j'ai descendu les escaliers, j'avais plus de voix à force d'avoir crié, je pouvais pas appelé aAymen, j'arrivais seulement à murmurer.

Au bout d'un long moment je suis arrivé à l'entrée, et je l'ai vu là …, apres toutes les misère qu'il ma faites, malgré tout sa je l'aimais ouais je le savais, quand on vit avec une personne, on commence à s'attaché meme si on voudra le hair, malgré nous et malgré tout on l'aime c'est comme sa, sa reste le mektoub ( le destin).

Il étais au sol, en sang, il ne bougeait plus, je me suis assise par terre, et je pleurais j'ai pris sa tete, et l'ai mise sur mes genoux, en lui caressant le visage je pleurais :

Moi : (en murmurant) : Aymen s'il te plait, lève toi, Aymen tu m'entends Aymen ?

Il ne me repondais pas, ne bougeais pas.

J'ai cherché mon téléphone, puis j'ai appelé la seule personne capable de m'aider : Sofien .

Sofien : Ouais Aloo ?

Moi : (en pleurant) : Allo Sofien ?

Sofien : ISLEYM QU'EST-CE QUE TA ??? C'EST AYMEN IL TA FRAPPER ?

Moi : Sofien, vient, vient vite s'il te plait, j'en peux plus !

Sofien : J'ARRIVE, CALME TOI J'ARRIVE !

J'ai laissé tombé le téléphone, et je suis retourné pres d'Aymen, je lui caressais les cheveux, il respirait encore, je l'entendais, mais malgré sa j'avais peur .

10min apres, la porte d'entrée c'est ouverte d'un coup :

Sofien : OH ISLEYM T'ES OU ???

Sofien : (en nous voyant) : AU P*TAIN ISLEYM IL C'EST PASSE QUOI ??? POURQUOI IL EST INCONSCIENT ?? POURQUOI TU SAIGNES ?? IL SE PASSE QUOI P*TAIN ??

Moi : (en murmurant) : Sofien, ramène le à l'hopital c'est tout, je t'explique tout apres.

Sofien sans me repondre à pris le corps d'Aymen et la posé sur la banquette arrière de sa voiture, moi je suis monté coté passagé, et Sofien à demarré comme un fou .

Sofien : IL C'EST PASSER QUOI ISLEYM EXPLIQUE TOI BORDEL !!

Moi : Ils sont venus…, ils l'ont tapé… et… et apres je suis venu, il ma emmené dans une chambre…, et , il…, il me touchais de partout… et apres il ma planté un couteau, mais… mais Aymen je sais pas, je sais pas !

Sofien : C'est bon, calme toi il va s'en sortir .

Moi : Imagine il meurt, je peux pas moi, il me reste que lui, j'ai que lui plus personne d'autre. Yah Allah pas Aymen, qui tu veux, mais pas Aymen

Sofien ne parlait pas, il serrait fort le volant, en 5min, on est enfin arrivé à l'hopital, il a sorti le corps de Sofien de la voiture et la ramené au urgence il le portait, et c'est là que j'ai vu pour de vrai, que Sofien et Aymen c'étais plus que des frères.

Les infirmiers ont pris le corps d'Aymen, et l'ont emmené dans une chambre, c'est seulement lorsqu'un medecin nous a annoncé qu'ils avaient pris en charge Aymen, que la douleur de mon ventre m'est revenu et je me suis ecroulé au sol .

Quand je me suis levé, ma chambre était vide, vous me direz, qui pourrait venir me voir ? Personne.

Une infirmière est rentré et m'a dit :

L'infirmière : Bon alors madame vous vous sentez mieux ?

Moi : Oui, merci. Il c'est passé quoi ?

L'infirmière : Vous avez été prise en charge pour la blessure à votre bas-ventre, on vous a recousu, vous n'aurez pas de sequelle, seulement une cicatrice, mais il faudra changer le pansement tous les deux jours.

Moi : Et l'homme qui a été pris en charge tout à l'heure comment va-t-il ?

L'infirmière : Votre beau-frere m'en a parlé, votre mari va beaucoup mieux, il se repose pour l'instant. Son frère et avec lui .

Moi : Je peux partir quand ?

L'infirmière : Il serait plus convenable de partir demain dans l'aprem-midi, mais si vous y tenait vous pouvez partir ce soir, il suffit de signer une décharge.

Moi : Je prefere partir ce soir.

L'infirmiere : Daccord, allez au secretatiat, vous avez juste à signer la decharge et sa sera tout bon.

Moi : Mon mari est dans quel chambre s'il vous plait ?

L'infirmière : Chambre 221 Madame .

Puis elle est partit, je me suis levé, je suis allez au secretatiat, j'ai signé la décharge, et je suis allez au distributeur, j'ai pris une bouteille de Coca Cherry , et une bouteille d'Oasis tropical pour que quand Aymen se levera il la prendra, je sais qu'il kiff cette boisson, et j'ai pris du Coca cola pour Sofien.

La boule au ventre, je suis arrivé devant la chambre d'Aymen, et doucement j'ai toqué puis je suis rentré.

Sofien : Sava Isleym ?

Moi : Ouais Hamdoullah et toi ?

Sofien : Ouais . ils t'ont dit quoi pour ton ventre ?

Moi : Ils m'ont recousu, et je garderai juste une cicatrice. Comment il va ?

Sofien : (en me souriant) : T'inquiète il va bien ton mari .

Moi : (sourire gené) . Tiens, je t'ai pris une bouteille .

Sofien : A Sisi. Oh elle est pour qui la bouteille de Oasis ?

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