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Chapitre 04

Chapitre 4 : le double jeu

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… :… bonsoir

Je me retourne et là baaam je tombe sur le MDP

Moi : heum bonsoir Monsieur MDP

Je vois clément nous regarder d’un air mauvais

MDP : Clara (oui oh c’est mon mot de passe) tiens tiens

Moi : oui

MDP ne calculant même pas Clément : que faites-vous ici je pensais que votre père vous interdisait ce genre de sortie

Moi : lol et vous alors monsieur MDP je pensais qu’à 40ans et surtout marié vous ne devriez pas traîner dans ce genre de lieu

Il accusa le coup (Bien)

Clé : bé.......

Avant qu’il ne finisse sa phrase je l’interrompis

Moi : hum stp je reviens il faut que je parle au monsieur

Clément interloqué et paru se demander ce qui se passait mais il ne fallait surtout pas qu’il ouvre sa bouche

Moi (le fixant sévèrement) : qu’est-ce que je t’ai dis la fois dernière ?

Clé (soupirant) : ok, il alla s’asseoir

Moi : merci (à MDP) : suis moi

On sortit direction l’entrée de l’impérial.

Moi (m’énervant) : c’est quoi ton problème ?

MDP : c’est qui lui ?

Moi : qui il est ça ne te regarde pas

MDP (commençant à s’énerver) : je te signale que tu es ma femme et là après que tu m’aies dit que tu ne sortais pas je te trouve ici en compagnie d’un vieux blanc qui à l’âge de ton grand-père… non mais tu te prends pour qui ? Avec tout ce que j’investis sur toi c’est comme ça que tu me remercie en venant en boite avec tes amants ?

Moi (très énervée) : quoi tu dis quoi ?

MDP/ tu m’as bien entendu

Moi (rire jaune) : tu es culotté dis donc MOI AYANG je suis TA FEMME non mais tu débloque complètement ma parole, tu souffres d’amnésie passagère ou quoi ta femme c’est Madame POBA Amandine (dédicace) et non moi si j’étais ta femme comme tu le cries haut et fort c’est dans une de tes maisons que je vivrais et non dans celle de mon père alors je t’interdis de m’associer à toi on couche juste en semble et basta.

Quand tu vies me dire que tu investis pour moi à cause de tes minables 50.000f que tu me donnes de temps en temps tu penses avoir un droit sur moi à ce que je sache ce n’est que la rémunération d’un travail bien effectué je te donne du PLAISIR que tu n’as plus avec ta vieille rombière.

Tu me dis oui tu me croyais chez moi or je suis ici, mais je tiens à te rappeler que toi aussi u es sensé être chez toi à cette heure c’est toi l’homme marié moi moi je suis Jeune et tout ça vois-tu c’est de mon âge, je ne suis officiellement rien pour toi donc je n’ai aucune obligation de te tenir informé de mes faits et gestes.

Tu me dis que je traine avec des vieux or, toi aussi tu as l’âge d’être mon père…Et ce vieux qui a l’âge de mon grand-père se trouve être le mari à l’une de mes grandes cousines, elle vient d’accoucher lui étant de passage à pog et voulant sortir un peu je me charge de lui faire connaitre la ville un peu. Or, il connait mon père très bien et en venant nous accoster comme ça il va se poser des questions et pourrait en parler à ma cousine qui pourrait le dire à mon père.

Alors stp tes crises de jalousie à deux sous stp garde les pour toi et à l’avenir garde tes sous pour toi

MDP (visiblement contrarié) : ok

Moi : bien je vais y aller bonne fin de soirée Mr

Et je partis en direction de la boîte, je croisais Urielle

Ur : man tu étais où ?

Moi : avec MDP

Ur (surprise) : oh tu la trouvé où ?

Moi : je l’ai croisé dans la boîte de nuit il est venu me parlé quand j’étais avec Clément

Ur : nooooooooon

Moi : si

Ur : ah je comprends mieux pourquoi il se gonfle depuis là

Moi : qu’il se fâche je vais m’occuper de son cas

Ur : tu as pu gérer avec MDP

Moi : je suis AYANG la fille de sa mère ou bien

Ur : exactement

On entra ensemble dans la boîte te on alla rejoindre le salon.

Moi (attachant ma bouille) : …

Clément au bout de 10 minutes

Clé : c’était qui lui?

Ah il a craqué

Moi : hum c’est maintenant que tu me le demandes?!

