Chapitre 6
CINDY
Merci de m'avoir emmenée, chérie", dis-je à mon petit ami qui se gare à l'extérieur de l'entreprise, "Je parie que je serai la première à arriver.
Je pense que oui, tout a l'air vide", a-t-il souri et acquiescé, "Abigail n'était pas fâchée que vous ne soyez pas venus ensemble ce matin ?
Non, elle avait un rendez-vous chez le médecin et serait un peu en retard", ai-je expliqué, "Bon, j'y vais, c'est toi qui seras en retard, à plus tard".
Il dépose un baiser sur ses lèvres.
Je t'aime", sourit-il comme un fou amoureux.
Je sors ensuite de la voiture, en entrant dans l'entreprise je me rends compte qu'il n'y a effectivement personne à l'exception d'un monsieur de l'administration, je le salue poliment avant de monter dans l'ascenseur.
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je suis déjà dans mon appartement, je range mes affaires sur mon bureau et je relis quelques feuilles de papier que je suis sûr d'avoir laissées en correspondance, deux sont destinées à mon patron et deux à M. Moore.
Je prends les deux premiers pour les laisser dans le bureau de M. Turman et, en ouvrant la porte, je m'arrête dans mon élan, le regardant endormi sur son canapé.
Mon cœur se met à battre très fort quand je vois son torse nu, c'est un parfait six pack formé par les reliefs de sa peau grâce à ses abdominaux, il a un bras fléchi au-dessus de ses yeux ce qui le rend encore plus marqué, le bas est recouvert d'une petite couverture qui ne couvre pas grand chose mais il a son pantalon.
Que fais-tu ici, as-tu dormi ici ?
Je prends une inspiration pour me concentrer sur ce que je suis venu chercher bien que ce soit impossible avec une telle vue, j'avance lentement jusqu'à son bureau et laisse les draps dessus, je me retourne et m'approche lentement du corps endormi de mon patron, je me mords la lèvre inférieure avant d'effleurer le bras au-dessus de son visage.
-Elle se lève rapidement et attrape sa chemise qu'elle enfile en un clin d'œil, fermant les boutons comme si elle était en train de courir.
C'est bon, c'est son bureau", murmure-je en détournant le regard.
-Euh... oui, je suis revenu plus tard dans la soirée parce que j'avais un travail et....
-Ne t'inquiète pas de mentir", nos yeux se rencontrent, "Cela arrive parfois dans les mariages", je peux voir la douleur dans ses yeux, "Je vais te trouver un costume et un petit déjeuner".
-Je ne sais pas ce que je ferais sans toi". Il me laisse une tendre caresse sur la joue et se dirige vers sa salle de bain personnelle.
Je me retiens de laisser échapper un soupir et de me mettre dans l'embarras, alors je ferais mieux de me dépêcher d'aller chercher le matériel.
Je ne peux pas croire que M. Turman et sa femme soient mauvais, c'est vrai qu'elle a un fort caractère mais il l'aime quand même, il sait comment gérer ses humeurs, même si en regardant de ce côté, c'est peut-être la dame qui l'a renvoyé de la maison, mais pourquoi, Patrick Turman est l'homme le plus fidèle, le plus bon et le plus flatteur que je connaisse dans ce monde, il est comme un plus grand Carlo et pourquoi le nier, le plus gentil aussi.
Je n'aurais eu aucun problème à le ranimer dans mon appartement et à le réconforter un peu, peut-être avec... Je secoue la tête à mes pensées obscènes, .
Après avoir pris mon petit-déjeuner, qui se résume à des fruits et du jus d'orange, je vais porter un costume dans le style de M. Turman.
Je rentre dans le bureau, laisse mon petit déjeuner sur le bureau et m'approche de la porte de la salle de bains.
Monsieur Turman", frappe-t-il lentement.
Il ouvre la porte, sa chemise est déboutonnée, je lutte intérieurement pour ne pas baisser mon regard sur son abdomen mais l'envie me trahit, quand je réalise je le regarde immédiatement dans les yeux et de nouveau mon corps qui est contre moi fait un pas de plus vers le grand homme en face de moi.
CINDY
Merci de m'avoir emmenée, chérie", dis-je à mon petit ami qui se gare à l'extérieur de l'entreprise, "Je parie que je serai la première à arriver.
Je pense que oui, tout a l'air vide", a-t-il souri et acquiescé, "Abigail n'était pas contrariée que vous ne soyez pas venus ensemble ce matin ?
Non, elle avait un rendez-vous chez le médecin et serait un peu en retard", ai-je expliqué, "Bon, j'y vais, c'est toi qui seras en retard, à plus tard".
Il dépose un baiser sur ses lèvres.
Je t'aime", sourit-il comme un fou amoureux.
Je sors ensuite de la voiture, en entrant dans l'entreprise je me rends compte qu'il n'y a effectivement personne à l'exception d'un monsieur de l'administration, je le salue poliment avant de monter dans l'ascenseur.
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je suis déjà dans mon appartement, je range mes affaires sur mon bureau et je relis quelques feuilles de papier que je suis sûr d'avoir laissées en correspondance, deux sont destinées à mon patron et deux à M. Moore.
Je prends les deux premiers pour les laisser dans le bureau de M. Turman, et en ouvrant la porte, je m'arrête dans mon élan, le regardant endormi sur son canapé.
Mon cœur se met à battre vite quand je vois son torse nu, c'est un parfait six pack formé par les reliefs de sa peau grâce à ses abdominaux, il a un bras fléchi au-dessus de ses yeux ce qui le rend encore plus marqué, le bas est recouvert d'une petite couverture qui ne couvre pas grand chose mais il a son pantalon.
Que fais-tu ici, as-tu dormi ici ?
Je prends une inspiration pour me concentrer sur ce que je suis venu chercher bien que ce soit impossible avec une telle vue, j'avance lentement jusqu'à son bureau et laisse les draps dessus, je me retourne et m'approche lentement du corps endormi de mon patron, je me mords la lèvre inférieure avant de toucher le bras au-dessus de son visage.
-Elle se lève rapidement et attrape sa chemise qu'elle enfile en un clin d'œil, fermant les boutons comme si elle était en train de courir.
C'est bon, c'est son bureau", murmure-je en détournant le regard.
-Euh... oui, je suis revenu plus tard dans la soirée parce que j'avais un travail et....
-Ne t'inquiète pas de mentir", nos yeux se rencontrent, "Cela arrive parfois dans les mariages", je peux voir la douleur dans ses yeux, "Je vais te trouver un costume et un petit déjeuner".
-Je ne sais pas ce que je ferais sans toi". Il me laisse une tendre caresse sur la joue et se dirige vers sa salle de bain personnelle.
Je me retiens de laisser échapper un soupir et de me mettre dans l'embarras, alors je ferais mieux de me dépêcher d'aller chercher le matériel.
Je ne peux pas croire que Mr Turman et sa femme soient mauvais, c'est vrai qu'elle a un fort caractère mais il l'aime quand même, il sait comment gérer ses humeurs, même si en regardant de ce côté, c'est peut-être la dame qui l'a renvoyé de la maison, mais pourquoi, Patrick Turman est l'homme le plus fidèle, le plus bon et le plus flatteur que je connaisse dans ce monde, il est comme un plus grand Carlo et pourquoi le nier, le plus gentil aussi.
Je n'aurais eu aucun problème à le ranimer dans mon appartement et à le réconforter un peu, peut-être avec... Je secoue la tête à mes pensées obscènes, .