Chapitre 9 : Qui est-elle?

Dans la soirée du dimanche, Marie accompagné de son neveu est venue à la résidence Randolph. Comme convenu, Marie s'occuppe des tâches ménagères et la cuisine et son neveu Emmanuel du portail comme agent de sécurité.

Le lundi très tôt, Macaréna se réveille prend sa douche et commence à se préparer. Elle porte une jupe taille haute qui épouse parfaitement ses formes, met un chemiser rouge bordeau, un escarpin noir ciré de douce centimètre. Elle de maquille legèrement pends son sac à main Louis viton. Elle attache ses cheveux touffus et crépus sur le côté. Mets son colier au cou et une montre en or au poigné. Elle sait qu'elle est très belle et profite pour charmer tout le monte. Elle se parfume legèrement de son parfum preféré la petite robe noir. Des qu'elle finit de se préparer, il était déjà sept heures. Elle descend vite les marches de l'escaliers avec ses affaires. Son sac ainsi que son ordinateur. Marie l'arrête en chemin.

-Bonjour Macaréna. Pourquoi tu cours si vite, ma fille ?

-Je risque d'être en retard à mon premier jour du boulot, alors je dois m'en aller.

-Ok, fais attention et bonne chance. Mais tu dois manger un petit truc.

-Non merci, il y aura sûrement une cantine.

-Peu importe, prends ce sandwish, au moins mets le dans ton sac.

-Merci, stp ! Prends soin de ma famille comme tu sais si bien le faire.

Elle prend les clées de la voiture et monte. Et oui, pendant le week elle a du acheter pas une mais deux voitures, une pour Cassi et Gaëtan et un range rovet blanche pour elle-même.

Elle démare direction l'entreprise.

Arrivée, elle gare au parking et va au sécretariat pour être annoncée. Tout les yeux sont rivés sur elle. La sécrétaire la reconnu tout de suite et a appelé Alfred. Celui-ci lui demande de le suivre afin de lui montrer son bureau et lui faire visite l'entreprise. Au courde la visite, elle a charmé tout le personnel.

La visite terminée, elle décide de se familiariser avec son bureau ainsi que les dossiers. Quelques temps après, un jeune homme dans les vingtaines frappa à la porte.

-Oui, entrer !

-Bonjour, directrice Randolph. Heum je...

-Oui, dites-moi qui vous êtes au lieux de tourner au tour du pot.

-Votre assistant directrice.

-Ah tant mieux. Tu tombes à pic. Tu travailles ici depuis combien de temps ?

-Plus d'une année.

-Ok, c'est assez pour connaître beaucoup de choses. Je veux que tu tries tous les dossiers. Tu les classes, envoies-moi les nouveaux dossiers qui sont importants.

-Ok et vous les voulez quand ?

-Avant la fin de la journée.

-Ok j'y vais.

Dès qu'il sort, il se met à parler tout seul et tombe sur Alfred. Celui-ci lui demande ce qui ne va pas avec lui au point de parler tout seul.

-C'est la nouvelle directrice.

-Mlle Randolph ?

-Oui, elle me demande de trier tous les dossiers et apporter les nouveaux avant la fin de la journée. Tu t'en rends compte. C'est trops, je ne pourrais finir à temps.

-Tu peux y arriver, aller, vas-y vite.

Ils se séparent. Alfred pense que Macaréna doit être un bouro de travail tout comme leur PDG.

Macaréna reste dans son bureau à épulcher les dossiers qui sont neccéssaires et très importants dans l'immédiat jusqu'a ce qu'elle ressent la faim. Elle regarde l'horloge et il est deux heures de l'après-midi. Il ne reste que trente minutes pour que les autres reprenent le travail.

Elle sort pour manger mais ne retrouve pas la cantine. Donc elle voulait retourner à son bureau quand elle apperçoit Elliot en face d'elle. Macaréna le regarde avec dédain et s'éloigner de lui. Mais il la rattrape et demande :

-Puis-je vous aidez?

-Je suis à la recherche de la cantine.

-Oh je vois, cet endroit doit être bondé de mond en ce moment. Je vous emmène à la cantine du PDG.

-Tu te fous de moi ? Et d'aller, ok ?

Je ne sais même pas qui vous êtes. Retouner à vos occupations, je vais me débrouiller. Elle retourne à son bureau, laissant Elliot dèrrière elle. Celui-ci la trouve trop sexy et se demande qui elle est au juste ? Il sort puis va à son rendez. Pendant ce temps, Macaréna retourne et commande son repas. Et reste dans son burau jusqu'au coucher du soleil.