-CHAPITRE 05:
Elle était debout devant le canapé, à côté de moi. Près de moi. Elle se retournait, le dos tourné vers moi et se penchait pour défaire ses sandales. Juste là, à moins d'un bras, sa chemise de nuit glissait. Pas de culotte, ses fesses se séparaient alors qu'elle se penchait pour révéler sa chatte. Si près de moi, je pouvais à peine m'empêcher de la toucher avec mes doigts. J'aimerais la lécher. Son trou du cul, imberbe et beau comme toujours. J'aimerais jouer avec. Elle prenait son temps pour défaire les deux sandales. Ma bite devenait dure. Ma bite commençait à palpiter. C'était bien que la couverture du canapé couvre mes genoux. Je l'aimais tellement! Combien d'efforts et de réflexion elle mettait pour créer toute cette tension sexuelle entre nous. Une déesse de la séduction. Je me sentais tellement reconnaissant pour cette expérience! Si seulement elle n'était pas ma belle-fille. Ou est-ce que cela la rend encore plus excitante ? Parce que c'est interdit ? J'écartais la pensée.
Elle mit les sandales de côté, assise à côté de moi, sous la couverture.
Je lui demandais;
➖MOI: Comment vas-tu? À propos de la rupture et tout ?
➖DIANE: Un peu mieux. Je suis toujours contrariée. C'était sympa d'en parler avec vous la dernière fois. Je suis heureuse que vous m'ayez écouté et que vous m'ayez réconforté en étant simplement là pour moi et en me serrant dans vos bras. Cela signifie beaucoup pour moi.
➖MOI: Il n'y a pas de soucis chérie, j'aimerais que tu te sentes mieux.
Elle tournait son visage vers moi;
➖DIANE: Ça vous dérange si je reçois un autre câlin de votre part ? C'est tellement bon. Cela me fait oublier la rupture et je me sens tellement aimée.
➖MOI: C'est ton plein droit d'en recevoir chérie!
En entendant ces mots sortir de sa bouche, sa belle voix jeune, j'étais hyper bien! Un instant plus tard, elle était assise sur mes genoux reculant contre moi. Sa tête posée sur mon épaule, mon bras autour d'elle, sentant ses seins doux pousser contre elle. Elle était assise avec sa chatte nue juste sur ma bite, palpitant à plat contre mon ventre. Seulement séparés par mon mince pantalon. Il n'y a presque rien entre ma bite et sa chatte. Nous étions assis comme ça pendant quelques minutes. Elle ne tardait pas à s'endormir ou faire semblant. Je sentais mon pantalon se mouiller à cause d'elle. J'étais tellement excitée que je devais pomper du liquide pré-éjaculatoire. L'idée de mon liquide pré-éjaculatoire se mêlant au fluide de sa chatte à travers le mince survêtement m'excitait encore plus. Nous étions une liaison fluide. Une image étrange. Mais je la trouvais belle. Je me sentais plus proche d'elle. Une brève appréhension me traversait l'esprit. Pré-éjaculation, quelques spermatozoïdes fuitaient dedans. Pouvait-elle tomber enceinte ? Je me souvenais comment Frida a mentionné que Diane avait un implant contraceptif. Un de ceux qui dureraient plusieurs années. Mon inquiétude se dissipait immédiatement et laissait place à un sentiment de bonheur sexuel. Je sentais ses cheveux, son shampoing frais, son parfum fleuri. J'imaginais comment son odeur pénétrait dans mes poumons, rendait mes hormones folles, me faisait expulser mes phéromones, pénétrait dans son corps, la poussant à son tour dans une overdrive sexuelle. Étions-nous liés par des phéromones ? Elle expirait un peu plus fort qu'avant. En même temps, je sentais sa chatte se balancer d'avant en arrière sur ma bite. Que de plaisir à chaque mouvement ! Je regardais vers le bas mais je ne voyais aucun mouvement sous la couverture. C'était juste dans ma tête ?
