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Chapitre 04

Mon plus long chapitre je crois bien ! Bref c’est pour vous prévénir que j’ai changé la description de monsieur Stevenson, je n’arrive pas à l’imaginer aux cheveux chatains, taille normale au teint bronzé et tout. Mais je l’imagine plus aux cheveux noirs très foncés, au teint pale, grand, aux yeux bleus, un peu comme Jérémy Kapone avec le teint plus pale et avec les cheveux noirs en bataille et des yeux bleus. J’ai mis une image pour mieux l’imaginer.

Mercredi 5 septembre

Il n’a toujours pas rendu nos expressions écrites, NO STRESS Sophie. J’ai vu Jordan embrasser Julie dans la cour, connard. C’est un connard. Il veut jouer ? Alors la partie vient juste de commencer. Enfin je dis ça mais ce n’est pas comme si j’avais les « armes » nécessaire pour jouer là.

Mon réveil sonna. « Oh non ! » grommelai-je. Rien que le fait d’aller en cours me dérangeait. Mais bon aujourd’hui on a anglais en première heure et rien que ça me donnait envie d’y aller ! Je me levai de mon lit pour prendre une douche. Ma chambre était grande, un peu en bordel. Les murs de ma chambre étaient rouges, remplis de posters, de photos souvenirs. Sur mon bureau se trouvait quelques cahiers, une trousse, et d’autres affaires, sans oublier mon ordinateur que j’aime tant. Aujourd’hui je me suis faite belle, j’ai lissé mes cheveux blonds qui sont d’habitude bouclés, j’ai pris du mascara à ma mère car je n’ai pas de maquillage. J’ai mis deux ou trois gouttes de mon parfum, Lolita Lempicka j’adore ! J’enfilais mon jeans destroy préféré, un tee-shirt avec une tête de mort en strass et des converses… noires.

Je me depêchais de prendre mon petit déjeuner et j’ouvris la porte d’entrée. Laura, comme tous les matins m’attendait, mais elle avait l’air triste.

« Oh qu’est-ce que tu as ma chérie ? » m’inquiétai-je. Après 20 secondes de silence, elle ne me répondait toujours pas.

« C’est Julien ? Si oui je –« . Elle m’interrompa en gloussant. Je ne comprenais rien à rien.

« AHAHAHAHAH ! Tu m’as bien cru hein ! » Oh mon dieu pourquoi ai-je une meilleure amie aussi folle ?

« Bouffone va ! » m’énervai-je d’un air faussement énervé.

« Sinon tu es trop belle aujourd’hui sérieux ! C’est pour qui ? » me questionna-t-elle. Elle me tapait du coude en rigolant. En pensant au prof je sentais mes joues en feu, Laura par contre n’hésitait pas à m’envoyer des clins d’œil sans arrêter de rigoler. En parlant du prof, j’espère qu’il a corrigé ces expressions écrites !

« Rien il faut se dépêcher, on sera en retard sinon ! » pour éviter cette conversation, je mis mes écouteurs et on se dirigea vers le lycée.

J’étais dans sa voiture, les cheveux mouillés, ils ont commencé à friser, je déteste ça ! Mes habits et mes converses étaient trempées elles aussi. J’avais froid et je me contentais de regarder les gouttes se courser sur la fenêtre. Je voyais quelques éclairs au fond, ce n’était pas qu’une petite pluie en fait ! J’avais froid, je grelottai, il l’a remarqué et m’a donnée sa veste. Il me regardait de temps en temps en me souriant, son sourire était rassurant et me réchauffait le cœur. Je lui rendait des sourires timides. Je jouais avec mes mains, comme quand je suis stressée.

Vous êtes en train de vous demander où est-ce que je peux bien être ? Je vous explique tout de suite !

Il les a corrigées et maintenant, il va nous rendre nos copies, je stressais à mort, mes mains étaient moites. Moi qui suis bonne en anglais, je ne devais pas stresser, mais SI je stressais quand même ! Monsieur Stevenson s’approcha vers moi, un sourire en coin pour me rendre ma copie.

