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CHAPITRE : 01

Aujourd'hui est un grand jour chez les Abi, père et mère couraient dans tous les sens pour mettre de l'ordres dans la maison. Alfred, l'homme de la maison, était en joie. Il n'arrêtait pas de sourire à chaque fois que sa femme lui disait quelque chose. Loin dans la pièce, Dieu-donné, l'homme du jour, dormait toujours. Soudain, il se réveilla, rentra sous la douche et prit rapidement un bon bain. Il voulait ouvrir la porte de la chambre lorsque tout à coup quelque attira son attention. C'était un bruit qui venait du salon.

___ C'est quoi ce truc ? Demanda t'il tout en sortant de sa chambre.

Malgré l'heure qui sonnait, tout le salon était dans le noir, même les yeux de Dieu-donné n'arrivait pas à bien voir. Il fit tout doucement et descendit les escaliers. Arriver en bas, il appuya sur un interrupteur et la lampe s'alluma. Soudain, un grand cri s'éclata dans le salon. Dieu-donné était sans voix, il était vraiment ému par ce magnifique fête. Philippe, le docteur de la famille ainsi que les associés de Monsieur Alfred s'approchèrent de lui. Il reçu quelques cadeaux de leurs parts, leur remercia et rejoignit son père qui était sur le point de tenir un discours.

___ Bonjour tout le monde , s'ecria Alfred, je vous remercie d'avoir accepté mon invitation pour l'anniversaire de mon fils , vraiment je n'ai jamais su que vous seriez tous présents mais vous m'aviez montré le contraire de ce que je pensais , je porte également mes remerciements au docteur Philippe et au commissaire qui est la pour assurer la sécurité de mes entourages et pour finir je remercie tous mes collaborateurs qui sont la.

Il s'arrêta, observa attentivement à nouveau les invités qui n'arrêtaient pas de l'applaudir.

___ Au nom de toute la famille Abi, recommença t'il, je souhaite un très bon anniversaire à mon fils, Dieu-donné, soit heureux et n'oublie jamais que papa t'aime.

Un lourd silence s'installa, Sonia qui était à quelques pas de son mari, s'approcha de ce dernier et prit le micro.

___ Je me rappelle de ce jour, oui le jour que mon fils est né. S'écria t'elle.

Elle s'arrêta pendant un bon moment, regarda son fils tout comme ci il était l'unique personne qui pouvait l'aider à faire recours au passé.

___ C'était un jeudi soir aux environs de 17h20 min. J'étais seule alors parce-que ce jour la , mon mari avait voyagé pour une affaire à l'étranger donc il n'était pas au pays vous saviez comment j'ai fait ?

___ Non !

___ Ce jour la , reprit-elle, j'avais aussi commandé le gardien de me payer quelques choses parce-que mon bébé voulait manger quelques choses sucré ha-ha. C'est la je voulais appeler le docteur de la famille et en voulant me lever comme ça pour aller chercher mon portable la porte de la chambre s'est ouverte c'était mon mari.

___ Waooh ????

___ Vous voyez la chance que mon fils a ? Mon mari a prit son portable et puis il a appelé le docteur Philippe qui est venu et puis j'ai accouché mon fils saint et sauf donc c'est pourquoi nous l'avions normé Dieudonné. Bon bref je vais m'arrêter la parce-que l'heure après l'heure n'est plus l'heure. Mon fils , mon adoré , mon trésor je te souhait tout les bonheurs de ce monde que tes rêves deviennent pour toi une réalité et non une histoire je vous remercie.

Elle donna le micro à son fils.

___ Je vous remercie pour vos aimables présences , je vous remercie pour vos soutiens , que Dieu vous aide dans vos gestes , qu'il vous assiste dans vos travaux , qu'il vous comble les vides qui sont dans vos vies je vous remercie.

La foule s'est mis à applaudir. Alfred prit le micro.

___ Avant de lancer la fête, je vais demander à Dieu-donné de s'approcher de son gâteau pour éteindre sa bougie après avoir laissé quelques vœux.

Sous le regard de tout le monde, Dieu-donné s'approcha du gâteau, fit ses vœux, souffla et les bougies s'étint. Tout le monde s'est mis à l'applaudir à nouveau, Sonia aida son fils à découper le gâteau et la fête s'éclata.

Mariano, le vice président de l'entreprise regardait tout le monde comme ci il n'était pas heureux. Malgré la joie et la danse qui se faisaient remarquer dans la salle, lui il était dans son coin.

___ Monsieur Mariano. Pourquoi vous êtes seul ici alors que tout le monde s'amuse là-bas ? Demanda Alfred tout en prenant un gorgé de son vin.

Mariano sourit.

___ Quand je le vois comme ça , je m'énerve , je dois réagir mais il faut que j'attends d'abord , je vais en parler à rock , Marius et hyppolite parce-que nous devions réagir , oui nous devrions tuer Alfred comme ça nous aurions la liberté dans cet entreprise, parlait il intérieurement.

___ Monsieur Mariano tout va bien ?

___ Oui monsieur tout va bien, J'aimerais être un peu distant sinon tout va très bien. Vous n'avez rien à craindre.

___ Je suis ravi de l'entendre. Bon je dois vous laisser, il faut que j'aille m'occuper de quelques invités.

___ D'accord.

Après le départ de Alfred, Mariano prit son téléphone et s'éloigna un peu de la scène. Il alluma son téléphone, composa quelques chiffres sur l'écran et le lança. Sur l'écran on pouvait voir un nom à quatres lettres.

*

___ Allô Rock

___ Bonjour monsieur Mariano. J'ai loupé l'anniversaire de Monsieur Alfred. Je ne sais pas s'il va m'excuser.

___ Tu n'es pas le seul. Apparemment, je suis l'unique parmi les membres de l'administration qui a pu répondre présent.

___ Et Hypolite avec Marius ?

___ Ils n'ont pas répondus présent également. N'oublie pas que tu es le comptable de l'entreprise donc tu devrais être éveillé.

___ Oui je le sais très bien. Pourquoi tu m'as appelé ?

___ J'aimerais vous voir demain après la pose, je vais appeler les autres.

___ C'est grave ?

___ Tu le sauras demain.

___ Compris. Bonne suite de fête.

___ Merci beaucoup.

*

Il raccrocha et rejoignit sa place habituelle. De l'autre côté de la pièce, Sonia n'arrivait plus à danser, la fatigue a pris tout son corps en otage. Elle fit tout doucement et s'assegnit. Alfred qui l'observait depuis sa position, s'approcha d'elle.

___ Chérie qu'est ce qui ne va pas ? Demanda t'il.

___ Tout va bien chéri. Je sens la fatigue.

___ Oui on dirait que l'enfant que tu portes en toi demande un peu de repos. N'oublie pas ce que le docteur nous avait dit.

___ Non tu n'as pas besoin de t'inquiéter. Ça va très bien, ta fille va bien.

___ Je suis heureux de l'entendre. Bon, il faut que tu te reposes. Je vais rejoindre les autres.

___ D'accord chéri.

Il fit un bisou à sa femme et rejoignit les autres. Ce fut une journée inoubliable pour toute la famille Abi. Après la fête, chacun rejoignit sa maison.

.

À suivre

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