Qu'est-ce que c'est? Là! Je regardais son magnifique décolleté. Un mamelon était visible. Une vague d'adrénaline traversait mon corps et je pompais involontairement les muscles de ma bite dure. Elle devait ressentir ça sur sa chatte. J'étais tellement chargé sexuellement. Je fantasmais sur le simple fait de faire glisser les bretelles de sa chemise de nuit de ses épaules. Je voulais voir ses seins. Ses jeunes et gros seins ! Les saisir à deux mains, les toucher, les presser et l'écouter gémir. Je voulais enlever mon pantalon, juste glisser ma dureté en elle jusqu'au bout ! Je voulais l'attraper par la taille et pousser, pousser, pousser ! Pousser encore et encore sans retenue ! Je voulais un véritable aller-retour, aller dedans et sortir, aller plus profond, plus profond, plus dur, plus vite puis finalement exploser en elle, putain ouais !!! Alors que je fantasmais, je réalisais que j'ai inconsciemment serré mon bras autour de ses seins. Ils s'y opposaient. Tellement guilleret ! Si plein! Mon second bras s'est ainsi involontairement resserré contre son ventre, poussant son cul et sa chatte vers moi. Je sentais ses fesses s'enrouler autour de ma bite, ma bite séparant un peu sa chatte humide, juste séparées par la fine couche de mon pantalon de survêtement ample. C'était comme si j'étais en elle. Je remarquais que le poignet de ma main supérieure effleurait son mamelon exposé. Je sentais à quel point c'était dur. Ma bite recommençait à se contracter de plaisir. Il était si difficile de ne pas bouger ma main inférieure sous sa chemise de nuit pour sentir sa chatte sans culotte, pour frotter son clitoris. C'était tellement dur de résister ! Je poussais ma bite, lentement, à peine perceptiblement un peu plus loin contre sa chatte douce. Je sentais son ventre résolu, ferme contre ma main inférieure. Je résistais à le caresser. Je frottais toujours si subtilement mon poignet contre son mamelon exposé; encore et encore. J'avais l'impression qu'elle balançait sa chatte et son cul d'avant en arrière contre ma bite. On continuait, on continuait. J'étais si près de jouir. Si près de perdre le contrôle. Putaiiiiiiiiiiiiiiiiiiin
La série télévisée se termina. Je devais en finir aussi. Je me ressaisis et la fis glisser de mes genoux, doucement sur le côté. Je regardais la grosse tache mouillée sur mon pantalon, ma bite poussant dessus en faisant une tente. Je la couvrais immédiatement avec la couverture. Quelques instants passaient.
➖MOI: Diane ?
Pas de réponses.
Je lui secouais doucement l'épaule. Elle ouvrait un peu les yeux.
➖MOI: Diane, le spectacle est terminé. Tu t'es endormi.
➖DIANE: Désolé Cadnel, j'étais tellement à l'aise. C'était si agréable de faire des câlins avec toi. Merci.
Elle se penchait, me fit un câlin. Je la sentais, profitant du moment.
Elle dit;
➖Bonne nuit
Je lui répondis;
➖Merci pareillement
Elle se levait, debout devant le canapé à côté de moi. Cette fois encore plus proche qu'avant. Elle se pencha, attrapa ses sandales. Sa chemise de nuit glissait, révélant sa chatte et son trou du cul alors qu'elle se penchait. Trempé d'humidité partout, scintillant. La pensée qu'il s'agissait en partie de mon liquide pré-éjaculatoire m'excitait. Je me penchais en avant en faisant attention de ne pas faire de bruit. Mon visage était si proche, la touchant presque. Je respirais l'odeur de sa chatte. C'était beau. Je voulais être en elle. Elle prenait son temps pour attacher la bride à la cheville de ses sandales pendant que je la sentais. Des instants de bonheur, j'étais au paradis. Elle s'éloigna, monta les escaliers vers sa chambre. Quelle allumeuse ? Quelle séductrice ? La tension sexuelle ! L'extase ! Diane me rendait chtarbé.
Ma relation avec Frida se détériorait. C'était triste. Elle passait beaucoup de temps au travail et s'absentait régulièrement pour affaires. Quand elle rentrait à la maison, elle travaillait sur son ordinateur portable, se plaignait du travail ou était épuisée par le travail. Cela a également affecté notre vie sexuelle. Cela fit des semaines que nous ne l'avons plus fait. Elle n'était souvent pas d'humeur. Elle était assez gentille pour ne pas refuser le sexe mais je sentais qu'elle n'était pas intéressée. C'était comme si elle me rendait service, en finissant la corvée. Ne pas ressentir son désir pour moi me décourageait. J'en ai parlé plusieurs fois avec Frida, mais il semblait que nous ne soyons pas en mesure de trouver une solution. Le travail était sa priorité.
J'étais devenu sexuellement frustré. Et avoir une belle-fille ridiculement sexy vivant avec moi et souvent seule avec elle aggravait la situation. Je savais que je ne devrais pas participer à ses jeux mais je ne pouvais pas résister. C'était un autre jeudi soir. Frida était absente. Diane était seule à la maison avec moi. Encore une fois, j'ai décidé de porter mon pantalon de survêtement le plus fin. Pas de sous-vêtements. J'étais assis sur le canapé en train de diffuser une série à la télévision. J'attendais une apparition anticipée de Diane. Que faisait-elle cette fois ? Je devenais déjà semi-dur rien qu'en pensant à elle. Les minutes passaient mais rien, aucun signe. A mi-chemin de l'épisode, toujours rien. Le spectacle se termina. J'étais déçu. Je pensais à toutes les rencontres sexuellement chargées que j'avais eues avec Diane. Soudain, je me sentais reconnaissant. Elle était tellement hors de ma ligue. Elle était bien trop jeune et chaud. Je devrais juste être reconnaissant pour ce que j'ai eu avec elle jusqu'à présent. Elle était au courant de mes problèmes avec Frida. Je savais qu'elle l'était. Frida m'a dit qu'elle avait eu une conversation avec Diane et voulait gérer ses attentes. Elle voulait la conditionner pour que notre relation se termine. Qu'elles devront peut-être déménager. Un sentiment de soulagement m'envahit. D'une certaine manière, c'était bien que cela se termine. Toute l'affaire avec Diane avait mal tourné depuis le début. Notre relation était beaucoup trop chargée sexuellement. Ce n'était pas approprié. Peut-être que comme Diane prenait conscience que cette situation de vie pourrait se terminer, elle a perdu tout intérêt pour ses jeux.