« Sophie Brois, la meilleure note de la classe, je te félicite ! 19,5/20, c’est très bien. Tu viendras me voir à la fin de l’heure, s’il te plaît. » il n’arrêtait pas de me sourire, et moi je sentais mes joues en feu. Maintenant tout le monde me regardait, je détestais être le centre de l’attention, et c’est ce qui arrivait. Julie, l’allumeuse de la classe, ou celle qui s’est tapé plus de 5 mecs l’année dernière me lançait un regard noir. Apparemment elle avait des vues sur monsieur Stevenson, et ça ne lui a pas trop plu que j’aie la meilleure note. Julie était brune, aux yeux marrons, bien foutue. Quand je pense qu’avant on était amies… Son regard noir me rappelait quelque chose. Une période vraiment difficile pour moi.

C’était en 5ème je m’en souvenais très bien. J’avais des vues sur Quentin, j’ai fait l’erreur de le dire à Julie qui elle n’a pas perdu son temps et est sortie avec lui, car il avait des sentiments pour elle. Vous allez me dire qu’on était en 5ème et que ce n’était pas sérieux mais je l’avais mal pris. Et ce n’est pas le pire, elle a même mis presque toute la classe contre moi, même Laura est entrée dans son jeu.

Je me suis fait traitée de ‘grosse’, on me tapait tout les jours au collège, je n’avais plus d’amis personne ne m’aimait, moi non plus d’ailleurs je ne m’aimais plus, toute confiance en moi avait disparu. Je ne savais même ce que je leur avais fait, ce que j’avais fait à Julie, je ne méritais rien de tout ça, personne ne le méritait. J’avais 12 ans merde ! Je n’avais rien demandé… C’est là que je suis entrée dans cette spirale, où tu ne peux plus rien faire pour t’en sortir. Je suis devenue anorexique. Je ne vais pas entrer dans les détails c’était déjà assez difficile pour moi.

« T’es trop forte toi, je suis trop ridicule moi avec mon 13.5 ! « Laura me sortit des mes pensées.

« Hmm ouais. » marmonnai-je.

« T’es bizarre depuis ce matin toi. » remarqua-t-elle. « Bref Julie a trop le seum là, elle se la jouait avec son 15.5 ! » elle se mit à rire furtivement, en regardant Julie au loin.

« Ouais. » ma voix était neutre et… passive.

« Tu n’es pas trop bavarde aujourd’hui toi. » déclara Laura, concernée.

« Bah j’essaye un peu d’écouter ce que le prof dit, tu devrais faire pareil ma vieille. » préconisais-je, avec un ton moins neutre et plus amusé. Elle s’est tue et s’est mise à suivre le cours, c’est fou comme elle est docile ma Laura ! Le prof voulait faire une autre expression écrite, qui avait pour titre ‘What is your biggest talent ? Write about it in 250 words’, simple ! On devait commencer, là tout de suite du coup j’ai sorti une feuille, j’ai mis la date, le titre, la cartouche pour la note et l’appréciation, puis j’ai commencé à écrire. J’ai déjà noté pas mal de trucs et à un moment j’ai fait une petite pause histoire de reposer ma main. J’observais les gens dans la classe. D’abord Laura, qui mâchouillait son stylo en regardant sa feuile comme si elle lisait du chinois, après Julie qui écrivait sur sa feuille rapidement comme si sa vie était en jeu, Julien qui observait attentivement des pigeons par la fenêtre. La chaise du professeur n’était pas occupée, bizarre… J’ai senti une présence derrière moi, je levais la tête, c’était le professeur d’anglais, les effluves de son parfum châtouillait mon nez.. Je ne vous ai pas dit que je détestais quand les profs observaient ma copie pendant les devoirs sur table ? En 3ème en maths quand on avait un test, le professeur avait cette manie de toujours regarder ma copie et de me dire que la plupart de mes réponses étaient fausses, vraiment encourageant vous ne trouvez pas ? Ne vous demandez pas après pourquoi j’avais 8 de moyenne en maths. Revenons au cours d’anglais on n’est pas là pour parler des maths, même si j’avais deux heures juste après anglais. Je regardais le prof en souriant, un de ces sourires gênés qui voulaient dire ‘Vous pouviez partir s’il vous plait ?’. Il a du comprendre car il est parti voir la copie des autres.

