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Moi : …

Youssef : Ta plus rien a dire la, crasseuse !

Biip, Biip, Biip !

Youssef avait déjà racchroché, j'étais sous le choque, j'ai appeler mon directeur pour pouvoir rentrer chez moi plus tot .

Moi : Bonjour Monsieur.

Directeur : Bonjour Mademoiselle Isleym.

Moi : Euh, enfete je dois retourner d'urgence sur Marseille, j'ai un petit probleme de famille, et j'pourra pas finir ma deuxieme semaine .

Directeur : Rien de grave j'espere .

Moi : je ne sais pas encore, mais il faut que je rentre d'urgence .

Directeur : Et bien si c'est si important, mais j'aimerez vous proposer un poste qui sera libre, en juillet, si cela vous interesse .

Moi : Biensur que sa m'interesse .

Directeur : et bien nous en reparlerons alors .

Moi : Pas de soucis . Merci aurevoir .

J'étais trop contente, ce directeur est plutôt exigent, petit à petit ici j'ai appris à avoir confiance en moi, je me construisait doucement , je devenais une femme, mais apparament c'est pas mon heure pour venir m'installer ici, comme je le voulais .

En moins de trois heure, j'ai vidé mon studio, rendu les clés et pris un billet pour Marseille .

Il est 21h00, quand je sonne à ma porte, ma mere vient m'ouvrir, elle était étonné de me voir ici, ce qui est normal personne n'était au couant de mon retour .

Moi : Selem Maman .

Elle ma regarder, à laisser la porte ouvrir, et c'est retourner !

Waaaaaaaah elle y croit a ces conneries ou quoi ?

Je suis rentré, j'ai laisser ma valise a l'entrée, et je suis rentré au salon, mon père était posé sur le canapé avec ma mère a regarder la télé.

Sans me regarder mon père a dit d'une fois froide, glaciale :

Papa : Assis toi .

Je me suis assise directement .

Papa : Alors comme sa ma fille c'est une p*te ? Hein ma fille elle va avorter alors qu'elle me dit qu'elle a son stage ?

Moi : Papa Wallah …

Mon père : (en se levant) : jure pas sur Allah, laisse le tranquil ! Fatima (me mère), appel Youssef dis lui de venir maintenent.

Ma mere c'est lever à appelé mon frere, 5min apres mon frere est rentré .

Papa : (a Youssef) : Elle est rentré, alors ecoutez moi bien personne lui parle, personne ne la touche, je veux pas que ceux de ma famille ce salissent les mains avec une fille comme toi .

Demain, tu te leve et fais le menage, le soir, un homme viendra demander ta main, tu as de la chance qu'un homme t'accepte il sais ce que tu as fait, et devant Allah tu paieras !

Degage maintenent !

Apres sa , je suis parti dans ma chambre, je pleurais toute les larmes de mon corps, non non moi me marié, je suis encore un bébé, j'ai sulement 18 ans, je peux pas .

Je comprenais pas Bouchra comment elle a pu me faire sa ? Elle était censé etre ma meilleure amie, j'étais degouter. Et cette homme sa doit surement etre un vieux , mon père va me donner a un vieux, tout moche tout gros.

C'est avec de mauvaise pensée que je me suis endormi, le lendemain ma mere ma reveiller a 8h, elle ma seulement fais bouger pour me lever et ne m'a pas adresser une parole j'étais degouter.

J'ai rangé la maison de fond en comble, tout était propre, quand je suis retourné dans ma chambre, il y'avais une longue robe arabe magnifique de couleur rose, j'ai compris que j'allais mettre celle la le soir.

Je me suis preparer calmement dans ma chambre, quand ma mere est rentrée dans ma chambre :

Ma mere : ton mari viendra ce soir, quand je viendrais te chercher tu dira oui, et tu fera ton plus beau sourire !

Puis elle est reparti .

20h sa sonne à la porte, mon cœur bat la chamade, mes mains sont moites j'ai si peur .