C'était l'heure du coucher. Je soupirais et montais dans ma chambre. Je devais passer devant la chambre de Diane et j'ai remarqué quelque chose d'inhabituel. La lumière en sortait. La porte était ouverte ! Normalement ça devrait être fermée. Je me rapprochais de la porte ouverte, jetant un coup d'œil à l'intérieur de la pièce, sous un angle, ne voyant qu'une petite partie de la pièce. Le lit de Diane était juste à côté de l'entrée. J'étais surpris par ce que j'ai vu. Je m'arrêtais à mi-chemin. Je pouvais voir le bas du corps de Diane. Le haut de son corps était recouvert d'une couverture. La couverture s'empilait, cachant son visage. Imaginez ! Elle était nue. Elle était allongée sur son lit juste à côté de la porte juste devant moi. Si proche ! Juste au bord du lit. Pas de culotte. Position fœtale sur le côté. Ses beaux pieds. Pédicure au top! Je me promenais avec mes yeux de ses jambes à ses cuisses. À sa chatte magnifiquement exposée. Je pouvais voir ses lèvres extérieures, ses lèvres intérieures. Ses petites fesses et son trou du cul. Tout était chauve, en pleine vue. La pièce était bien éclairée. Quelle vue ? Dès que mes pas s'arrêtaient comme si c'était un signal pour que le spectacle commence, deux de ses doigts apparaissaient entre ses cuisses. Après, ils étaient sur son clitoris. Glisser au centre de sa chatte. Poussant doucement contre ses lèvres intérieures. Déplacement vers les lèvres extérieures. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais ! Elle écarta sa chatte maintenant! Un papillon rose. Tellement chaud! Oui petite cochonne, ouvre-toi ! Ouvre-la pour moi ! Mon coeur battait la chamade. Ma bite devenait dure. Elle commençait à faire courir ses doigts de haut en bas sur son clitoris en les plongeant dans sa chatte. Elle se mouillait de minute en minute. Je pouvais entendre le bruit des lèvres humides de sa chatte massées par ses doigts. Des cercles sur son clitoris ! Ensuite, les deux doigts étaient à l'intérieur ! Ils entraient et sortaient un peu plus vite et plus vite. Ses lèvres extérieures étaient bombées ! Je perdais la tête. Ma bite était dure comme un roc, tentant mon pantalon de survêtement. J'osais lentement jeter un coup d'œil dans la pièce un peu plus loin. Impossible de voir son visage caché derrière sa couverture. Bon! Je glissais ma main dans mon pantalon de survêtement et je commençais à me caresser la bite. Je ne pouvais pas m'en empêcher. Comme si ce spectacle n'était pas déjà assez heureux, sa seconde main fit une apparition. De derrière, ses doigts glissaient le long de sa fente, poussant contre son trou du cul. Incroyable! Ses doigts encerclaient son trou du cul glissant de haut en bas de son trou. Ensuite ses doigts étaient plongés dans sa chatte humide étalant son humidité sur tout son trou du cul. Maintenant, le bout d'un doigt disparaissait à l'intérieur de son cul. Je gémis toujours si doucement, caressant ma bite plus vite.
Elle ajustait lentement sa position en levrette toujours en train de se masturber la chatte. Elle sortait de sous la couverture un jouet sexuel. Ces roses au long manche fin et au bout bombé en forme de poire. Un jouet d'amour. Elle poussait l'extrémité en forme de poire dans sa chatte, lentement, jusqu'à ce qu'elle disparaisse et que seule la longue et fine poignée flexible dépassait. J'entendais les vibrations du jouet. Elle tirait dessus, faisant gonfler sa chatte alors que l'extrémité en forme de poire étaitt à moitié sortie. Elle le repoussa et continua. Dedans et dehors, aller-retour. L'autre main jouait avec son trou du cul en la doigtant. J'étais tellement excitée ! Je voulais être en elle, pousser ma bite dedans, la baiser. Je devenais plus audacieux en m'approchant d'elle, si près. Pendant que je marchais, mon pantalon de survêtement glissait jusqu'à mes chevilles.
A SUIVRE...
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-PAGE: ? ÉROTIQUE+ TV ?
-TITRE: DIANE ME REND CHTARBÉ
-AUTEUR: LOLO