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#Amour Amer

#Auteur : Müdøy

#Épisode 3

Et effectivement ce jour là j'suis dormi le ventre vide.

Ma mère était très remonté contre moi.

Je la supplia par contre de ne rien dire à papa.

Elle accepta à une condition que je renonce à Salif.

C'était impensable pour moi de le faire.

J'aimé inconditionnellement mon homme.

Le lendemain ma mère était toujours remonté contre moi.

Dans sa folle rage, elle alla rendre visite à la famille de Salif.

Ehh ben comme vous pouvez le croire c'était de loin une visite de courtoisie.

Ma mère tapa un scandale, elle avait complètement humilié la famille de Salif.

Et ordonna Salif de n'est plus jamais mettre ses pieds chez nous ni même me fréquenter.

J'avais vraiment honte de ce qu'avait fait ma mère.

Le dimanche alors que tout le monde devrait aller à l'église moi de mon côté je simula une maladie pour n'est pas y aller.

Quand tout le monde parti donc je me rendis aussitôt voir Salif, ça faisait une semaine qu'on c'était pas vue depuis...

Il était tellement content de me revoir.

Moi encore plus.

— Tu m'a beaucoup manqué mon cœur.

Lença Salif.

— moi énormément même.

Tout de toi m'avait manqué...

Avais-je dis.

— ta mère ne veux vraiment pas qu'on soit ensemble.

— elle finira par être d'accord.

L'amour triomphe toujours.

Je vous demande pardon de sa part.

— t'inquiète pas, il faudrait qu'on tient bon.

Je dois bosser dur quand j'aurai l'argent elle va sans doute m'accepter comme gendre.

Et ton père est-il au courant pour notre relation ?

— Non, et surtout pas lui.

Il risque de te faire du mal s'il l'apprend.

Mon père est très méchant.

Salif baissa la tête semblant réfléchir.

Il avait une tête de chien abattu.

Mon homme me faisais pitié...

— je déteste vraiment cette situation de galère.

Pourquoi seulement moi?

À cause de ma galère je risque de perdre l'amour de ma vie.

— ça va pas arriver mon Salif.

Il faudrait qu'on soit fort pour notre amour.

— mais vois-tu pas?

Ça fait déjà trop d'obstacles...

Ta mère à traité la mienne tout le nom d'oiseaux.

— j'suis vraiment désoler ?

— j'ai vraiment besoin d'avoir beaucoup d'argent pour m'éviter tout ce genre d'honte.

Quand j'aurai l'argent sans doute que ta famille va finir par me laisser entrer légalement dans ta vie.

Je cette déteste la galère j'en peux plus.

— Dieu n'est pas aveugle mon chéri, il finira par bénir ton dur travail, continue toujours à étudier t'auras un meilleur lendemain pour nous.

Je te fait aveuglément confiance, et je serai toujours là pour te soutenir.

— Merci beaucoup pour ton aide.

Mais je commence à douter sérieusement de Dieu.

Depuis que je lui prie ma vie ne change pas même d'un iota.

Toujours Indemne, comme vais-je continuer mes cours si j'ai pas l'argent de payer les frais accademique ?

— Dis pas ça, Ne doute pas de Dieu...

— et pour quel raison devrais-je n'est pas le faire ?

Moi j'ai besoin d'argent et j'en aurai par tout le moyen.

même sans l'aide de Dieu.

— mais quesqui t'arrives ?

Voit aussi le bon côté mon amour.

Grâce à Dieu t'as au moins un petit travail.

— oui t'as peut-être raison.

Et d'ailleurs grâce à lui je t'ai toi.

T'es la plus belle chose qui me soit arrivé.

tu illumine ma vie.

Ton sourire angélique me fait oublier tous mes soucis.

ton humour et ta tendresse et pour moi comme du miel vive.

Tout de toi et juste magnifique.

Je t'aime énormément ne l'oublie surtout pas.

— ça me va droit au cœur, moi aussi je t'aime de tout mon être.

Ce dimanche je la passa dans les bras de mon homme qui me racontais des histoires romantique.

Et d'autres histoires drôles qui me faisait tellement rire.

C'était tellement beau.

Au delà de sa timidité je découvra un Salif très romantique.

Ses dans les bras dessous dessus que maman Linda sa mère nous retrouva.

Elle était réticente au début.

redouta de nouveau la réaction de ma mère.

Oui ma mère avait réussi à semé la terreur en elle.

Mais je la rassura aussitôt de ne pas s'en faire.

ma mère finira par retomber sa fureur.

même si je ne pensais pas réellement ce que j'avais dit, c'était juste pour la rassurer.

après cela elle nous prépara le sanfu que nous dégustâmes avec appétit.

J'étais tellement heureuse.

Le jour passa et Malgré l'opposition de ma mère, je continué toujours d'aller voir Salif en secret.

Loin de regard de tout le monde.

Mais ce que j'ignorai était que ma mère avait chargé de personnes pour suivre me moindre fait et geste.

Alors quand je fréquenté mon Salif en secret, ce dernier je vais dire les personnes que ma mère avait engagé, lui raconta tout mes déboires avec Salif.

Un jour je revenais comme d'hab de chez Salif.

Arrivé à la maison tout était calme.

J'entra donc dans le salon et je retrouva mon père assi avec un visage grave, ce qui présumé rien de bon.

et à ses côtés était assise ma mère qui me regardait avec dédain.

— La voilà qui revient comme une sainte ni touche.

Lança ma mère.

— AÏSHA approche toi.

avait enchéri mon père.

J'avança vers eux à pas de camelion.

J'aurais parié ma vie que ma mère avait déjà tout dis à mon père concernant ma relation amoureuse avec Salif.

Et c'était évident, j'avais énormément peur.

— Aïsha dis moi la vérité, cet homme que je peux nourrir pendant 1000 ans est ton fiancé ?

— oui...oui père !

Je me demanda sûrement où esque j'avais trouvé le courage pour affirmer celà à mon père.

Il se leva rouge de colère.

— DONC TU VEUX ME DIRE QUE JE DÉPENSÉ ÉNORMÉMENT SUR TOI POUR QUE TU PUISSE FINIR AVEC CE VA-NU-PIEDS ?

Je baissa la tête tout honteuse.

— faut dire hein.... répond.

Argumenta ma mère.

— donc t'as rôdait partout dans le pays et t'as pas trouvé un mari pour tombé sur ce malheureux ?

— père il est peut-être pauvre aujourd'hui, mais on connaît pas son lendemain j'suis sûr qu'il...

J'avais même pas fini ma phrase que mon père m'administra deux bonne giflé qui obscurèrent ma vue.

— t'as encore l'audace de parlé idiote.

Mon père se calma petit à petit, et il me parla de nouveau fermement.

— à partir de ce jour, tu vas plus sortir de la maison, les cours c'est fini pour toi.

Tu va attendre jusqu'à ce le fils de mon ami qui est à l'occident viens t'épouser.

Tu as de la chance, il m'a déjà payé ta dote.

Donc il viendra demandé ta main comme la coutume l'exige au plus tard la semaine prochaine.

Pour l'instant tu demeurera emfermé dans ta chambre.

Mon père me traîna donc dans ma chambre et la ferma à double tour.

J'étais condamné à mon propre sort.

Je pleura tout les larmes de mon corps.

À la seul idée de perdre mon Salif et de subir un mariage forcé ?

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