Chapitre 6 : L'entretient
Dès que Macaréna entre dans l'enceinte de l'entreprise, tous les yeux sont rivés sur elle. Mais cela ne la derangeait guère, après tout elle est une beauté à couper le souffle. Elle alla à la réception pour demander des renseignements.
-Bonjour, madame. Pourriez-vous me renseigner ?
-Oui, dite-moi que vous désirez ?
-Bon, je suis Macaréna Randolph et je suis là pour un entretient. Je voir Mr Alfred ken.
-Ok, patientez, svp ! Je l'appelle.
Après que la sécrétaire est finit l'appel, une demoiselle est venue chercher Macaréna. Elles se sont dirigées dans l'ascensseur qui les conduit au dix-septième étage, puis fut introduit dans un burau très moderne mais très simple. Un jeune homme avec une allure de gentleman etait assis. Celui-ci la demanda de s'assoir, puis l'autre femme sorta et ferma la porte dèrrière elle. Comme tout personne normale qui devrait avoir peur au moment d'un entretient, Macaréna non elle était assise bien droit son classeur contenant ses documents à la main et son sac sur ses jambes. Elle regarda un moment le monsieur puis parla :
-Bonjour Mr
-Bonjour à vous, Mlle Randolph. Je suis Alfred Ken, l'assistante de Mr Eliote de Souza, notre PDG.
-D'accord, Mr et je suis la pour l'entretient.
-Ok, commençons. Apparemment vous avez obtenu votre diplôme depuis trois ans déjà et vous étiez vice présidente d'une des meilleures entreprises d'import-export aux Etas Unis. Alors pourquoi voulez-vous travailler dans notre entreprise ?
-Voilà je suis originaire d'ici, donc je viens de rentrer et j'ai fait enormément de recherches sur votre entreprise et je sais qu'elle est la meilleure de toute dans notre région et j'ai envie de faire partie de cette entreprise pour mieux m'améliorer et apporter mes idées pour le fonctionnement de votre entreprise.
-Ok, je vois et pourquoi avez-vous postuler pour être directrice de marketing ?
-J'ai eu mon diplôme en marketing dans l'une des meilleures école en Amérique. J'ai travaillé plus de trois ans en tant que vice présidente donc être directrice en marketing n'est rien comparé à ce que j'avais entrepris, je sais que je peux le faire.
-Ok, merci, vous êtes convaincanque. Est-ce que vous pouvez travailler sous pressions ?
-Oui, je le peux, c'est ce que j'ai toujours fait.
-Ok, merci, Mlle Randolph. Dans l'après midi, vous aurez de nos nouvelles, vous pouvez disposer. Merci à vous.
-Merci à vous également, bonne journée.
Macaréna sort puis se dirige vers l'ascensseur, en marchant elle cherche son teléphone de son sac pour appeler les autres qu'elle rentrera bientôt. Mais par mégarde elle cogne une personne d'une beauté sans pareil. Elle soulève la tête pour s'excuser, celui-ci le fixe un bon moment en disant :
-Etes-vous blessé, mademoiselle ?
-Non, désolée, je ne vous ai pas vu.
-C'est pas grave, je vous laisse.
Macaréna descend puis monte dans la voiture où le chauffeur l'attend.
-Daniel, peux-tu me deposé devant un chapel qui est près d'ici ? ça fait dix ans que j'ai plus mis les pieds dans une eglis.
-Vraiment, Mlle Macaréna ? Mais comment faites-vous pour vivre si paisiblement ?
-Je vis bien ma vie et tout m'importe peu juste que je prie pour le repos de l'ame de mes parents. La où, ils sont ils seront très furieux contre moi.
-Ils sont chrétients.
-Oui, fervants, allons-y.
Quelques temps après, elle rentre dans la catédrale puis s'agenoue en baissant la tête tout en pleurant.