CHAPITRE 2
Les paroles de Fréjus resonnèrent dans l'esprit de Marcelline..
Elle ne savait plus comment faire.
Sur ce, Fréjus se dirigea directement vers sa chambre dans le but de s'apprêter avant la nuit.
.
Il faisait totalement nuit, toute la famille y compris la bonne étaient au lit comme convenu et pour suivre les conseils de son petit patron, Marcelline ne ferma pas sa chambre à clé.
.
Cette nuit là, Fréjus ne dormait pas, il attendait le bon moment pour tenter son coup
.
A 02h du matin, il constata que toute la famille dormait déjà.
Ainsi, il se leva sur la pointe des pieds et alla ouvrir la porte de Marcelline, celle-ci était totalement nue et avait oublié de mettre son draps.
Ainsi, toute les parties sensibles étaient devant Fréjus
.
À la vu de ses cuisses, son sexe se mettait à se lever comme pour attaquer.
Fréjus était sur le point de se glisser quand une mains le toucha pas les épaules derrière
.
Hum.... Qui ça pourrait être ?
Tu cherches quoi ici ? lui lança papa.
.
Fréjus: Quoi ?? quoi ?? mais papa vous ne dormez pas ??
.
Papa: j'ai demandé ce que tu faisais ici ?
.
Papa Fréjus Repris à voix base pour ne pas réveiller la famille
.
Fréjus : Bien, j'étais venu voir si tout étais en ordre dans la maison et surtout voir si Marcelline avait fermé sa porte
.
Papa: Venir voir si elle a fermé sa porte
C'est toi le chef ici ?? C'est ce que je suis venu voir aussi, c'est mon rôle en tant que père de famille
Aller, va dans ta chambre
.
Fréjus, d'un sursaut retourna dans sa chambre et se posait plus questions sans réponse ,
Que cherchait papa devant la porte de Marcelline dans cette nuit là ?
Avait-il les même idées que moi ??
Non non, jamais maman est là et pourquoi Marcelline encore ??
.
En se posant toutes ces questions sans réponses, il se plongea dans son sommeil pendant que papa interrompit par son fils ne pouvait plus avoir la chance de toucher la belle créature qui étais devant lui, retourna dans la chambre où maman Fréjus était assise dans le noir au bord du lit et attendait impatiemment que son mari allume la lumière pour passer aux interrogations
.
Juste au moment où papa allumait la lampe qu'il vit sa femme qui était assise et qui lui lança:
.
Maman: chéri où étais tu passé ??
.
Papa: J'avais soif et j'ai dû me lever pour aller chercher du jus dans le frigo, je ne voulais pas te réveiller excuse moi si je l'ai fait finalement chérie.
.
Sûr d'avoir convaincu sa femme, mais celle ci le regardait avec un air très suspect..
.
Maman: chéri, tu sais que je t'aime beaucoup, et je ne veux pas de problème entre nous, j'ai vu comment tu regardais la bonne depuis son arrivée ici, et je risque de la renvoyer d'ailleurs d'ici peu
.
Papa: Non non, chérie t'en prends pas à elle, et moi je j'étais à la cuisine pour chercher de l'eau, la bonne n'a rien faire, laisse là tranquille
.
Maman : OK c'est compris.
.
Papa: bb , c'est la jalousie ou bien, tu sais que je t'aime aussi non ?
.
Et pour influencer maman afin qu'elle puisse oublier cette scène, il s'approcha de sa femme et commença à l'embrasser, celle-ci emportée par ces gestes, oublie très rapidement ce petit problème et consomma immédiatement le fruit de cette nuit..
.
Et bien papa avait remplacé l'envie qu'avait créé Marcelline en place de sa femme, mais pensait à dessiné à cet instant même à la bonne, il eût le courage de se retenir pour ne pas faire sortir le nom Marcelline à cet instant précis de plaisir avec sa femme
.
Le lendemain matin, Fréjus regardait son père croyant qu'il allait ouvrir la bouche mais ce dernier se rapprocha de son fils et lui souffla à l'oreille :
.
Papa: Que ce qui s'est passé la nuit reste entre nous
Si jamais, ta mère entend ça, c'est pas bien.
.
Fréjus laissa un léger sourire s'échapper.
.
Chimène les regardait derrière et se demandait ce que ces deux seraient entrain de se dire...
.
Hum... Chimo..
À SUIVRE...