DRIIIIIIING

La sonnerie retentit, monsieur Stevenson ramassait nos copies. Je comptais sortir, quand je me suis souvenue que je devais rester. Tous les élèves avaient vidé la salle. Je m’approchais doucement du bureau de monsieur Stevenson. Il finissait de ranger ses affaires et joignit ses mains. Et en me souriant pour la enième fois dans la journée, il débuta la conversation.

« Ton expression écrite est très bien rédigée, tu as eu la meilleure note de la classe. Dis-moi tu as des origines anglaises ? Tes parents sont bilingues ? »

« Aucun de tout ça en fait. » comme d’habitude, lorsqu’il s’agissait de ce prof je me suis mise à rougir.

« Je ne mange pas hein. » je pouvais sentir de l’amusement dans sa voix. Je relevai la tête, toute timide et je pris mon courage à deux pour lui parler.

« Oui en fait j’ai toujours été confortable en anglais, je suis comme fascinée par cette langue si vous voulez. Je regarde des films et séries en anglais, je lis des livres en anglais. J’adore cette langue, d’ailleurs j’aimerai faire le même travail que vous plus tard. »

« D’accord, c’est là d’où vient cette aise en anglais. » Il passa une main dans ces cheveux tout ébouriffés, oh mon dieu est-ce qu’il savait à quel point il était beau gosse quand il faisait ça ? « Bon euh… J’ai quelque chose à te demander… » Il avait l’air gêné.

« Oui… ? »

« Oui euh… Bon voilà j’ai lu ton texte, et… »

« Vous vous demandez si je vais bien après cette dure période ? »

« Oui c’est ça… Et puis si tu ne veux pas m’en parler je comprendrais… » il me lança un regard plus prudent et moins amusé, je voyais une lueur de peur dans ces yeux, il avait peur que je le rejette. Et c’est pourtant ce que je comptais faire. J’avais tellement envie de lui en parler je vous jure, personne ne m’avait posé cette question avant, même pas Laura… J’avais tellement envie de tout lui dire. Mais non comme une conne j’ai encore rougi, j’ai bafouillé que je devais y aller et que ça ne le regardait pas. Sans attendre sa réponse je suis sortie de la salle. Oh mon dieu il doit trop me trouver ridicule maintenant. Je me dirigeai maintenant en maths, j’étais en retard en plus oh mon dieu. Combien de « oh mon dieu » vais-je dire en une journée ?

Au self avec la bande on s’est mis sur notre table habituelle. On parlait de tout et de rien. On parlait des ragots, comme le fait que Jordan était peut être en couple avec Julie, et que madame Fitch avait des vues sur monsieur Stevenson… ce qui était complètement dégueulasse, elle pouvait être sa grand-mère !

« Les gars je fais une soirée samedi soir, ramenez-vous ! » informa Quentin. Qui ne ratait pas les soirées de Quentin sérieux ? Elles ont toujours été un succès ! Il y avait toujours de l’ambiance et pleins de gens à ses fêtes.

« T’inquiètes pas mon lapin, on ne raterai ça pour rien au monde. » répliquais-je un sourire en coin, il détestait quand je l’appellais comme ça !

« Ne m’appelle pas comme ça ! » protesta Quentin en rigolant « Alors, comme ça madame a eu la meilleure note en anglais ? »

Anglais… Monsieur Stevenson …

Je n’ai pas répondu, trop occupée à cupbabiliser, je n’ai pas bien réagi ce matin, je m’en veux….

« Elle a eu 19.5/20 ! Vous auriez trop du voir Julie, elle avait trop le seum ahahahah » répliqua Laura « Le prof n’avait que de yeux pour Sophie après ! » que de yeux our moi ? Il était content pour ma note mais pas jusqu’à avoir que de yeux pour moi ! Et si c’était vrai…. ? Je n’avais pas trop remarqué son regard, mais Laura, si.

