Résumé
Le lendemain matin, après qu'il soit allé au travail, je suis allée au centre commercial pour effectuer mes achats. Après, je suis revenu à la maison, faire à manger, mon esprit est toujours, sur le message que j'ai reçu hier Est-ce que cela veut dire que je n'aurai plus d'intimité avec mon mari ? Il faut que je parle avec lui, que je puisse trouver un terrain d'entente, ma vie ne peut pas, s'arrêter au bon vouloir d'un psychopathe. Je prends mon portable et lance le numéro - Tu as pris ta décision ? Je ne réponds pas. - Il ya quelq'un ? - Je veux vous voir . - La seule raison qui fera que l'on se verra sera de baiser ensemble. Alors as-tu pris ta décision ? - Non - Alors, nous n'avons rien à nous dire, il te reste cinq jours, TIC TAC , TIC TAC les jours passent, ton mari ira bientôt en prison et tu seras seule ici avec moi, et tout à moi, Alors qu'est-ce que tu préfères ? Me donner de temps en temps ton corps et avoir ton mari près de toi, ou refuser maintenant et je l'envoie en prison pour que je te prenne comme ma pute 24/24 , à toi de choisir, qu'est-ce qui te convient ? - Je vous en supplie, laissez-moi tranquille, s'il vous plaît, ayez pitiez de moi. - Que tu peux être drôle, ma petite. Dès l'instant que je t'ai vu, je t'ai voulu et rien dans ce monde ne m'empêchera de t'avoir, alors à dans cinq jours. Si je n'ai pas de tes nouvelles, tu auras de mes nouvelles, et ce ne serait pas de bonnes nouvelles pour ton mari. Si dans cinq jours, jusqu'à minuit, je n'ai pas de réponse de ta part, le lendemain matin à 6 h la police viendra sonner à votre porte, et si après cela tu m'appelles pour négocier, ton mari ira quand même en prison. Salut. Il raccroche, le salaud, le psychopathe. À ma place, que feriez-vous ?
Le dîner
Le dîner
Lucia
Je me dépêche de m'habiller, mon mari m'a demandé pour la première fois depuis notre mariage c'est à dire trois ans, de l'accompagner à une soirée organisée par son patron.
- Bordel, Lucia tu peux te dépêcher un peu, je n'ai pas envie d'être en retard.
- J'arrive, j'ai déjà fini, alors comment tu me trouves.
Il me regarde à peine
- Très bien, tu ne trouves pas que cette robe est un trop révélateur ? Je n'aime pas, que tout le monde regarde ma femme.
- N'exagère pas, allons y .
Il passe devant moi, je le suis. Depuis quelques mois, je le sens loin de moi, je lui demande ce qui ne va pas, mais il me dit que tout va bien, que son travail est stressant ces moi ci.
Nous montons dans sa voiture, une vieille quatre quatre, qu'il refuse de changer.
Nous arrivons devant un immeuble, nous montons au dixième étage, on nous ouvre la porte. Nous entrons, la maison est remplie de monde. Viens mon patron m'attend . Je le suis, jusqu'à une table où un homme est assit avec une femme sur ses cuisses, et lui caresse ses cuisses à elle qui sont à découvert. À notre approche, elle s'est levée pour le laisser seul.
- Bonsoir monsieur, je vous présente ma femme, Lucia , comme vous l'avez demandé je suis venue accompagné.
- Asseyez-vous.
Nous nous asseyons. il me tend la main pour me saluer.
- bonsoir, madame, vous êtes très belle
- Merci, monsieur
Ma main dure un trop dans la sienne
Nous allons nous revoir
Lucia
Ma main dure un trop dans la sienne
- Quel âge avez-vous Lucia ?
- J'ai 24 ans monsieur.
- Vous êtes très jeune. Depuis combien de temps vous êtes mariés ?
- Trois ans, monsieur
- Arrêtez de m'appeler monsieur, ça me rend vieux, alors que je n'ai que 35 ans et on va arrêter de se vouvoyer, tu es la femme de mon comptable.
- D'accord monsieur
- Appel moi Sergio.
- D'accord Sergio
Mon mari reviens, avec les boissons.
Je ne bois pas, car je ne suppose pas l'alcool , donc, il m'apporte un cocktail.
- Tu as apporté les modifications dont je t'avais parlé ? Demande son patron.
- Oui monsieur, tout est prêt.
- Très bien, j'ai un voyage la semaine
à Berlin je veux que tu m'accompagne avec ta femme car je suis sur que tu l'as garde enfermée chez toi.
- Très bien monsieur, ce sera comme vous voulez.
La jeune fille qui était assis sur les pieds de Sergio, reviens et veux s'asseoir sur ses genoux mes il l'a fait asseoir à côté de lui.
Leur conversation, m'ennuie, je me lève pour aller me degoudir les jambes.
- Excusez-moi j'ai vais me répoudrer le nez .
- Je t'accompagne ? me demande mon mari.
- Non, c'est pas la peine. je ne vais pas tarder.
Je me dirige vers l'escalier, je demande à une serveuse de me montrer les toilettes
J'arrive là-bas et je vais faire un petit tour dans les toilettes, je ressors, et me lave les mains avant de ressortir, je me balade un peu pour visiter la maison, c'est un panthouse, vraiment magnifique.
Je reviens sur mes pas, et retourne à notre table, et m'assoie.
- Je t'ai apporté un autre verre.
- Merci beaucoup mon amour
- De rien ma chérie.
Je vois les yeux du patron changer, mais rien d'autre n'est perceptible, j'ai l'impression qu'il est en colère, mais pourquoi ?
Après une heure, nous demandons à partir. Sergio me prend les deux mains, et me dit :
- À très bientôt, car nous allons nous revoir , bonne nuit à toi.
- Merci Sergio.