Chapitre 9
Rose rentra à la résidence, elle allait monter dans sa chambre quand une voix l'interpella.
- Mademoiselle Rose où étiez-vous passez? C'était Frédéric.
Il était assis les jambes croisées, un verre à la main dans son bureau mais la porte était ouverte pour qu'il voit tout ceux qui entraient dans le salon. Il l'attendait sûrement se dit Rose entrant dans le bureau. Rose fit l'air surprise balbutina quelques choses en ses dents avant de dire avec un faux sourire.
- J'étais sortie faire quelque courses...
- Vous mentez très mal, il va falloir corriger cela.
Il se leva, s'approcha d'elle, il faisait de tête de plus qu'elle. Rose fut enivré de son parfum qui rendait l'atmosphère très viril. Il redemande à Rose où elle était allé. Cette dernière baissa la tête sans réponse, elle avait du mal à se maîtriser devant cet homme qui pouvait dégager autant de charisme et d'élégance dans ses gestes.
Frédéric lui souleva le visage par le menton. Et dit:
- Première règle, ne baisser jamais les yeux devant un homme. Maintenir toujours le contact visuel.
Elle hocha la tête en signe d'approbation.
- Deuxième règle, ne vous laissez jamais prise au dépourvu, même si c'était le cas ayez toujours un échappatoire ou mentez mieux...
Il lui caressait de façon légère la joue, elle avait envie de fermer les yeux pour profiter de cette étreinte mais elle craignait qu'il le lui reproche.
- Je ne mens jamais dit-elle en souriant.
- Mais vous venez de me mentir à l'instant.
- Non, je suis vraiment sortie pour des courses, c'est le genre de course que j'ai fait que je ne vous ai pas dit.
- Et quel est le genre de course que vous avez fait ?
- Secret professionnel.
- Ok.
Il la lâcha, et sourit, il savait qu'elle ne lui dira pas où elle était et non plus avec qui elle était.
Rose soupira intérieurement ce n'est pas toujours facile de faire la part des choses entre sa vie réelle et ses missions. Si elle a encore de vie réelle ce dit elle.
- Nous allons commencer le travail quand dit elle en se raclant légèrement la gorge.
- Nous avons déjà commencé,
- Je demande plutôt quand est ce que vous allez commencé votre histoire...
- Qu'est ce que vous voulez savoir ?
- Des choses qu'on ne trouve pas sur wikipédia.
Il sourit.
- Vous êtes très belle...
- Merci, j'aimerais beaucoup vous rendre le compliment mais vous savez je ne mens jamais. Dit-elle avec ironie.
Il rit, c'était la première fois qu'elle le voyait rire. Et c'était un rit sincère.
- Vous avez l'air troublé, je dirai que quelques choses vous tracasse.
- Oui, certaines personnes cherchent à me faire tuer...
- Vous êtes un homme important pourquoi des gens voudrais votre mort mais cela ne veut pas dire qu'ils veulent vous éliminer de manière littérale.
- Je connais la différence entre ces deux lignes, cette fois ci on a mis ma tête à prix.
- Ça à l'air de vous inquiéter...
Il sourit, et s'approcha d'elle.
- Vous n'avez pas l'air de vous inquiéter pour moi.
- Parce que je sais que vous allez forcément vous en sortir, Frédéric Packer Junior vous n'êtes pas tuable.
Il lui caressa la joue avec délicatesse, et se pencha pour l'embrasser sur les lèvres. Elle était surprise et senti une vague de frissons parcourir tout son corps. Elle ferma les yeux et se laissa aller.
Frédéric baissa les mains vers sa hanche comme cherchant son approbation pour aller plus loin. Elle hocha la tête positivement brûlant de désir elle accrocha ses bras autour de son cou, écarta légèrement les jambes lui permettant de glisser sa main et la soulever de bon. Il la dirigea vers le bureau, l'y posa, puis lui enleva la robe qu'elle portait. Il découvrit sa poitrine plantureuse et ferme, un peu plus clair que le reste de sa peau. Il la caresse avant d'y poser ses lèvres. Rose laissait échapper quelques gémissements qui l'encourageait à continuer.
Quelques minutes après Frédéric aussi se retrouvait nu devant Rose. Lorsque le moment fatidique approche il lit une légère impression de crainte dans les yeux de Rose.
- Ça peut aller ? Lui demande Frédéric entre deux souffle.
- Oui répond timidement rose.
Elle eut un petit cri, et Frédéric Packer Junior compris que cette jeune femme était vierge. Sur l'instant il lui fit l'amour avec toute son affection. Mais à la fin, il avait au fond de lui un sentiment mitigé en regardant cette jeune femme frêle couchée sur son bureau. Rose n'osa pas ouvrir les yeux, par honte ou par pudicité, elle venait de franchir un cap important dans sa vie. Cela était il vraiment dans le but de sa mission où était ce juste personnel. Elle avait la sans doute son entière confiance à partir de cet instant. Elle sentit un drap la couvrir et un bras fort la soulever. C'était Frédéric, il l'amena dans sa chambre, posa un baiser sur son front et ferma la porte derrière lui.
Merveille observa la dernière scène, elle avait l'air embêté, mais garda le silence.