« Ah bon ? Le professeur n’avait que de yeux pour toi Sophie ? » me demanda Quentin, en soutenant mon regard. Quentin était vraiment pas mal. Il avait les yeux gris, les cheveux blonds avec une mèche, il était grand. Allez savoir pourquoi je l’aimais avant.

« Bah… Je ne sais pas, il regardait tous les élèves quoi. »

« Mon œil ! » dit Laura en rigolant, « Tu sais je te taquinais, il te regardait à peine. »

« BREF, on fera quoi en sport tout à l’heure ? » j’ai voulu changer de sujet.

« Euh je crois bien qu’on aura basket ! » répliqua Julien.

« La chance ! Nous on a deux heures d’espagnol ! » riposta Fatouma.

« Pas de chance Fatouma et Quentin ahahahah ! » se moqua Imane.

On continuait à parler de tout et de rien. Depuis notre conversation sur monsieur Stevenson, Quentin ne me quittait pas du regard, ce qui avait tendance à me mettre mal à l’aise.

La sonnerie retentit et je me dirigeai vers les vestiaires avec Imane et Laura. On s’est changées en trois minutes chrono, il ne fallait pas perdre de temps.

Aujourd’hui en sport on a basket. J’abhorrais ce sport. Mais bon on avait deux heures de ça donc il fallait faire preuve de courage. D’abord le prof nous a ressorti son bon vieux discours qu’il nous fait tous les ans, en expliquant les règles de sécurité, les activités extra-scolaires, patati et patata. Une demi-heure plus tard on a enfin commencé. Je n’aime pas pas basket, mais je n’aime encore moins ses vieux discours. Pour l’échauffement il fallait faire trois tours du terrain.

Après les trois tours les garçons et le prof sont partis chercher les ballons de basket. Quand ils sont revenus, pour la suite de l’échauffement il fallait faire des dribbles et passer la balle à son partenaire, j’ai fait l’échauffement avec Imane et après elle m’a laissée pour aller s’entrainer avec Laura, je la comprends je suis tellement nulle au basket. La dernière partie de l’échauffement consistait par groupes de deux, à faire des petits matchs, c’était Laura et Imane contre Julia et moi. Julia est une fille dans ma classe, elle est sympa mais on ne se parle pas trop souvent, mais comme on était toutes les deux seules, on s’est mises ensembles. On venait juste de commencer le petit match quand Julia s’est tordue la cheville, et Julie a insisté pour l’accompagner à l’infirmerie. Une autre fille a donc remplacé Julia. Et le match pouvait continuer.

DRIIIING

A cette heure-là, on avait de la philosophie mais la prof n’était pas là du coup Laura, Julien, Imane et moi on s’est dirigés vers la bcdi. On s’est mis à une table pour faire nos exos de maths tranquillement. On galérait un peu du coup on a décidé de laisser tomber. Une demi-heure plus tard, Julien et Laura sont partis se retrouver un peu, il ne restait plus qu’Imane et moi. On a essayé de se concentrer sur les exos de maths qu’on a pu faire jusqu’à la fin de l’heure. Imane devait partir pour je ne sais quoi et moi, ayant la flemme de rentrer, je suis restée à la bcdi.

En sortant de la bcdi je me suis rendue compte qu’il faisait nuit, il allait pleuvoir. Je n’ai pas prévu de parapluie quelle conne ! En sortant du bahut il s’est mis à pleuvoir, c’est malin ! J’ai vu Julie passer devant moi avec son parapluie sans me regarder et entrer dans sa voiture. Argh je la déteste ! Et en attendant mes pieds sont trempés. Au fur et à mesure que je marchais pour rentrer chez moi, la quantité de pluie augmentait. Quand j’arrivais vers une route où des voitures attendaient le feu vert, à 20 minutes de chez moi, mes converses nageait dans l’eau, c’était horrible.