Clé : Clara je t’ai posé une question

Moi : un ami de mon père

Clément (écarquillant les yeux) : ah mince

Moi : et dis-toi que me voir avec toi ça ne lui a pas plus du tout il m’a passé un savon et surtout que je voulais mentir que tu étais juste quelqu’un sympa que j’ai rencontré en boîte mais avec tes crises de jalousie à répétition pour un oui ou pour un non laisse-moi te dire qu’il n’a surement pas dû me croire pufff

Clé : douce je suis désolée

Moi : c’est trop tard

Clé (voulant me prendre dans ses bras) : allez je suis désolé

Moi : non ça suffit tu fais tout le temps la même chose.

Clé : oui mais cette fois-ci je te promets je vais me tenir à carreau dorénavant

Moi : hum

Clé : allez un sourire stp

Moi : :)

Et reste de la soirée se passa bien, puis à 4h30 on alla déposer Urielle chez elle à la cité municipale. Puis on alla chez moi avant de descendre on se fit un petit truc rapide (on s’est protéger hein) à l’arrière de son pick-up et comme à mon habitude je n’ai pas pris mon pied c’était plus un mécanisme qu’autre chose en tout cas je suis descendue avec 100.000f je me suis précipitée j’ai appelé Andréa qui m’ouvrit les volets et je me suis faufilée me suis vite changer et dodo bien mérité.

(1 mois plus tard) 3 mois après ma rencontre avec Henri j’avais au total 2.400.000f dans mon compte. J’alternais toujours entre mes deux différents dragueurs. Je m’occupais aussi bien de l’un que de l’autre je me surpassais pour avoir toujours de quoi me vêtir, faire mes grooves et épargner.

On était arrivé à la fin de l’année scolaire et c’est sans surprise que j’avais réussis mon année scolaire j’étais de passage en Tle D. j’étais doublent contente car Grâce Urielle et moi allions être à priori dans la même terminal et surtout que je n’aurais plus la femme de MDP comme prof car elle ne tenait pas les terminales trop stressant selon elle.

Les vacances je les passais là à Port-Gentil Andréa et junior avait été envoyé en vacance à Bitam chez les parents de papa, moi bon beh je devais rester là mais grâce à Clément j’avais trouvé un petit boulot en tant que réceptionniste au méridien mandji, je gagnais 150.000f ce n’était pas le salaire rêvé mais au moins pendant ces trois mois j’avais plus rajouté encore 450.000F dans mon compte épargne. Et cela m’évitait surtout de me tourner les pouces à la maison à ne rien faire surtout qu’entre ma belle-mère et moi le courant ne passait toujours pas. Un jour en rentrant de mon travail des vacances je l’entendis parler à mon père

Elle : je ne vois même pas pourquoi on la garde ici

Lui : Marie c’est ma fille

Elle : quelle qualité d’enfant ? une bordelle comme ça

Lui : Marie

Elle : Marie de quoi ?

Lui : elle s’est assagit

Elle : c’est ce que tu crois, hum cette fille est comme le diable toi-même là-bas

Papa : Marie arrête stp

Elle : tu ne me crois pas hein hum ok toi-même mais au prochain scandale, humm ne vient pas te plaindre ici là je m’en lave les mains.

Papa : mais non et puis essaie de la comprendre elle n’a plus sa mère tu t’imagines ce qu’elle peut vivre

Elle : et puis quoi encore est-ce la seule dans ce monde qui vit sans sa maman

Papa : non mais bon écoute ça suffit

Elle : continue de rendre sa défense tu tomberas de haut ta fille c’est une vicieuse et tu le sais

Ça me fit mal surtout que mon père ne dit rien c’est à croire qu’il était d’accord avec ses propos.

Moi (entrant) : bonsoir maman, bonsoir papa

Eux : bonsoir

Je me dirigeais vers la porte du couloir quand je marquais un arrêt

Moi : tu sais Maman Marie tu n’es pas obligé de me croire ou de m’aimer mais stp respecte au moins la mémoire de ma mère stp, tu es une mère et tu en as une. ( à mon père) : et toi papa je suis désolée d’être l’erreur de ta vie vraiment tu ne remarques que ce que je fais de mal pourtant je fais partis des meilleurs de ma classe mais jamais tu ne m’as félicité or Maman elle aurait été fière de moi.

Moi (soupirant) : vous savez supportez moi encore une année juste une je vous promets qu’après je disparaîtrais de vos vie.

Je me suis dirigée dans ma chambre me suis changée j’ai pris une douche je voulais pleurer mais à quoi bon ?

J’ai serré mon cœur comme d’habitude et je me suis rassurée en me disant Mauricette bientôt tu seras libre de chez libre. Accroches-toi Je me suis dit. Je vais dans la chambre je reçois un appel de Grâce

Moi : allô

Gr : kikou ma puce

Moi : Grâçou Grâcie on dit quoi ma sistoune ?