Ma mere est venu me chercher peu apres l'arrivée des invités, quand je traverser le couloir elle ma dit a l'oreille : « Souris, sinon ton père te tue »

Je suis arrivé au salon, et là j'ai vu une jeune fille de 21 ans (Sonia, la sœur du marié), une grande mere (la grand mere du marié), deux faux jumeaux ils devaient avoir mon age 18 ans (les freres du marié), un homme la soixantaine (le père du marié), et enfin une femme avec un regard tellement noir que quelqu'un aurait pu mourir sous ses yeux ( la mere du marié) et enfin celui que tout le monde attent le marié !

Partie 3 :

Sa sœur à les cheveux noir, assez long, des yeux marrons, une peau un peu bronzé mais pas beaucoup assez grande de taille et mince et des cheveux noir

Ses freres , les faux jumeaux . Houssin avais les yeux noisette, pas tres blanc de peau mais ni bronzé grand de taille & Houssem un peu plus petit en taille que son frere mais il restais grand aussi assez stock des yeux marrons et des cheveux noirs

Quant à mon mari est bien, il s'appel Aymen on va pas se mentir il degage vraiment quelque chose, il a les yeux noirs, les cheveux noirs, une petite barbe qui le rend virile il est grand de taille et stock, et assez bien bronzé .

LES PHOTOS DES PERSONNAGES SONT DANS L'ALBUM SPECIAL PERSONNAGE.

Il y'avais tout ce petit monde, je me suis approché d'eux, j'ai fais la bise à sa sœur, serrer la main à « mon mari », embrasser le front de ses parents et de sa grand mere et serrer la mains a ses freres.

Puis je me suis placé pres de mon père, ils parlaient tous entre eux, mais j'ai surtout remarquer Aymen et sa sœur Sonia, entrain de me regarder de travers.

Puis le père d'Aymen a dit a son fils : « Allez Aymen, prends ta femme et allez discuter un peu dans la cuisine »

J'ai regarder ma mère qui ma fait un signe pour me lever, je me suis donc executé, et j'ai marché devant lui, il était derriere moi et me suivait, arriver à la cuisine il a fermé la porte c'est dirigé vers moi et ma attrappé par la machoire .

Aymen : Je suis qui pour marcher derriere toi, comme une chien hein ?

Moi : Lache moi .

Aymen : Tu fais la belle ici, ta raison profite mais quand on sera que tous les deux sa sera plus la meme .

Il ma lacher en poussant fort ma tete contre le mur, j'ai eu mal au crane d'un coup et bah sa promettait .

Il n'a plus parler, et à pris son téléphone et parlais a quelqu'un en me regardant dans droit dans les yeux :

Aymen : Ouii bb ?

?: …………..

Aymen : Ouais j'suis chez cette crasseuse là

?: ……………………

Aymen : J'vais lui faire payer, t'inquiete pas qu'elle va galerer.

J'ai eu un frisson dans tous le corps, à qui parlais t'il ? j'avais vraiment peur .

D'un coup sa sœur Sonia a ouvert la porte :

Sonia : Aymen, les darons vous appellent.

Aymen : Ouais , j'arrive .

Sonia ma regarder une derniere fois de travers, puis est parti.

Aymen c'est approché de moi, et ma dit

Aymen : Ta interet à dire Oui, sinon je te retrouve et je te viole !

Puis il est parti devant moi, mes larmes allaient tombé alors j'ai relevé la tete, serrer les poingt et mordu ma lèvres inferieur, Puis je me suis avancer vers le salon .

Il nous regardait tous, nous nous sommes assis à notre place, et le père de Aymen à parler : « Nous sommes venus pour demander la main de votre fille, acceptez-vous » ?

Mon père a dit dit Oui, et tous le monde a fait les Youyou, mais ont senté que sa ne venait pas du cœur .

Apres ses youyou, j'ai comme deconnecter mon cerveau de la salle, et j'ai attendu que chacun finissent de parler .

