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CHAPITRE 15 : FAVEUR

Vassili ODV :

- Suka, putain pourquoi as-tu bu autant ? Tu devrais savoir que tu pouvais à peine en boire un.

J'étais en colère. J'étais énervé que la seule chose qui était censée me donner une bonne image, c'était d'être saoule comme l'enfer. 

Je la regardai. Et le regretta immédiatement.

Elle avait ce regard dans ces putains d'yeux qui pouvait mettre un homme à genoux. 

J'appuyai fort sur l'accélérateur et nous rentrions à toute allure.

- Davayte (Allons).

- imet (avoir).

- Seks (sexe).

Je lui jetas un coup d'œil, je n'en croyais pas mes oreilles. Je pensais que je devrais la soudoyer ou la forcer à avoir des relations sexuelles avec moi. Non pas que ce n'était pas à propos de mon apparence, je savais très bien que j'avais cette... Chose à propos de moi que les femmes aimaient toutes. Que ce soit l'argent, ou ma beauté, ou les deux... Ça a toujours fonctionné pour moi, mais cette petite fille était bien plus différente que n'importe quelle autre femme que j'avais rencontré. 

Je la regardai curieusement alors qu'elle faisait claquer sa ceinture de sécurité.

- Ay ay ay ! La sécurité d'abord !

Elle me regardait, ses yeux embués semblant décider de continuer ce qu'elle faisait ou de m'écouter.

Elle ne m'écouterait jamais.

Je gardai les yeux sur la route et lançai un coup d'œil curieux sur cette gamine innocente.

Elle se baissa sous l'un de mes bras et entoura une jambe de chaque côté de ma taille.

Elle me chevauchait pendant que j'essayais de putain de conduire. 

J'aimais ça. 

J'accélérai, déterminé à rentrer à la maison avant que l'alcool qu'elle avait bu ne commence à se dissiper. 

- Sdelat' chtonibud' poleznoye, je dis en appuyant sur l'accélérateur. (Rends-toi utile.) 

Ses lèvres peintes souriaient alors qu'elle enroulait ses bras autour de mon cou, de sorte que je regarde la route derrière ses épaules. 

Je la sentie se frotter contre moi, ses lèvres se pressant contre mon cou. 

Putain.

Elle était en train de me putain de chevaucher dans ma putain d'Audi. 

Putain de merde.

Je l'entendue gémir doucement alors qu'elle se frottait plus profondément contre moi.

Je ne ferai pas les 2 minutes qu'il nous restait dans la voiture.

- Tu es un ivre et excité, n'est-ce pas ? Je demandai d'un air suffisant.

Je la sentis sourire dans mon cou alors qu'elle hochait la tête. 

Ses lèvres traînaient plus loin dans mon cou alors que la voiture s'approchait de l'avant portes de mon complexe. 

Je tapai le mot de passe et je dépassai la porte de garde alors que nous entrions dans le garage. 

Elle rigola alors que je la prenais par la taille et traversais rapidement la maison.

Je montais les escaliers deux à la fois, et je traversais les couloirs, la petite Suka m'embrassait toujours dans le cou.

Je m'arrêtai devant ma chambre et jetai un coup d'œil au couloir, Fiodor se tenait devant la porte de la salle du conseil. 

Je rentrai et fermai la porte à clef derrière moi.

J'enlevai ma chemise et je la regardai avec amusement alors qu'elle faisait de faibles tentatives pour enlever sa robe fine.

J'accrochai mes doigts autour du bas du tissu léger et d'un mouvement rapide, la robe disparut, la laissant en soutien-gorge et en culotte. 

Putain de merde.

Je n'aurais jamais deviné quelles merveilles cette robe contenait.

Elle était putain de parfaite. Putain d'argent bien dépensé.

Le regard qu'elle me lança m'arrêta net. Elle avait l'air confuse. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Elle était trop jeune et trop innocente.

Qu'est-ce que je foutais ? 

Je devrais aller baiser une prostituée, pas cette petite chose innocente.

Une chose est sûre, cette "prostituée" devant moi, était tellement, bien plus.

Elle n'était pas une putain de prostituée.

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