J’entendis une voiture klaxonner derrière moi, je me retournai, le propriétaire baissa sa vitre, c’était monsieur Stevenson !

« Tu veux que je te dépose chez toi ? Avec cette pluie… » proposa-t-il.

« Euh non je ne veux pas déranger… » bafouillai-je.

« Arrête de toujours croire que tu me déranges, allez monte ! » dit-il vivement, tout en souriant. Il m’ouvrit la portière et j’entrai dans sa voiture.

« Tu habites où ? » je lui dis mon adresse et il se mit en route. J’étais maintenant dans sa voiture, les cheveux mouillés, ils ont commencé à friser, je déteste ça ! Mes habits et mes converses étaient trempées elles aussi. J’avais froid et je me contentais de regarder les gouttes se courser sur la fenêtre. Je voyais quelques éclairs au fond, ce n’était pas qu’une petite pluie en fait ! J’avais froid, je grelottai, il l’a remarqué et m’a donnée sa veste. Il me regardait de temps en temps en me souriant, son sourire était rassurant et me réchauffait le cœur. Je lui rendait des sourires timides. Je jouais avec mes mains, comme quand je suis stressée. Je n’aimais pas le silence et même si on se connaissaient à peine et que c’était mon prof, j’ai commencé la conversation.

« Euh… Merci et euh… Je voulais m’excuser pour ce matin… J’ai mal réagi… Je… »

« Sophie, c’est moi qui ne me suis pas bien comporté, je suis ton prof je n’ai pas à te poser des questions comme ça… » sa voix était douce et calme.

« J’aurais voulu vous dire comment j’allais après cette période, mais personne ne m’avait posé cette question avant et –«

« C’est bon Sophie, ce n’est pas grave, tu n’es pas obligée de tout me dire. On oublie d’accord ? » il me regardait en souriant et mis sa main libre sur mon épaule, qu’il caressait avec son pouce. Un sentiment de bien-être traversa mon corps, je me sentais bien, j’avais envie de rester seule, avec lui dans cette voiture. Il retira sa main et mis la radio et vous ne devinerez jamais la chanson qui est venue. C’était « Baby One More Time », pas celle de Britney Spears mais la reprise du groupe Bowling For Soup. J’ADORAIS cette chanson, je la connaissais par cœur oh mon dieu !

‘’J’adore cette chanson, je la connais pas cœur ! » s’exclama monsieur Stevenson, enthousiaste. Il a lu dans mes pensées ou quoi ?

« Moi aussi ! ». Je n’aurais jamais cru faire ça, je viens de chanter à tue-tête une de mes chansons préférées avec mon prof d’anglais, et ce n’est pas seulement cette chanson. Des chansons de Bullet For My Valentine sont passées, et il adorait ce groupe aussi ! A croire que la radio fait exprès de mettre toutes les chansons qu’on aimait ! On du chanter ensemble 5 chansons en tout. Je n’étais pas encore arrivée chez moi, à croire qu’il faisait exprès lui aussi, de prendre la route la plus longue. Mais bon cela m’arrange un peu. Quand on est arrivés (oh non), il avait fini de pleuvoir, je lui ai rendu sa veste.

« Merci monsieur, bonne soirée. » dis-je poliment, même si on venait de chanter à tue-tête 5 chansons comme des vieux potes. Et j’ai fermé sa portière. Je me dirigeai vers la porte d’entrée de ma maison quand j’entendis le prof ouvrir une portière de sa voiture, je me retournai, il s’approcha de moi.

« Je pourrais te demander quelque chose… ? » me questionna-t-il en passant sa main sur sa nuque.

Voilà c’est tout pour le chapitre 4, j’espère que vous l’aviez aimé ! :D

Il y’aura plus d’action dans le prochain chapitre et ce sera raconté du point de vue de Quentin histoire de changer un peu.

Bisous !

@road_to_infinite

AU FAIT : j’ai commencé une nouvelle histoire, qui s’appelle Begin the End. Allez y jeter un p’tit coup d’œil.

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