Tard dans la nuit, chacun est parti. Je me suis lever et je suis allez m'allonger dans ma chambre quand mon frere est rentré et ma dit :

Youssef : Dans deux semaine c'est le Hlel (mariage religieux) !

Mon cœur a recu comme une decharge electrique, tous sa ne pouvait etre qu'un cauchemard c'est pas possible autrement .

Il m'a pas laisser le temps de repondre qu'il est déjà parti.

Partie 4 :

Je vais passer 2 semaine, parce que parlait de sa, sa servirait à rien, en deux semaine je suis rester enfermé chez moi, personne ne chercher à avoir de mes nouvelles, mes robes c'est ma mère qui s'en est occuper, elle ne voulait pas de mon aide, mon frère ne me parlais pas et mon père n'ont plus, il restait que ma petite Sarah (ma sœur).

La veille de mon Hlel, je faisais ma valise, elle est venu dans ma chambre et ma dit :

Sarah : Isleym ?

Moi : Oui ma puce ?

Sarah : Pourquoi tu fais tes valises ?

Moi : Parce que ma chérie je vais partir.

Sarah : Partir chez qui ?

Moi : Je vais partir chez mon mari ma belle

Ma gorge c'est noué quand j'ai prononcé cette phrase.

Sarah : Tu va me manquer !

Moi : Toi Aussi ma belle toi aussi

Je l'ai prise dans mes bras et l'ai serré très fort.

Le lendemain matin, il a fallu que j'aille a l'esthéticienne, j'y suis allez toute seul j'avais personne, Pas d'amis, ma famille ne venait pas, c'étais un petit hlel juste entre nous, et ma belle-famille ne semble pas me porter dans son cœur, puisque personne n'a chercher à me contacter, et encore moi Aymen « mon mari »

Le hlel c'est fais chez moi, puisque Sava c'étais assez grand pour le peu de personne qui est venu.

J'étais assise sur mon trône (si on peut appeler sa comme sa), quand on entend les Youyou qui retentissent, mon cœur j'ai eu l'impression qui c'est arrêter, ils sont arrivé avec beaucoup de monde il a ramené tous ces collègues lui au moins il a eu cette chance !

Il c'est approché de moi et ma embrasser le front, il l'a fait à contrecœur, et encore une fois il y'a surement que moi qui l'a ressentit, tous les monde dansait s'amuser tout le monde sauf moi .

Puis la musique c'est arrêter et l'Imam a récité le Coran, puis on a entendu les YouYou, c'est bon devant Allah j'étais la femme d'Aymen , O Allah protège moi Ya Allah .

La soirée a été bâcler, c'est passer super vite, comme si tout le monde voulais mettre un terme a ce mariage .

00h00, à seulement minuit, nous les marié sommes partis, il ne restait plus personne de toute manière, ma mère ma passer une valise et ma dit que demain je devais venir chercher le reste.

Aymen s'impatientait à la porte, personne ne ma accompagner jusqu'à lui , en faite tous le monde s'en foutais .

Je suis monté dans la voiture avec Aymen, personne ne parlait, je regardais la vitre et je repensais à Bouchra malgré ce qu'elle a fais elle me manquer, j'avais besoins d'avoir une explication avec elle, je préparais déjà mon discours quand j'entends :

Aymen : OH TA RACE T'ES SOURDE OU QUOI ??

Je l'ai regardé, je n'ai pas compris, jusqu'à que je vois que nous sommes arrivé, il est temps de rentrer dans notre chez nous.

J'ai porté ma valise et je me suis avancer jusqu'à chez lui, c'étais un appart rez-de-chaussée, avec jardin, on n'était pas dans un quartier.

C'étais un endroit calme, un beau jardin avec une balançoire, j'étais contente, je kiff les balançoires, mais bon comme je le rappel on était fin janvier et il ne faisait pas encore beau pour rester dans le jardin.