Gr : on dit que je rentre de vacances à Nice là

Moi : ouéééééééééééééé tu descends quand à Pog

Gr : quand comment je suis sur le retain petite

Moi : non jure

Gr : je suis là je t’ai emmené pleins de fringue toi-même tu verras bon on se dit à tout à l’heure

Moi : ok

Je suis restée à texter avec Clément. Puis au bout d’une heure il était 18h quand Grâce me dit qu’elle était au portail. Je suis allée lui ouvrir. Quand nous sommes arrivés au salon

Gr : bonsoir tonton Jean Wyllys

Papa : bonsoir ah MENGUE ça va ?

Gr : oui tonton et toi ?

Voilà ma 2e mère qui se pointe

Elle : bonsoir Mlle

Papa : ah Marie je te présente Grâce la fille de la sœur de Maureen (ma mère)

Elle (la toisant) : hum bonsoir

Gr : bonsoir tantine

Moi : papa nous sommes dans ma chambre

Papa : ok

On se dirigea vers ma chambre

Gr : la nouvelle femme de tonton là elle a le malin hein

Moi : à qui le dis-tu pardon laisse celle-là si tu savais comment elle m’insulte dans mon dos ici là

Gr : elle t’insulte et le boss dit quoi ?

Moi : il va encore dire quoi est ce qu’il peut dire un mot quand sa femme a parlé

Gr : humm lui aussi hein

Moi : mieux laissons les deux-là. Allez raconte et ton voyage

Gr : magnifique

Elle se mit à me raconter son séjour cela donnait vraiment envie de me surpasser trois fois plus cette année et espérer avoir une bourse et aller à l’étranger.

Moi : je suis si heureuse pour toi ma puce

Gr : merci ah tiens je t’ai apporté cela

Il y a avait un gros sac à main fout tout quand je l’ouvris il y avait 3 chemisiers, 2 jeans, 3 leggins, 3 robes sexy, 3 ensemble soutient slip de chez etam, une balérine, 1 robe de jour, 2 jupes et 3 tee-shirts

Moi : merci beaucoup ma puce

Gr : de rien ça me fait plaisir tu es ma sœur

On parla encore jusqu’à 20h puis il fallait qu’elle rentre, on est allé dire aurevoir à papa puis elle lui dit

Gr : tonton jean demain c’est vendredi et comme l’école reprend dans une semaine est ce qu’on peut sortir demain on va à un concert avec Mauricette ?

Papa : hum les histoires de boîte de sortir la nuit-là je n’aime pas trop ça

Gr : stp tonton

Papa : bon ok on verra ça

Gr : merci tonton

Puis je l’accompagnais prendre son taxi et au retour je prenais des brochettes quand j’arrivais papa et maman mangeaient

Moi : bonne apetit

Eux : merci

Papa : tu ne manges pas ?

Moi : non c’est bon

J’ai pris une fourchette et j’ai mangé dans la cuisine puis direction la chambre. J’ai lancé l’appel

Clé : oui ma toute douce

Moi : clément ça va ?

Lui : oui et toi ?

Moi : ça va

Lui : tu me manques

Moi : toi aussi

Lui : j’ai envie de te voir

Moi : moi aussi mais aujourd’hui ce n’est pas possible mais demain oui

Lui (ravi) : chouette on dort ensemble ?

Moi : on verra bien bon aller je te laisse bisous

Lui : bisous

On raccrocha et même pas 5 minutes MDP appela

Moi : allô

Lui : mon ange ça va ?

Moi : oui et toi ?

Lui : ça va mais tu me manques tellement

Moi : humm beau parleur

Lui : je suis sérieux

Moi : bon beh samedi on se voit si tu veux

Lui : journée à l’hôtel

Moi : ok ça me va ?

Lui : bon je te laisse

Moi : ok bisous

Je raccrochais et j’eux envie de parler à ma complice Urielle. (Message)

Moi : je pense à lui

Ur : qui ?

Moi : le bébé de la boîte là j’ai envie de ngass pour de vrai avec lui j’avais jouie pour de vrai

Ur : kiakiakia mais on ne sait pas même pas où il se trouve tu es nase hein

Moi : mal… bon je vais péter un bon coup et dormir. Bonne nuit ma fesse tu me manques

Ur : bonne nuit à toi ma poule

A vrai dire je ne me souvenais plus trop de son visage mais, les sensations de ses mains sur mon corps… Grr Mauricette dort l’amour ce n’est pas pour toi tu as des objectifs….

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