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CHAPITRE 11 : TOI ET…MOI

Vassili PDV :

Je m'arrêtai devant sa porte. 

Je n'aurais probablement pas dû donner à la petite pute la drogue que j'avais prise. Ça s'appelait la Devils Tongue et ça foutait en l'air. 

D'après le visage de Fiodor quand il est descendu... Elle était foutue.

Je l'emmenais dîner. C'était une idée stupide, mais si elle devait commencer à se tenir à mes côtés, je devrais peut-être commencer à mieux traiter la petite salope.

Je lissai la cravate de ma veste de costume, ajusté le 9 millimètres dans ma poche et frappa à la porte. 

J'entendu au moins douze seconde devant la porte. Je pense qu'elle était toujours sobre. Pourquoi diable me faisait-elle attendre ?

J'ouvris la porte... Et je la regardai fixement. 

Je ne pouvais m'empêcher de la regarder, j'étais un homme qui aimait les belles choses.

Cette fille était certainement une belle chose. 

Elle était vêtue de la robe noire courte à bretelles spaghetti que j'avais choisi, ses longs cheveux noirs tombaient en cascade autour de ses épaules.

Elle n'était définitivement pas américaine, je ne sais pas pourquoi j'étais assez stupide pour croire qu'elle venait de New York.

Il y avait une sorte d'innocence qui l'entourait. Elle avait l'air si pure et douce, ça me donnait envie de la baiser d'autant plus.

Mais quand elle ouvrait la bouche, c'était toute une autre chose.

-  Zasranets, idi na khuy ! elle me cracha (Connard, va te faire foutre.) !

La colère bouillonnait en moi, et je ne pouvais pas croire à quel point j'étais stupide de laisser quelqu'un d'aussi bas et sale qu'elle m'insulter.

Je sortis mon pistolet de ma veste, avança vers elle rapidement et l'enfonçant dans la douce partie de son cou. Mon bras gauche s'enroula autour de sa petite taille alors que je la poussais dans le canon de l'arme.

- Attention, petite. Tu ne seras pas si jolie si tu continues à me parler comme ça.

La menace était tout à fait vraie. Je pourrais même aimer torturer cette petite pute. Je gaspillerai sa beauté, mais elle ne devait pas me tester. Je sentis sa respiration s'arrêter. Je pouvais dire qu'elle se mordait la langue, probablement pour s'abstenir de me traiter de blasphèmes.

Elle n'était peut-être pas aussi idiote que je le pensais.

En vérité, je ne voulais pas qu'une fille soit dans ma vie. Surtout pas une pute. Je ne sais pas pourquoi je l'avais achetée. J'avais assisté à ces enchères pendant des semaines sans appuyer une seule fois.

La première chose que j'avais remarquée, c'était son innocence. Ces ventes aux enchères étaient destinées aux prostituées et aux folles qui avaient été ramassées dans la rue.

Cette fille était tellement différente. 

Quand ils ont dit qu'elle était vierge, et si putain de jeune, je ne sais pas pourquoi mon intérêt pour elle avait atteint son paroxysme. 

Et j'avais dépensé plus d'un demi-million d'argent de la mafia... Ma mafia pour elle. 

J'espère qu'elle en valait la peine.

Je l'entendue haleter et je retirai le canon de l'arme. Je la relâchai et elle recula. Je remis mon arme dans ma veste.

- Nadet' obuv (Mets tes chaussures.).

Je lui tendu la paire de talons. J'avais évité de les lui donner pendant qu'elle était défoncée parce que je pensais qu'elle tenterait de me poignarder moi ou Fiodor avec.

Elle les regarda, un sourcil noir relevé. 

- Tu susestimes mes capacités de salope, Mr. Morozov.

- Non. Mets ces putains de chaussures.

Elle me regarda d'un air renfrogné et me prit les chaussures. 

Je sentis mon humeur bouillir, mais je ne dis rien.

- Ne m'appele pas Mr. Morozov. Vassili. 

Elle hocha la tête, alors qu'elle glissait sur les talons.

C'étaient des talons assez sexy. Grande et noire, avec des bretelles.

Je remarquai que cette petite fille repoussait son accent, et pour une raison quelconque, cela me dérangeait.

À la seconde où elle boucla l'autre chaussure, je l'attrapai et la poussai vers la porte. 

Je l'entendue jurer dans sa barbe, mais je ne lui prêtai aucune attention alors que je commençais à marcher dans les couloirs.

Mes hommes étaient partis, explorant la base du cartel italien de la drogue. Dans quelques semaines, nous envahirions leur siège d'importation de drogue.

- Pereyekhat !" (dépêche) Elle prenait trop de temps. 

Je lui tirai à travers les couloirs et dans le garage où tous mes véhicules personnels étaient entreposés.

Je souris en la regardant, ses grands yeux bleus brillaient alors qu'elle contemplait la pièce.

- Tu possèdes tout ça ? 

Elle demanda lentement, et je haussai les épaules.

Ferrari, Lamborghini, Audi et plein d'autres.

- Choisis-en un. Elle me regarda avec les gros yeux,

- dépêche-toi, putain, j'ai faim.

Elle pointa mon Audi R8, et je souria presque.

- Ma préférée. (média)

- Va te faire foutre.

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